Quinson : Vol sous la menace d'une arme à Quinson : un mineur interpellé
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Kiki Peyroulienne
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Sujet: Appel à témoin pour disparition de planeur Mar 02 Juil 2013, 11:13
Appel à témoin pour disparition de planeur
Un avion planeur à hélice qui a décollé de l’aérodrome de Tallard (05) a disparu le 25 juin après-midi, son dernier signal ayant été repéré vers 16h40. Les recherches terrestres et aériennes entreprises par la gendarmerie, les sapeurs-pompiers et le centre de recherche et de sauvetage de Lyon n'ont pas permis de le localiser.
Ces recherches se poursuivent, notamment au nord d’une ligne La Motte-du-Caire / Turriers (04) : il s'agit d'un planeur blanc avec le bout des ailes rouges. Toute personne (promeneur, parapentiste, pratiquant de planeur,..) ayant des éléments d'information est priée de contacter la brigade de gendarmerie la plus proche ou d'appeler le 17.
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Re: Quinson : Vol sous la menace d'une arme à Quinson : un mineur interpellé Mer 03 Juil 2013, 22:28
Porté disparu depuis deux jours, un jeune homme de 23 ans a été retrouvé mort ce vendredi 5 juillet dans l'Ubaye. Une enquête est en cours pour connaitre l'origine du décès.
Originaire de Barcelonnette, un jeune homme était porté disparu depuis le mercredi 3 juillet en début de soirée à Saint-Paul-sur-Ubaye. Ce sont les membres de sa famille qui ont alerté la gendarmerie, le jeudi 4 juillet, n'ayant aucune nouvelle de lui depuis près de 24 heures.
De suite, d'importants moyens de recherche ont été mis en place pour tenter de le retrouver. Le PSIG (peloton de Secours et d'Intervention de Gendarmerie) de Jausiers, le PGHM (Peloton de Gendarmerie de Haute-Montagne) de Jausiers, mais aussi la Brigade de gendarmerie de Barcelonnette ainsi que l'hélicoptère de SAG (Section Aérienne de Gendarmerie) de Digne-les-Bains sillonnent la commune et les environs.
les premières recherches permettent de retrouver dès le jeudi 4 juillet dans la soirée le véhicule du jeune homme, stationné sur un parking en aval du pont du Chatelet sur la commune de Saint-Paul-sur-Ubaye, indique une source proche de l'enquête. Mais pas de présence du jeune homme dans le véhicule ou à proximité. Les recherches se poursuivent alors mais sans aboutir avant la tombée de la nuit. redémarrées ce vendredi au matin, les gendarmes finissent par retrouver le corps sans vie du jeune homme dans l'Ubaye, en aval du pont où a été retrouvée sa voiture.
Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie de Barcelonnette afin de déterminer les causes du décès.
Par Guillaume Messien le 06/07/2013
Dernière édition par Faï Tirà le Mer 02 Sep 2015, 21:00, édité 1 fois
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Disparition inquiétante d'un homme Mer 21 Aoû 2013, 06:57
Mercredi 13 novembre, Icare et Rebel ont disparu. Les 2 boucs sont très amicaux et jouent volontiers comme des chiens domestiques.
Rebel et Icare ont 10 mois.
Ce sont des boucs de race Rove. Ils sont nés sur la commune de Peyruis et sont des animaux familiers de la famille Capian. "Nous jouions avec eux et les gens se rapprochaient, croyant que c’étaient des chiens", dit Valérie, la propriétaire des 2 animaux.
Ils paissaient en compagnie de chevaux sur un pré privé au rond-point de Peyruis, sur la zone de la Sève, non loin du moulin à huile. Les équidés venaient d’être déplacés dans un autre parc. "Je suis passée à 10h le mercredi 13 novembre. Ils étaient là. Et enrepassant le soir à 17h, ils avaient disparu," dit-elle avec émotion. "Nous ne savons pas s’il s’agit d’un vol, mais nous avons vu des traces de chien par terre près du filet à volailles qui délimite le pré.Et le filet a été retourné comme si la main de l’humain était intervenue."
Ce ne sont que des suppositions, la famille s’interroge en vain. "Où sont-ils maintenant ?
On a peur pour eux. On voudrait que les chasseurs fassent attention s’ils les rencontraient, à ne pas leur tirer dessus. Nos 2 boucs sont bouclés, ils portent les numéros 30002 et 30003. Nous avons fait le signalement de la disparition à la gendarmerie.
Toutes les informations qui pourraient nous mettre sur leur piste sont les bienvenues. Ce sont des animaux de compagnie et ils nous manquent. J’espère que nous les retrouveront. Et surtout, qu’il ne leur ait rien arrivé…"
Pour tout renseignement, voici le numéro de téléphone à appeler : 06.16.78.64.10
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Kiki Peyroulienne
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Sujet: Plusieurs commerces cambriolés dans les Alpes-de-Haute-Provence Jeu 20 Fév 2014, 10:53
Plusieurs commerces cambriolés dans les Alpes-de-Haute-Provence
Forcalquier, Oraison et Mallemoisson ont été touchés par des cambriolages commis dans la nuit des 18 et 19 février.
Dans la nuit du lundi 17 au mardi 18, puis dans celle du mardi 18 au mercredi 19 février, plusieurs cambriolages ont été recensés dans des commerces des Alpes-de-Haute-Provence. Tout d'abord à Forcalquier lundi soir où des individus se sont emparés du fond de caisse d'un salon de thé (20 euros). Le magasin "Les saveurs de Porvence" a lui aussi été touché, les cambrioleurs repartant cette fois-ci avec 600 euros et des bouteilles d'alcool sous le bras. La même nuit, l'institut "Essentiel Beauté" à Oraison a été victime d'une tentative de cambriolage.
Dans la nuit de mardi à mercredi cette fois-ci, des paires de lunettes et un ordinateur portable ont été dérobés chez un opticien d'Oraison. Un distributeur de préservatifs a quant à lui été arraché dans une pharmacie de Mallemoisson. Les brigades de gendarmerie d'Oraison et de Forcalquier sont en charge d'enquêter sur l'ensemble de ces affaires. "On conseille aux commerçants de ne pas laisser de fond de caisse pour éviter au maximum ce type de mésaventure" avisent les gendarmes.
Par Christian Kalinowski
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Saint André les Alpes : contre la fermeture de classe ! Ven 11 Avr 2014, 14:02
Saint André les Alpes : contre la fermeture de classe ! , Rédigé par Verdon-info
Saint André les Alpes : contre la fermeture de classe !
Ce mardi 8 avril, les parents d’élèves avaient organisé une manifestation contre la fermeture de classe devant l’école de Saint André les Alpes. Pour la troisième année consécutive, l’école de Saint André entre dans le champ des établissements scolaires susceptibles de voir une classe fermer ses portes l’année prochaine. Les parents rappellent que dans le cadre de l’accueil des tout-petits, un plan a été mis en œuvre. Des axes ont été développés pour former les agents techniques spécialisés des écoles maternelles en même temps que l’enseignante responsable de la classe des tout-petits, pour aménager leur espace et pour accueillir les enfants des familles les plus défavorisées. Ce plan devait être développé pour une durée de trois ans ; et aucun de ces éléments n’a changé !
Ils précisent que, parallèlement, l’accueil des élèves de CLIS (Classe pour l’Inclusion Scolaire) dans des classes non surchargées permet à ces enfants en réelle difficulté, une intégration bien vécue et adaptée. Enfin, ils saluent les « importants efforts de la municipalité en matière de budget d’investissement et de fonctionnement ». « Le dynamisme de cette école à 8 classes, volontairement implantée depuis 150 ans au cœur du village, permet à la commune de lutter efficacement contre la désertification des campagnes. En sauvant une classe, on sauvegarde plusieurs emplois. A une époque de chômage et de précarité, il est important de considérer également cela, au-delà des remarques habituelles concernant les effectifs ».
Odile Boetti.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] St André les Alpes mobilisé
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Senez Effervescence autour de l'école Ven 11 Avr 2014, 14:06
Les décisions attendues de l'inspection académique ont des répercussions dans tous les villages du canton. Aujourd'hui c'est Senez qui manifeste contre ces projets de fermetures. Tous les élèves de cette classe, parents, population et représentants communaux s'étaient joints au maire Gilles DURAND pour faire part de leurs très vives inquiétudes. En peu de temps, (pour certains la nuit a été courte,), pancartes et banderoles ont fleuris sur la façade de l'immeuble communal qui abrite la Mairie et l’École Primaire Communale de Senez, tandis que la population participait au blocage de l’entrée de l'école, avant que le cortège ne rejoigne l'entrée du village en un long ruban silencieux mais non résigné.
Gilles Durand nous a fait parvenir ce communiqué, exprimant son sentiment de gâchis mais aussi sa détermination à sauver son école plus que centenaire.. (PHOTO)
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Sujet: Inquiétude du Haut Verdon sur la fermeture de classe Sam 12 Avr 2014, 19:28
Inquiétude du Haut Verdon sur la fermeture de classe
Rédigé par Verdon-info [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
L'actualité est malheureusement relativement riche en ce moment autour des classes de notre territoire. Une bonne chose tout de même , la solidarité est bien présente pour essayer de trouver des solutions pour ne pas handicaper plus nos territoires ruraux . Il est sans doute vrai que Paris est bien loin de ces préoccupations. Ce ne sont pour eux que des chiffres...
Stéphanie Laurens nous informe :
Bonjour, comme vous le savez les écoles de St André et Barreme ont été sauvés mais Colmars les Alpes reste menacée d'une fermeture de classe.
Nous sommes à 4 classes pour 75 élèves et nous allons tomber à 69 + 5 tout petits qui ne comptent pas dans les effectifs (total 74).
Citation :
La lettre ouverte à Monsieur Benoît Hamon, Ministre de l'Éducation Nationale
Monsieur Le Ministre,
Nous vivons et éduquons nos enfants en milieu rural et nous sommes très inquiets de la décision, annoncée jeudi, de fermeture d'une classe sur quatre dans notre "petite" école (75 élèves) de Colmars les Alpes, à la rentrée 2014.
Cette décision, quelles que soient ses motivations comptables, au niveau du département du 04, serait catastrophique pour nos enfants, car cela obligerait à des regroupements de trois niveaux par classe (PS+MS+GS et CP+CE1+CE2), avec des effectifs importants (entre 22 et 26 élèves par classe) rendant la tâche des trois enseignants restants encore plus difficile. Elle ne tient pas compte non plus de la situation personnelle des enseignantes concernées par cette fermeture de classe.
L'effectif actuel de notre école, soit quatre enseignantes et deux aides maternelles (ATSEM), est totalement soudé et s'occupe parfaitement de nos enfants, répartis dans deux bâtiments distants l'un de l'autre, avec une cour de récréation pour les plus petits (PS à CP) et une autre pour les plus grands (CE1 à CM2).
Tout ce bel équilibre serait ruiné, détruit, en cas de fermeture d'une classe, alors que la construction d'une nouvelle école, prévue de longue date, devrait commencer bientôt et qu'un regroupement des cantines scolaires, pour toute la vallée du Haut-Verdon, est en phase d'étude bien avancée.
Les efforts du nouveau maire de Colmars, Magali Surle, récemment élue, n'ont encore rien donné à ce jour, malheureusement, et cela, malgré une longue réunion jeudi avec les services de votre ministère, dans laquelle de nombreux arguments importants ont été évoqués.
Nous ne pouvons pas accepter, moins de deux ans après l'élection de François Hollande qui avait promis de faire de l'éducation une priorité nationale, que des classes disparaissent sans qu'il soit suffisamment tenu compte des problèmes géographiques dans les vallées de montagne où nous habitons.
Nous n'acceptons pas que nos écoles, nos classes et nos enfants soient sacrifiés, juste parce que nous vivons dans un département rural, alors que nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir depuis des années, notamment en tant qu'élus, pour rendre nos vallées de montagne plus attractives, pour convaincre des jeunes couples et des familles de venir s'installer durablement, autour de projets porteurs en matière de tourisme et de développement local.
Nos effectifs sont en légère baisse, soit, mais c'est une situation temporaire et notre situation d'école rurale en zone enclavée nécessite une prise en compte particulière : fermer une classe et demander à une seule enseignante d'accueillir trois niveaux dans la même classe a de plus graves conséquences dans un village comme le nôtre, à une heure de route de Digne-les-Bains, qu'en ville.
De lourdes classes à un niveau sont gérables, à deux niveaux, elles peuvent l'être encore, mais à trois niveaux cela dessert les enfants par rapport à d'autres enfants scolarisés en zone urbaine ou péri-urbaine.
Le candidat François Hollande, en 2012, avait promis une politique tournée vers le progrès et le meilleur enseignement possible pour nos enfants. Nous pouvons comprendre qu'il ne soit pas possible de créer 60.000 postes d'enseignants en cinq ans, car nous sommes réalistes, mais nous ne pouvons pas accepter la fermeture de notre 4e classe, à Colmars-les-Alpes, avec des conséquences désastreuses pour nos enfants.
En attendant mardi, journée de mobilisation à Digne pour tenter de sauver plusieurs classes dans notre département, avec des arguments semblables, nous vous demandons de faire le nécessaire auprès de vos services pour que le cas des Alpes-de-Haute-Provence et des vallées de montagne, pas seulement celle du Haut-Verdon dans laquelle nous résidons, soit étudié tout particulièrement en haut lieu.
Nous comptons vraiment sur vous et nous vous souhaitons plusieurs années d'action efficace et concertée dans votre ministère.
Cordialement
Des parents d'élèves de l'école de Colmars les Alpes, de Villars Colmars et de Beauvezer
Comme de nombreuses communes du département, Colmars-les-Alpes pourrait voir une classe être fermée à la rentrée. Les parents se mobilisent.
L'école de Colmars-les-Alpes est menacée par une fermeture de classe. Cette possible fermeture a permis une mobilisation des parents d'élèves "sachant qu'il y a actuellement 75 élèves et qu'à la rentrée il y aura 69 élèves, plus cinq petits de moins de 3 ans qui ne comptent pas dans l'effectif", expliquent-ils. C'est pourquoi, ils tentent de se faire entendre pour sauver cette classe, et un parent d'élève a préparé une lettre ouverte à M. le Ministre de l'Education Nationale, Benoit Hamon, où il rappelle notamment que "nous vivons et éduquons nos enfants en milieu rural et nous sommes très inquiets de la décision, annoncée jeudi, de fermeture d'une classe sur quatre dans notre "petite" école (75 élèves) de Colmars-les-Alpes, à la rentrée 2014".
De même, cette décision, quelles que soient ses motivations comptables, au niveau du département du 04, serait catastrophique pour nos enfants, car cela obligerait à des regroupements de trois niveaux par classe (PS+MS+GS et CP+CE1+CE2), avec des effectifs importants (entre 22 et 26 élèves par classe) rendant la tâche des trois enseignants restants encore plus difficile. Elle ne tient pas compte non plus de la situation personnelle des enseignantes concernés par cette fermeture de classe".
L’équilibre actuel trouvé au sein de l’école "serait ruiné, détruit, en cas de fermeture d'une classe, alors que la construction d'une nouvelle école, prévue de longue date, devrait commencer bientôt et qu'un regroupement des cantines scolaires, pour toute la vallée du Haut-Verdon, est en phase d'étude bien avancée".
Les efforts du nouveau maire de Colmars, Magali Surle, récemment élue, n'ont encore rien donné à ce jour, et cela malgré une longue réunion jeudi avec les services de votre ministère, dans laquelle de nombreux arguments importants ont été évoqués. "Nous n'acceptons pas que nos écoles, nos classes et nos enfants soient sacrifiés, juste parce que nous vivons dans un département rural, alors que nous faisons tout ce qui est notre pouvoir depuis des années, notamment en tant qu'élus, pour rendre nos vallées de montagne plus attractives, pour convaincre des jeunes couples et des familles de venir s'installer durablement, autour de projets porteurs en matière de tourisme et de développement local".
Très clairement, "de lourdes classes à un niveau sont gérables, à deux niveaux elles peuvent l’être encore, mais à trois niveaux cela dessert les enfants par rapport à d'autres enfants scolarisés en zone urbaine ou péri-urbaine", concluent les parents d’élèves.
Dernière édition par Faï Tirà le Mer 02 Sep 2015, 21:02, édité 2 fois
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Secteur de Barrême : plus que quelques heures Lun 14 Avr 2014, 22:42
Les parents d'élèves de Barrême et de Senez veulent être entendus. En très grand nombres, une dernière fois avant l'annonce officielle de ce qu'il est convenu d'appeler « les sacrifiés » , ils s'étaient donnés rendez vous devant les grilles de l'école Victor Hugo où pancartes, écriteaux, banderoles sont venus garnir les grilles du portail d'entrée :"On veut être entendus" répètent à l'envi les parents interrogés.
Après avoir laisser entrer les enfants, les discussions se sont prolongées , en présence des représentants des municipalités, concernées , ou solidaires, de tout le canton. Une dernière réunion qui laisse en bouche un goût amer, sachant que le malheur des uns peut faire le bonheur des autres. Qui sera sacrifié, ou qui seront sacrifiés ? Qui sera sauvé , ou qui seront sauvés ? Plus que quelques heures.... Quelque soit le résultat, à peine le temps de souffler, et il faudra se remettre au travail et songer à la rentée prochaine qui posera , peut être encore, les mêmes questions
Les députés Christophe Castaner et Gilbert Sauvan, ainsi que le sénateur Claude Domeizel réagissent aux menaces qui pèsent sur plusieurs établissements du département.
Face aux menaces qui pèsent sur plusieurs classes et écoles dans les Alpes-de-Haute-Provence quant à leur possible fermeture à la rentrée 2014, les trois parlementaires du département Christophe Castaner, Gilbert Sauvan et Claude Domeizel ont réagi dans un communiqué : "Fortement attachés au maintien des services publics en milieu rural, nous intervenons auprès de Monsieur Benoît Hamon, Ministre de l’éducation nationale, pour souligner les conséquences irréversibles de toute fermeture d’école. Nous mettons tout en œuvre pour une remise en cause des projets de fermeture des écoles du Lauzet/Ubaye, Senez et Sigoyer à la rentrée de 2014 avant que soient arrivées à leur terme les négociations en cours tendant à créer un regroupement pédagogique intercommunal dans chacun de ces secteurs".
Photo : Lors de la manifestation mardi devant la préfecture de Digne-les-Bains.
Dernière édition par Faï Tirà le Mer 02 Sep 2015, 21:03, édité 1 fois
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Le Haut Verdon toujours en inquiétude sur la fermeture de classe Sam 19 Avr 2014, 08:18
Le Haut Verdon toujours en inquiétude sur la fermeture de classe
, Rédigé par Verdon-info
Aujourd'hui, les parents d'élèves occupent l'école de Colmars les Alpes. Il ont souhaite manifester pour montrer leur mécontentement concernant la menace de fermeture de classe. En effet, la réponse se fait attendre par l'Inspection d'Académie depuis la manifestation en Préfecture mardi dernier.
Soutenue par Madame le Maire, Magali SURLE, cette dernière rappelle la Charte sur l'organisation de l'offre des services publics en milieu rural, signée le 23 Juin 2006 par le Premier Ministre, l'Association des Maires de France et 14 partenaires accomplissant des missions de service public précisait que, « dans le cadre de la carte scolaire et à compter de la rentrée 2007, les autorités académiques informeront en outre les exécutifs locaux concernés, deux ans avant les projets d'ouvertures et fermetures de classes du 1er degré ».
Alpes-de-Haute-Provence : l'école fermée à Sigoyer ?
Bien qu'ils aient exposé leurs revendications et leurs arguments lors du CDEN du 15 avril dernier, les représentants des parents d'élèves craignent toujours que l'école de Sigoyer soit fermée.
L’école de Sigoyer est toujours menacée par sa fermeture. Or, selon les parents d’élèves, les effectifs ne cessent d’augmenter. "Celle de Valernes était également menacée alors qu’il y avait moins d’élèves que cette année, avec 52 contre 60 aujourd’hui," disent-ils. "Sigoyer a besoin de son école, un village sans école est un village mort. Quatre familles sont sur le point de s'installer et il nous paraît clairement injuste de les priver d'une école de proximité." L’école va fêter ses 130 années d’existence et il semble inconcevable pour les habitants de la commune de voir s’éteindre cette collectivité. "Il ne s’agit pas d’une fermeture de classe, mais de toute une école qui fait partie de l’histoire d’un village et d’une communauté. Elle est normalement protégée par la Loi Montagne !"
Des investissements faits par la mairie pour rien Un autre argument qui s’harmonise avec une projection dans l’avenir face à la progression du nombre d’élèves, c’est l’investissement fait par la mairie. "Elle a investi dans du matériel informatique de qualité et dans une cantine neuve. Cette fermeture occasionnerait une perte financière et un gaspillage considérable ! Enfin, le collège de la Motte-du-Caire subirait certainement les conséquences de cette fermeture." Avec les baisses des dotations, les municipalités ne peuvent plus se permettre de subir des fractures dans leur budget et l’inutilité des dépenses risquent de peser lourdement dans la balance du bilan à terme plus ou plus court.
En attente de la décision "Le Regroupement Pédagogique Intercommunal a besoin d’être constitué de ses 4 écoles pour être stable et pour continuer de fonctionner correctement. Les syndicats ont voté une motion pour maintenir l’école du village et protéger les établissements de la ruralité. Nous demandons que la proposition de fermeture soit annulée et que les enfants de Sigoyer et du RPI gardent leur école." Les représentants des parents d’élèves du RPI Valernes-Sigoyer-Thèze-Vaumeilh étaient devant la Préfecture à Digne-les-Bains lors du Conseil Départemental de l’Education National de mardi 15 avril. Le maire du village et son adjoint étaient présents et ont été reçus avec l’un des parents afin d’établir leurs inquiétudes et soumettre leur demande du maintien de l’école. Ils sont en attente de la décision qui doit être prise ces jours-ci.
Par Françoise Latour Navarro
Dernière édition par Faï Tirà le Mer 02 Sep 2015, 21:03, édité 1 fois
Kiki Peyroulienne
Nombre de messages : 7735 Age : 74 Date d'inscription : 07/10/2008
Sujet: Ils n'étaient pas loin de la vérité Mar 22 Avr 2014, 07:57
Voici comment, au début du XXe siècle, on imaginait les écoles françaises de l'an 2000. Cette image provient d'une série de cartes postales tombées dans le domaine public : elles donnent un aperçu de la France du futur telle que les artistes la dessinaient entre 1899 et 1910.
Alpes-de-Haute-Provence : "Remettre en cause les projets de fermeture des écoles"
Les députés Christophe Castaner et Gilbert Sauvan, ainsi que le sénateur Claude Domeizel réagissent aux menaces qui pèsent sur plusieurs établissements du département.
Face aux menaces qui pèsent sur plusieurs classes et écoles dans les Alpes-de-Haute-Provence quant à leur possible fermeture à la rentrée 2014, les trois parlementaires du département Christophe Castaner, Gilbert Sauvan et Claude Domeizel ont réagi dans un communiqué : "Fortement attachés au maintien des services publics en milieu rural, nous intervenons auprès de Monsieur Benoît Hamon, Ministre de l’éducation nationale, pour souligner les conséquences irréversibles de toute fermeture d’école. Nous mettons tout en œuvre pour une remise en cause des projets de fermeture des écoles du Lauzet/Ubaye, Senez et Sigoyer à la rentrée de 2014 avant que soient arrivées à leur terme les négociations en cours tendant à créer un regroupement pédagogique intercommunal dans chacun de ces secteurs".
Photo : Lors de la manifestation mardi devant la préfecture de Digne-les-Bains.
16/04/2014
Dernière édition par Faï Tirà le Mer 02 Sep 2015, 21:03, édité 2 fois
Faï Tirà Peyroulienne
Nombre de messages : 16511 Date d'inscription : 07/10/2008
Sujet: Près de la moitié des directeurs d’école déclarent s’être faits agressés par des parents d’élèves Mar 29 Avr 2014, 18:04
Près de la moitié des directeurs d’école déclarent s’être faits agressés par des parents d’élèves [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Près de la moitié (49%) des directeurs d'écoles élémentaires et maternelles se sont fait agresser verbalement ou physiquement par des parents d'élèves durant l'année scolaire 2012-2013, selon une étude publiée ce matin par le Parisien. Cette étude a été réalisée au moyen d'un questionnaire remis à 4 000 directeurs d'écoles par Georges Fotinos, ancien inspecteur général de l'Education nationale et chercheur associé à l'Observatoire international de la violence à l'école. 22,6 % des directeurs interrogés déclarent avoir été aggressés au moins une fois, 13,8 % au moins deux fois et 12,3 % au moins trois fois. A l’inverse, 51 % d’entre eux ne l’ont jamais été. Le harcèlement, avec 38,6% de réponses, est le principal type d'agression devant les menaces (26,7%), les insultes (23,1%) et les coups (0,7%). Ce sont les punitions et les sanctions qui viennent en tête des différends entre les parents et l'école avec 53,3%, devant la surveillance et la maltraitance entre élèves (45,4%) et les résultats et les difficultés scolaires (33,1%), selon cette étude.
D’après Georges Fotinos, interviewé par le Parisien, il existe « une dégradation très nette des relations entre l’école et les parents ». « Quand je compare mes résultats avec une autre étude que j’ai menée en 2005 sur le même sujet, le résultat est sans appel. Les contingents école et famille s’éloignent l’un de l’autre », indique le chercheur qui se déclare « surpris par la violence des échanges ». Pour lui, « 30 à 40 % des parents se comportent en consommateurs revendicateurs » qui estiment « avoir droit à un service et s'il n'est pas rendu », manifestent leur « réprobation».
L’étude a été réalisée entre juin et juillet 2013 par l’Observatoire international de la violence à l’école (fédération de chercheurs de 25 pays créée en 1988) pour le compte de la Casden (banque coopérative des personnels de l’Education, de la Recherche et de la Culture).
Télécharger les résultats complets de l’étude sur les relations parents-école
C'est scandaleux ... je suppose bêtement que ce sont les mêmes parents qui s'indignent du monde d'aujourd'hui dans lequel plus aucune valeur n'est respectée !!!
Faï Tirà Peyroulienne
Nombre de messages : 16511 Date d'inscription : 07/10/2008
Sujet: Problèmes d'orthographe ? Demandez à Voltaire ! Jeu 08 Mai 2014, 16:57
Problèmes d'orthographe ? Demandez à Voltaire [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Par Jacqueline de Linares
Caricature : les entreprises sont de plus en plus attentives à l'orthographe de leurs salariés. (Claudine Desmarteau)
Inépuisable sujet de désolation pour les profs, les fautes d'orthographe sont en train de devenir une source d'angoisse au travail. Une vraie croix pour Etienne, 45 ans, cadre commercial dans une entreprise de climatisation. "Une faute par ligne !" Pour les rapports, courriers, devis, ça va encore. Son assistante est dans le secret et, à la maison, il y a son épouse. Sauf que, parfois, il doit rédiger chez le client. Cauchemar. "J'emploie des mots simples. Je n'écris qu'au présent." Etienne a démarré dans la vie comme apprenti plombier. Malgré sa réussite, il a honte de ses faiblesses en français. "Je me sens rabaissé", dit-il, lorsque certains de ses collègues se moquent ouvertement devant lui des techniciens qui... font des fautes. Du coup, quand il a appris que son entreprise allait proposer à ses salariés une remise à niveau en orthographe, il a sauté sur l'occasion. CV bourrés de fôtes Cet entraînement en ligne, plutôt ludique, a été mis en place par Woonoz, une start-up lyonnaise. Le Projet Voltaire, c'est le nom du service, est personnalisé en fonction des besoins de chaque salarié. Le logiciel repère les lacunes de l'utilisateur et propose une progression avec sept modules. Né il y a six ans, l'outil revendique déjà un million et demi d'utilisateurs, particuliers, entreprises, grandes écoles ou facs... "Cela ressemble à un jeu, on peut y rester deux ou trois heures sans avoir l'impression d'étudier", explique Etienne. Une fois par semaine, une coach passe une heure au téléphone avec lui pour l'aider dans ses difficultés. "Cette femme ne me juge pas. C'est un poids de moins pour moi." Bien sûr, Projet Voltaire n'est pas seul sur le marché, loin de là. Mais l'astuce de Woonoz, c'est de proposer aux utilisateurs d'achever leur travail en passant une certification - la "certification Voltaire" - qui atteste de leur niveau en orthographe comme cela se fait déjà pour l'anglais. Une référence que l'on mettra opportunément sur son CV à l'heure où les recruteurs s'arrachent les cheveux en lisant des lettres de motivation bourrées de fautes de français. Mauvais souvenir "Il y a un décalage entre le niveau des candidats et l'exigence des entreprises", remarque Pascal Hostachy, le patron de Woonoz. Même si les fautes d'orthographe ont tendance à se généraliser dans les nouvelles générations, elles restent extrêmement pénalisantes au travail. Etienne évoque avec amertume ce poste qu'il n'a pas pu obtenir à cause du texte qu'on lui avait demandé de rédiger au cours de son entretien d'embauche. Mauvais souvenir ! Florian, 30 ans, diplômé d'une école de publicité, a été promu manager commercial dans une société de bases de données sur les entreprises. "Mais c'était à condition d'accepter une remise à niveau en orthographe et de passer la certification Voltaire", explique-t-il. Les managers ont appris, à leurs dépens, que la mauvaise qualité des messages envoyés par leurs entreprises faisait planer un doute sur le sérieux de leur travail et de leurs produits. Selon une étude anglaise, régulièrement citée, le chiffre d'affaires d'une page de vente en ligne diminuerait ainsi de 50% si elle comportait une faute d'orthographe. "Bacalauréat" et "professionneles" Flairant le danger, de nombreuses grandes écoles, des IUT, font aujourd'hui affaire avec le Projet Voltaire : Sup de Co Montpellier, l'Ecam, mais aussi des UFR (unité de formation et de recherche) d'université. Les profs sont en effet de plus en plus inquiets à l'idée de lâcher sur le marché du travail des jeunes qui écrivent sur leur CV "titulaire du bacalauréat L" (au lieu de "baccalauréat") ou "expériences professionneles" (au lieu de "professionnelles"). Du coup, certaines facs organisent elles-mêmes des cours de rattrapage d'orthographe et d'expression écrite, tandis que d'autres achètent des "packs" chez Projet Voltaire (environ 1.800 euros pour une UFR d'une université). Suscitant un débat qui ne s'applique pas seulement à l'orthographe : mais pourquoi donc l'Education nationale devrait-elle se tourner vers le privé pour résoudre ses lacunes ?
Jacqueline de Linarès - Le Nouvel Observateur
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Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Table de multiplication Sam 10 Mai 2014, 14:09
Rythmes scolaires : le nouveau décret publié au Journal officiel
Le décret sur les rythmes scolaires introduisant les assouplissements prévus par le nouveau ministre de l'Education, Benoît Hamon, pour les communes peinant à mettre en place la semaine de 4,5 jours à la rentrée de septembre, est paru jeudi 8 mai au Journal officiel. Ce nouveau texte, daté du 7 mai, et complétant le décret du 24 janvier 2013 pris par l'ancien ministre Vincent Peillon, autorise pour la rentrée prochaine « des expérimentations relatives à l’organisation des rythmes scolaires dans les écoles maternelles et élémentaires ». Le nouveau décret prévoit que le recteur d'académie peut autoriser « à titre expérimental, pour une durée de trois ans, des adaptations à l'organisation de la semaine scolaire dérogeant à certaines dispositions » du Code de l'éducation. Tout en maintenant cinq matinées de classe hebdomadaires, le décret du 7 mai autorise des semaines de huit demi-journées au lieu de neuf, pour regrouper les trois heures d'activités périscolaires sur un après-midi. Le décret stipule que les « adaptations autorisées ne peuvent avoir pour effet de répartir les enseignements sur moins de huit demi-journées par semaine, comprenant au moins cinq matinées, ni d'organiser les heures d'enseignement sur plus de 24 heures hebdomadaires, ni sur plus de six heures par jour et trois heures trente par demi-journée ».
Les expérimentations feront l'objet, six mois avant leur terme, d'une évaluation qui sera transmise au ministre de l'Education, ajoute le décret.
« Les cinq matinées de classe, correspondant aux pics de vigilance des enfants, demeurent obligatoires dans toutes les écoles et pour tous les élèves, afin de permettre les apprentissages fondamentaux dans les meilleures conditions », souligne un communiqué du ministère de l’Education publié le même jour que le décret. Les communes auront « ainsi la possibilité de regrouper les activités périscolaires sur une seule après-midi dans le cadre d’un projet pédagogique de qualité ou encore d’alléger la semaine en réduisant le nombre d’heures d’école par semaine en répartissant ces heures sur les vacances scolaires sous réserve que leur projet soit construit en concertation puis validé localement par le rectorat », poursuit le communiqué. Une circulaire accompagnant le décret a été publiée le 9 mai au Bulletin officiel de l'Education nationale.
Outre les assouplissements introduits par le nouveau décret, Benoît Hamon avait annoncé mercredi dernier que le fonds d’amorçage serait prolongé d'un an, jusqu'en 2015-2016, et que son montant sera « calibré » pour répondre aux besoins des communes « connaissant de grandes difficultés ». Prenant « acte » de cette prolongation, le président de l’Association des maires de France, Jacques Pélissard, a cependant estimé que « le compte n’y était encore pas ». « Il reste beaucoup d’incertitudes, sur le montant du fonds recalibré comme sur les modalités d’application », a-t-il déclaré (lire Maire info du 7 mai).
Jean-Marie Heible, originaire de Thorame-Basse, n'a plus donné de signe de vie depuis le mercredi 1er octobre.
Depuis le mercredi 1er octobre à 15h, la Gendarmerie a engagé d'importants moyens humains et matériels – les militaires de la Compagnie de Castellane, du PGHM de Jausiers, de la section Aérienne de Digne, ainsi qu'un chien St Hubert de l'équipe cynophile de Nîmes (Gard) – afin de retrouver un homme qui a quitté son domicile à Thormae-Basse près de la Miellerie Chaillan et n'est pas réapparu depuis. Il s'agit de Jean-Marie Heible, âgé de 62 ans. Il mesure 1,73 mètres et pèse environ 80 kg ; il a les cheveux majoritairement blancs et porte une barbe poivre et sel. Il était vêtu d'un jean et d'une chemise polaire à carreaux.
Un appel à témoin est lancé par la Gendarmerie afin de recueillir tout renseignement permettant de le localiser. Toute personne ayant vu l'intéressé peut contacter le 17 ou appeler la brigade de Saint-André-les-Alpes au 04 92 89 00 06.
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Un avis de recherche lancé pour une fillette de 12 ans disparue à Tourrette-Levens Mer 07 Jan 2015, 19:32
La gendarmerie de Nice lance un appel à témoins après l'inquiétante disparition d'une préadolescente de 12 ans qui a disparu ce mercredi matin vers 9h00 de son domicile à Tourette-Levens.
Elle est susceptible de porter un pantalon blanc, des chaussures Nike blanches et une veste grise et pourrait avoir absorbé des substances médicamenteuses. En cas de renseignements, bien vouloir contacter la brigade de gendarmerie de Levens au 07.78.12.40.28 ou 06.25.97.64.74.
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Un planeur retrouvé dans les Alpes de Haute-Provence Mer 04 Mar 2015, 13:48
Un planeur retrouvé dans les Alpes de Haute-Provence
Un pilote de planeur s'est crashé dans une forêt mardi en fin d'après-midi. Après une nuit passée en pleine montagne, les gendarmes l'ont retrouvé, sain et sauf.
Le pilote de planeur a décollé mardi de l'aérodrome de Château-Arnoux-Saint-Auban. Il est parti seul, dans un engin non motorisé et a donné sa position pour la dernière fois vers 17 heures.
Il survolait alors la montagne du Cheval Blanc, à 2300 mètres d'altitude (sur la commune de Prats.) Sa disparition a été signalée vers 19 heures. Le PGHM et les gendarmes ont survolé la zone en hélicoptère. Ce mercredi, l'homme a été retrouvé vers 8h30. Il s'était crashé sur la cime des arbres, à 2000 mètres d'altitude, au fond du cirque de Valminelle, sur la commune de Colmars-les-Alpes.
Les gendarmes l'ont retrouvé grâce à la balise de détresse de son planeur. Le pilote se porterait bien. Il a été hospitalisé à Digne, pour suivre une batterie d'examens.
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Un cadavre repéré sous le pont de l'Artuby à Aiguines Mer 04 Mar 2015, 19:42
Un cadavre repéré sous le pont de l'Artuby à Aiguines
Vive émotion en cette fin d'après-midi à Aiguines où un cadavre gisant sous le pont de l’Artuby a été aperçu, aux jumelles, par des promeneurs.
Les sapeurs-pompiers de Comps ainsi qu’une équipe du Groupement d’intervention en milieux périlleux (GRIMP) s'activent actuellement pour remonter le corps qui aurait une chute de 183 mètres. Placée sous les ordres du lieutenant Pierre Bronzi, cette intervention se révèle délicate en raison de conditions météo très difficiles. La brigade territoriale de gendarmerie de Bargemon est également présente pour effectuer les premiers constats, aucune piste n’étant, pour l’heure, écartée.
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Disparition inquiétante d'une mère et de sa fille de 9 ans Mer 18 Mar 2015, 16:06
Disparition inquiétante d'une mère et de sa fille de 9 ans à Laragne (Hautes-Alpes)
Une mère de 40 ans et sa fille de 9 ans ont disparu depuis vendredi 13 mars à Laragne, dans les Hautes-Alpes. La mère d'oirigne russe devait rendre l'enfant à son père suite à une décision de justice. Le procureur de la République de Gap vient de lancer un appel à témoins.
Par Olivia Malongo
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Maria Tchernetskaia et sa fille Dina ont disparu le 15 mars à Laragne.
Maria Tchernetsakaïa devait remettre sa fille de 9 ans à son père dimanche dernier à 19h suite à une décision de justice. Le père a donné l'alerte ne voyant pas revenir la petite Dina. La fillette devait passer le week-end avec sa mère et revenir chez son père à Laragne (Hautes-Alpes) le dimanche soir. La mère et la fille n'ont plus donné de nouvelles depuis vendredi dernier. Le domicile de la mère à Serres est vide. Le procureur de la République de Gap juge cette disparition inquiétante et vient de lancer un avis de recherche.
Si vous pensez avoir vu la mère et la fille, appelez le 17 ou le 04.92.67.00.04
La mère n'a pas de voiture ni de téléphone portable. L'une des pistes possibles est que la mère ait voulu rejoindre la Russie, son pays natal, en utilisant des transports en commun. Selon les enquêteurs, l'enfant est susceptible d'être en danger.
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Un militaire de Canjuers tué pendant une manœuvre Ven 20 Mar 2015, 06:49
Un militaire de Canjuers tué pendant une manœuvre
Lundi, en début d'après midi, un militaire a perdu la vie pendant une manœuvre à Canjuers, dans le var.
Le militaire a perdu la vie pendant une manœuvre. Il faisait partie du groupement de soutien de la base de défense de Draguignan. Benjamin Martin est mort lundi, en début d'après-midi. Le parquet militaire de Marseille a ouvert une enquête.
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Re: Quinson : Vol sous la menace d'une arme à Quinson : un mineur interpellé Mar 05 Mai 2015, 21:32
Mon neveu Kevin a disparu à Montferrat, région de Draguignan hier après-midi si vous le voyez ou l’avez aperçu, merci de prévenir la gendarmerie de Draguignan ou Pégomas.
Merci de partager si vous avez des contacts vers Draguignan
Il a 28 ans, son portable ne répond pas d'où notre inquiétude.
Nous avons besoin de personnes pour aller aider les gendarmes à le rechercher cet après-midi
Merci
* Montferrat, c'est prés de Canjuers non ?
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Re: Quinson : Vol sous la menace d'une arme à Quinson : un mineur interpellé Mer 06 Mai 2015, 21:41
RETROUVE ce matin, je n'en sais pas plus !
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Fréjus : Appel à témoin: Flora, 22 ans, est introuvable Jeu 23 Juil 2015, 13:52
La gendarmerie de Fréjus lance un appel à témoin pour retrouver Flora, une jeune fille de 22 ans. Selon les gendarmes, elle a quitté Roquebrune-sur-Argens (quartier de la Bouverie) lundi dernier dans l'après-midi.
Elle a été vue pour la dernière fois le même jour aux environs de 21 heures quittant la plage du Veillat à Saint-Raphaël en compagnie de trois garçons.
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE : DES MOTARDS VICTIMES D'UN CABLE TENDU SUR LA DÉPARTEMENTALE À VENTEROL Sam 01 Aoû 2015, 16:24
ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE : DES MOTARDS VICTIMES D'UN CABLE TENDU SUR LA DÉPARTEMENTALE À VENTEROL
C'est un acte de malveillance peut commun qui a causé la chute de deux motards italiens, en vacances en France, à la mi-juillet. Un accident atypique et très dangereux : un fil de fer était tendu en travers de la RD 854, à la sortie du village de Venterol (04). Une enquête de la gendarmerie est actuellement en cours pour rechercher les auteurs de ces actes de malveillance.
Bilan : de nombreuses fractures pour les deux motards blessés, qui ont été hospitalisés sur Gap.
Photo : illustration
Le maire de Venterol, José Sarlin : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Dernière édition par Faï Tirà le Mer 02 Sep 2015, 21:05, édité 1 fois
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Quinson : Vol sous la menace d'une arme à Quinson : un mineur interpellé Mer 02 Sep 2015, 09:01
Vol sous la menace d'une arme à Quinson : un mineur interpellé
Il y a quelques jours, un adolescent armé d'un couteau s'était emparé d'un portable près d'un camping à Quinson.
Jeudi 27 août vers 22h30 sur un chemin piétonnier près du camping "Les prés du Verdon" àQuinson (Alpes-de-Haute-Provence), un jeune homme mineur se promenait en compagnie de sa sœur. Ils ont été accostés par un individu, lui aussi mineur, qui va demander au jeune garçon son téléphone portable en le menaçant d'un couteau de table. La jeune victime prise de panique va donner son téléphone portable au voleur. Le jeune voleur s'est emparé du téléphone portable de la victime et a pris la fuite. Les deux victimes ont rejoint le camping et ont informé le gérant de l'agression dont ils venaient de faire l'objet.
Ce dernier a prévenu la gendarmerie qui a dépêché sur place les militaires du poste d'Esparron-de-Verdon. Des recherches vont être rapidement menées par les militaires du poste, eux mêmes renforcés par les gendarmes mobiles du DSI de Riez. Les gendarmes vont apprendre qu'un jeune homme correspond en tout point à la description faite par la victime et se sont donc présentés à son tuteur qui remet spontanément aux gendarmes le téléphone portable et le couteau découvert dans ses affaires. L'auteur a été immédiatement placé en garde à vue dans les locaux de la Communauté de brigades de Riez. Il reconnaîtra les faits de vols sous la menace d'une arme ; ce jeune homme mineur est convoqué devant le juge des enfants à Evry. Le téléphone portable sera restitué à la victime sur instructions du Procureur de la République.
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Hautes-Alpes: Deux crashs d'ULM au même moment en deux lieux différents Sam 05 Sep 2015, 10:17
Hautes-Alpes: Deux crashs d'ULM au même moment en deux lieux différents !
Situation insolite dans les Hautes-Alpes: Ce vendredi vers 12h, deux ULM de type gyrocoptère (Connus aussi comme autogires) se sont écrasés, mais dans deux lieux opposés, l'un au col Bayard l'autre au col de Manse. Ces accidents ont fait deux blessés légers. L'un dans chaque cas.
Dans le cadre de la mobilisation nationale des buralistes, plusieurs professionnels sont venus déverser des carottes, symbole des bureaux de tabac, devant les marches du Conseil départemental à Digne-les-Bains. Des pancartes affichaient le slogan « Supprimer les buralistes ne fera pas baisser le tabagisme ».
Ils se mobilisent contre la Loi Santé et les mesures anti-tabac, notamment l’instauration de paquets de cigarettes neutres. Selon eux, cela va développer le marché parallèle, mettant en danger les chiffres d’affaires des bureaux de tabac, sans régler le problème de santé publique.
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Un boulanger du Var dans le pétrin suite à un conflit avec l'armée Mar 22 Sep 2015, 20:15
Un boulanger du Var dans le pétrin suite à un conflit avec l'armée
Contraint de baisser le rideau, il vient d'être placé en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Draguignan. C'est l'armée qu'il juge responsable de ses déboires. En cause: un gros contrat stoppé brutalement. Mais qui avait nécessité de lourds investissements.
Dans le Var, le boulanger de Bargemon a baissé rideau. Il vient d'être placé en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Draguignan. Depuis un an, il est en conflit avec l'armée qu'il juge responsable de ses déboires.
En cause, un gros contrat de fourniture qui a nécessité d'importants investissements et que l'armée a stoppé brutalement.
Cet artisan livrait plus jusqu'à 7.000 petits pains par jour au camp de Canjuers. Il y a un an tout s'arrête, l'armée rompt le contrat sans préavis.
Pour rembouser ses dettes il réclame 270 000 euro d'indemnités à l'armée qui n'a pas souhaité communiquer sur ce litige. D'ici quelques mois le conflit sera jugé par le tribunal administratif de Toulon, en attendant, il n'y a plus de boulangerie artisanal à Bargemon,
Reportage à Barjemon d'Alexandre Dequidt et Francis Malory :
Boulanger dans le pétrin à Bargemon
Intervenants : Christophe Delsanti - Artisan-boulanger et Frédéric Casanova - Avocat de Christophe Delsanti
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Re: Quinson : Vol sous la menace d'une arme à Quinson : un mineur interpellé Lun 19 Mar 2018, 21:13
Nouvelle exposition au Musée de Préhistoire des gorges du Verdon: Des éléphants et des Hommes. Du 21 août au 18 décembre 2018, Jean Francois Mutzig expose une série de superbes photographies d'éléphants. De par ce témoignage photographique, l'ambition de la préservation de l'éléphant est au cœur du propos de Jean-François Mutzig mais également d'apporter une meilleure connaissance à l’égard de cet être attachant, qui mériterait un peu plus de considération.
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Hautes-Alpes : disparition inquiétante d'une femme de 39 ans Lun 25 Fév 2019, 11:51
La femme de 39 ans portée disparue depuis samedi était hospitalisée au Centre hospitalier de Laragne. Gendarmerie des Hautes-Alpes Elle a quitté l’établissement samedi vers 9h00 et n'a plus donné de nouvelles depuis.
La Gendarmerie recherche toute information permettant de localiser cette patiente du Centre hospitalier de Laragne. / Gendarmerie des Hautes-Alpes
La gendarmerie des Hautes-Alpes a lancé un appel à témoins pour retrouver une femme de 39 ans, disparue depuis samedi à Laragne.
Par Annie Vergnenegre
Appel à témoins
La gendarmerie des Hautes-Alpes a lancé un appel à témoin sur les réseaux sociaux pour tenter de la localiser.
Voici son signalement : corpulence mince, environ 01m60, cheveux châtains, yeux marrons. Elle pourrait porter un pantalon foncé et un sac rouge.
Toute personne ayant une information permettant de la localiser est invitée à contacter la gendarmerie de Laragne au 04.92.65.00.15 ou au 17.
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Valensole : Deux agresseurs d’un automobiliste arrêtés Ven 28 Juin 2019, 17:32
Valensole : Deux agresseurs d’un automobiliste arrêtés
Les deux individus interpellés, s'en sont pris à un automobiliste, sous prétexte qu’il avait commis une faute de conduite...
La route peut réserver bien de (mauvaises) surprises ! Ce qui s’est passé lundi soir sur la RD 15 entre Valensole et Oraison(Alpes-de-Haute-Provence) mérite bien cette affirmation. Cet usager de la route se souviendra longtemps de cette soirée où deux individus s’en prennent à lui sauvagement sous prétexte qu’il avait commis une faute de conduite.
Tout se passe donc ce lundi 24 juin à 19 heures 30. Cet usager est soumis à un vrai règlement de compte puisque après avoir été poursuivi et arrêté sur le bord de la route, il fait l’objet de violences. Son véhicule est dégradé et ses effets personnels lui sont dérobés.
Non satisfaits du résultat au premier abord, les délinquants prennent la direction d’Oraison où ils tentent de retirer de l’argent avec la carte bleue volée.
Saisis des faits, les gendarmes de la communauté de brigade Gréoux - Valensole mettent tout en œuvre pour identifier les agresseurs : constatations minutieuses, police technique et scientifique, exploitation de la vidéosurveillance, recherche du renseignement.
Aucune piste n’est écartée, et une efficace collaboration s’installe avec les polices municipales de Valensole et Oraison. Les deux individus sont finalement arrêtés et placés en garde-à-vue le 27 juin tandis que les objets dérobés son quasiment tous retrouvés et restitués à la malheureuse victime. Pour avoir voulu se faire justice et punir à leur façon cet automobiliste, ils répondront de leurs actes ultérieurement devant le tribunal correctionnel de Digne-les-Bains.
Les enquêteurs tiennent à rajouter que l’exploitation de la vidéosurveillance a permis une avancée majeure dans cette enquête de violence et vol en réunion résolue en quelques heures.
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Sujet: Re: Quinson : Vol sous la menace d'une arme à Quinson : un mineur interpellé
Quinson : Vol sous la menace d'une arme à Quinson : un mineur interpellé