Manosque : "je trouve ça immonde", la grand mère de Lywen réagit après le vol d'une tirelire destinée à financer l'opération de sa petite fille

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Manosque : "je trouve ça immonde", la grand mère de Lywen réagit après le vol d'une tirelire destinée à financer l'opération de sa petite fille



Publié par Laurie Charrié 





"Je suis dégoûtée" la grand mère de Lywen n'en revient toujours pas, ce mardi matin elle a appris avec étonnement qu'une des tirelire déposée dans un magasin de Manosque afin de récolter des fonds pour l'opération de sa petite fille de 3 ans atteinte d'une maladie très rare a été dérobée. 

Une tirelire dont la somme était inconnue puisque cela faisait 3 semaines qu'elle ne s'était pas rendue à "La mie de pain" de la zone saint Joseph pour récolter les dons. Mais au delà du contenu c'est l'acte en lui même que Nadine juge inexcusable, nous l'avons rencontré à Pierrevert : 





Au delà de ça la mobilisation pour Lywen commence à porter ses fruits et la jeune demoiselle pourrait prendre le chemin du Canada d'ici les prochains mois afin de pouvoir réaliser son opération. A noter que le 9 mars une soirée est organisée par les disciples d'escoffier à Pierrevert afin de récolter de l'argent pour l'aider à financer l'opération dont le coût (y compris le déplacement et les frais sur place) avoisine les 200 000 euros .

Article précédent : 


Nadine est une grand mère qui appelle au secours pour sa petite fille. Cette dernière âgée de 3 ans est atteinte d'une maladie très rare la lymphangiome microkystique, une maladie qui peut être soigner mais uniquement au Canada. 

Aujourd'hui la famille a besoin de 200 milles euros pour couvrir les frais de l'opération et de déplacement. Néanmoins Nadine habite Pierrevert et sa petite fille est à Besançon c'est pourquoi aujourd'hui cette grand mère  dépose des tirelires dans les commerces manosquins afin de pouvoir récolter suffisamment d'argent pour pouvoir opérer sa petite fille, nous l'avons rencontré : 
 



Plusieurs moyens sont donc possibles pour aider Lywen, soit en déposant directement vos dons dans un des commerces de Manosque (le disquaire Ballator rue Grande ; Nocibé rue Grande ; la pharmacie du parc de Drouille ; la pharmacie Duret-Moron avenue Majoral-Arnaud ; la boulangerie Mie Caline du boulevard Elemir-Bourges ; et le tabac La Saunerieboulevard de la Plaine.) ou en participant via la cagnotte leetchi.

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Un jeune Manosquin crée une plateforme pour aider les restos pendant le confinement

Un étudiant manosquin à HEC veut aider les restaurateurs pendant la crise

Par Ivan Bonet





  Basile Agay a été rapatrié en France alors qu'il était en stage chez Orange dans la Silicon Valley à San Francisco.

PHOTO DR






Pango. Drôle de nom pour une plateforme numérique. C'est en référence au pangolin, cet animal à qui les scientifiques attribuent l'origine de la pandémie de Covid-19, que Basile Agay a créé pango.help dans l'espoir d'apporter sa contribution en cette période de crise sanitaire. Cet étudiant de 23 ans, qui a passé toute son enfance à Manosque, suit un cursus au sein de la prestigieuse école de commerce HEC Paris.



Rapatrié en France alors qu'il était en stage chez Orange dans la Silicon Valley à San Francisco, il s'est interrogé sur sa façon de se rendre utile. "J'étais déçu de rentrer. Toute ma famille travaille dans le monde médical, ma petite amie est infirmière alors j'ai voulu aider. J'ai lu dans un article qu'il y aurait plus de faillites d'entreprises que de morts du coronavirus. Alors j'ai eu l'idée de mettre en lien des restos et leurs clients", raconte Basile Agay.

Acheter son repas en ligne, le consommer après le confinement

Avec l'aide de Mathieu, un ami calé en informatique, le Manosquin met au point en quelques jours la plateforme. Le concept est simple : vous achetez en ligne votre repas auprès du restaurant que vous souhaitez aider via Pango qui, en retour, vous transmet un coupon valable un an à utiliser dès la réouverture dudit restaurant. Le même principe que la smartbox en somme. 


"C'est une façon de faire de la trésorerie pour faire face aux charges d'aujourd'hui ou pour investir en vue de l'avenir", explique Basile Agay qui s'engage à ne faire aucun bénéfice. La plateforme prend 2% pour ses frais de serveur et de transaction financière. 92% revient au restaurant et 6% du montant prélevé et reversé à la fondation des hôpitaux de France. Une double bonne action sans risque puisque si le resto fait faillite, l'utilisateur sera remboursé.



Avant de lancer sa plateforme, notre étudiant a contacté des dizaines d'établissements à travers le pays. Pour l'heure, une dizaine ont répondu favorablement et sont donc accessibles sur pango.help.



"Au début, je pensais que ce serait plus difficile d'attirer les clients vers la plateforme que les professionnels. C'est l'inverse qui se passe", avoue celui qui compte sur la couverture médiatique et les réseaux sociaux. Facebook convaincu par son idée a proposé de promouvoir gracieusement sa plateforme.



Et à la fin de crise du coronavirus, que deviendra Pango ? "Ce n'est pas un business pour moi. Si le confinement s'arrête demain, je serai très heureux. C'est une expérience pour mon avenir professionnel. Et si ça marche, on verra qu'en faire. Mais mon objectif n'est pas de perdurer mais d'aider les bars et restaurants à traverser cette période compliquée."





pango.help ou https://pango.sharetribe.com/

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Manosque : Réouverture du marché alimentaire ce samedi 16 mai



Comme annoncé, le marché sera de nouveau ouvert dès ce samedi. La mairie a annoncé les modalités et mesures prises.


Depuis les annonces gouvernementales concernant le déconfinement, le maire de Manosque (Alpes-de-Haute-Provence) Bernard Jeanmet-Péralta a annoncé qu’il entendait rouvrir les marchés du mercredi et du samedi, dès le samedi 16 mai.
Ce sera effectivement le cas dès ce samedi, « dans le respect des règles sanitaires en vigueur.



Vous pourrez retrouver les marchands les mercredis et samedis Promenade Aubert Millot et sur le pourtour de la Place du Terreau ».



Pour assurer la sécurité de chacun, commerçants et usagers, quelques règles à suivre et mesures :
-mise en place d’un cheminement à l’aide de barrières
-présence de placiers et d’agents de la Police municipale pour s’assurer du respect des mesures tout au long du marché
-Séparation des étals, dans le respect des distances de sécurité préconisées
-Diffusion et affichage des consignes de sécurité : respect de la distanciation physique, gestes barrières, consignes des pratiques de ventes (ne pas manipuler les denrées alimentaires, privilégier les paiements sans contact…), de l'organisation du marché (marquages au sol, sens de circulation...)


La Ville demande également "aux marchands de mettre à disposition des gels hydroalcooliques pour la population".


Pour le marché du samedi, qui sera réservé aux activités exclusivement alimentaires et plantations et graines, il y aura pour le moment 53 exposants
Pour le marché du marché, essentiellement sur la Promenade Aubert Millot, il sera réservé aux activités identiques à la période pré-confinement, et ce avec 21 exposants