Cœur Lavande nous informe sur la création d'un court métrage

Bravo à ce département

A télécharger pour la lecture.....


Voir le Fichier : guide_handironnement.pdf

La vidéo dure 3 min 51 et fait le buzz sur internet.
 
 Yan Giroux, un réalisateur québécois frappe fort avec ce court-métrage qui s’attaque à ceux qui ne respectent pas le stationnement réservé aux personnes handicapées en montrant que leur attitude est égoïste mais surtout dangereuse.
 
Un court-métrage fort
 
C’est une scène banale qui se déroule sous nos yeux au début du film, un couple cherche une place sur le parking d’un supermarché et s’installe sur une place handicapée en se justifiant par la fameuse phrase : "C’est juste pour deux minutes", d’où est tiré le nom du court-métrage.
 
Pendant ce temps, un autre automobiliste cherche lui aussi à stationner.
Handicapé, il ne peut plus profiter de la place qui lui est réservée.
L’homme se gare plus loin et doit donc traverser le parking en fauteuil roulant.
 Problème, la hauteur à laquelle il se trouve ne permet pas aux voitures de le voir dans leurs rétroviseurs. Le court-métrage s’achève sur une image poignante où l’on comprend que l’homme va se faire renverser.
 
 Un film engagé
 
L’objectif du court-métrage est simple, faire comprendre l’importance de respecter le stationnement handicapé.
 Malgré les apparences, se garer deux minutes seulement sur une place réservée aux personnes handicapées peut porter à de graves conséquences.
Ces places ne sont pas là uniquement dans un souci de confort pour les handicapés mais également de survie.
 
Tel est le message choc que le film souhaite transmettre. Aidé par une réalisation très réussie, il atteint sans difficultés son but.
 
Le raz-le-bol général
 
D’autres initiatives contribuent à la lutte contre les incivilités au stationnement.
 Le site Garé comme une merde propose, depuis mi-mars, un autocollant à apposer sur le pare-brise de ceux qui se sont installés sur une place réservée.
Celui-ci clame : "La bêtise n’est pas un handicap, allez vous garer ailleurs !".
Un ton énervé qui dénote un raz-le-bol général.
Celui-ci explique aussi en partie le succès de "Juste 2 minutes".

Redite puisque c'est toujours d'actualité



Film choc sur le handicap : Juste deux minutes !




Voici un court métrage québécois réalisé Yan Giroux fort en émotion tant qu’il crie de vérité. Il a pour but de faire comprendre l’importance de respecter le stationnement handicapé même pour deux minutes. En effet en deux minutes beaucoup de choses peuvent se produire sur un parking… ce que montre parfaitement cette vidéo.

 

Court-métrage sur l'importance de respecter les places de stationnement réservées qui démontre qu'il y a des 2 minutes qui peuvent devenir une éternité

 

 

 

Un émouvant court-métrage sur le handicap cartonne dans le monde entier

 

  

http://www.faire-face.fr/

Ce court-métrage a été primé dans des festivals partout dans le monde. Depuis sa mise en ligne le 25 janvier, The Present (le cadeau) suscite un véritable engouement sur la Toile. Pourquoi un tel succès ? En seulement quatre minutes, ce film d’animation inspiré d’une bande dessinée du dessinateur brésilien Fabio Coala et réalisé par l’Allemand Jacob Frey, alors étudiant de l’Institut d’animation de l’École de cinéma de Bade-Wurtemberg, véhicule un message simple et touchant sur le handicap et la différence. Un message nullement moralisateur auquel toutes les générations peuvent être sensibles.

Un cadeau à trois pattes

Si le film n’est pas disponible en français, peu importe ! Il pourrait être muet qu’on parviendrait tout de même à percevoir le sens de cette histoire naissante entre un jeune garçon et un chiot. Absorbé par les jeux vidéos, le gamin méprise le cadeau qu’il vient de recevoir de sa mère : un chien à trois pattes !
C’est sans compter l’insistance du cabot et son étonnant pouvoir de séduction sur son nouveau maître. Jusqu’au dénouement émouvant (juste ce qu’il faut)… Un cadeau à regarder et à partager absolument. 

 

 .

 

Signalé par Claudine Colozzi

Cœur Lavande nous informe sur la création d'un court métrage sur le handicap et l'emploi

 

 

Rédigé par Verdon-info

 

Cœur Lavande nous informe

En partenariat avec les jeunes de l'IUT GACO de Digne-les-Bains, l'association "Cœur Lavande" prépare sont court métrage sur la discrimination au travail.

Après le tournage de "TAG" en 2014 qui traité de la discrimination et du handicap à l'école, c'est au tour du thème discrimination et handicap au travail.

 

Notre projet de court métrage, vise à sensibiliser sur les conditions de vie des personnes Handicapées.

Ce projet vise à mettre à nu , les problèmes de discriminations dont son victime les personnes ayant un handicap.

Il a pour but de pérenniser les actions de sensibilisation, auprès des acteurs du marché du travail, notamment les employeurs.

Votre solidarité à ce projet , nous permettra de le réaliser, avec votre don nous participons tous à rendre la vie de ces personnes plus satisfaisante, ensemble on pourra se dire que nous avons fais un geste pour notre société.

Aussi ce projet vise à sensibiliser ,dans ce cadre il pourra servir d'exemple aux futures générations et à faire prendre conscience aux uns et aux autres qu'être handicap n'est pas une fatalité, ce n'est pas un choix, il faut juste être humain et solidaire avec ces personnes et leur montrer qu'ils sont humains avant tout.

 

Aidez nous à financer ce court métrage en cliquant ICI

Cœur Lavande nous informe sur la création d'un court métrage sur le handicap et l'emploi

 
Rédigé par Verdon-info




Cœur Lavande nous informe


En partenariat avec les jeunes de l'IUT GACO de Digne-les-Bains, l'association "Cœur Lavande" prépare sont court métrage sur la discrimination au travail.
Après le tournage de "TAG" en 2014 qui traité de la discrimination et du handicap à l'école, c'est au tour du thème discrimination et handicap au travail.
 
Notre projet de court métrage, vise à sensibiliser sur les conditions de vie des personnes Handicapées.

Ce projet vise à mettre à nu , les problèmes de discriminations dont son victime les personnes ayant un handicap.


Il a pour but de pérenniser les actions de sensibilisation, auprès des acteurs du marché du travail, notamment les employeurs.


Votre solidarité à ce projet , nous permettra de le réaliser, avec votre don nous participons tous à rendre la vie de ces personnes plus satisfaisante, ensemble on pourra se dire que nous avons fais un geste pour notre société.

Aussi ce projet vise à sensibiliser ,dans ce cadre il pourra servir d'exemple aux futures générations et à faire prendre conscience aux uns et aux autres qu'être handicap n'est pas une fatalité, ce n'est pas un choix, il faut juste être humain et solidaire avec ces personnes et leur montrer qu'ils sont humains avant tout.

 
Aidez nous à financer ce court métrage en cliquant ICI






Il est vrai que tout n'est pas simple dans la vraie réalité, et parfois les organismes qui sont là pour aider le demandeur handicapé rajoutent des barrières au lieu de les enlever.


 Je l'ai vécu personnellement.


Dans ma vie à un certain moment les problèmes ont frappé à ma porte. je me suis retrouvé au sortie d'une opération dite sans gros risque paraplégique. Les choses évoluant et la bonne volonté ont fait que je suis actuellement en invalidité à 80% avec la marche possible sur des courtes distances. J'ai donc fait une reconversion qui m'a amené du métier de maçon-tailleur de pierre à celui d'agent Administratif d'entreprise avec 3 ans de formation. 


Lors d'un recrutement à la suite de la formation, tout se déroulait assez bien à priori. J'avais même proposé des solutions, car en tant qu'ancien maçon et menuisier, je connaissais la technique bien que physiquement, je ne pouvais plus le produire tout seul . 


J'étais tout de même prêt à donner un coup de main. Et puis, ce n'était pas très compliqué. Quelques matériaux et quelques heures de travail tout simplement. La suite logique était obligatoirement de donner le dossier au organisme qui s'occupe de l'aménagement pour les personnes dans mon cas. Vous l'aurez compris, il n'y a pas eu de suite bénéfique.


Ici, pourtant les choses pouvaient être relativement simple si la candidature était potentiellement positive pour le recruteur, on ne sera jamais le fin mot de l'histoire. 
Je ne suis jamais arrivé à avoir une réponse réaliste à mes demandes d'explication pour les raisons de ce revirement.



À l'heure actuelle, il faudra de toute évidence réfléchir à de vraies simplifications, voire à autoriser les accords simplifiés pour les petites structures. 


En voulant toujours surprotéger, les gens ont créé d'autres difficultés qui dans la majorité des cas des petites et moyennes entreprises cloisonnent l'embauche à cause des difficultés potentielles et des coûts. On se base surtout sur les règles des grosses entreprises. Cependant sur nos secteurs, il y en a peu, c'est les petites entreprises qui offrent le plus d'emplois et les normes qui devraient pouvoir être beaucoup plus simples.


Cependant sur nos secteurs, c'est les petites entreprises qui offrent le plus d'emploi. Nous avons tous des aptitudes et des difficultés, même les personnes qui ont tous les sens fonctionnels , le tout est de s'adapter aux circonstances et celui qui est en obligation de le faire, c'est bien celui qui en a perdu certains et doit composer avec les autres dans son quotidien. Il a souvent plus d'aptitude d'adaptation. Le plus gros souci est donc le mode de recrutement et la perception des personnes qui en ont la charge.


La méthode actuelle de recrutement se fait sur papier (CV)et très peu sur la méthode de compétences réelles sur le lieu de travail qui demande plus de temps comme cela se faisait à une certaine époque. Lorsque j'ai débuté dans la vie active, je me suis présenté chez un maçon, pourtant, je n'avais qu'un BEP Agricole et quelque heures plus tard, je commençais mon travail.Quelques années plus tard , j'étais ouvrier qualifié et autonome dans mon travail et gérais le chantier tout seul. 


Le monde de l'entreprise ce n'est pas deux mondes opposés comme nous le montre les grosses sociétés multinationales , les médias, les organismes syndicaux ; c’est aussi et surtout des personnes qui travaillent sur la même route pour un but commun. Pour cela, il faut de la cohésion, du savoir-vivre , des compétences , un sens du partage et de la reconnaissance.... Changeons les normes , simplifions l'administration, réfléchissons autrement. C'est tout de même possible, je l'ai rencontré dans ma vie professionnelle et celle actuelle aussi ....


VV

Marathon de Paris : ces Provençaux vont parcourir 42,195 km en joëlette




Ryan, Matthieu, Fabrice et Erick seront dimanche à cette épreuve mythique




Par Isabelle Avot







Les trois sportifs aguerris vont offrir au jeune Ryan une aventure que celui-ci leur avait décrété "impossible" : courir le marathon de Paris.PHOTO I.A.
 
     
 
Les défis sportifs, ils connaissent... Matthieu et les deux frères Fabrice et Erick se sont alignés sur de nombreuses épreuves : sur marathons, triathlons ou ultratrails, ils ont vibré du plaisir de finir. 




Mais depuis quelque temps, ils décuplent ce plaisir à le partager avec des personnes handicapées. "Cela a commencé par une rencontre avec Jo Torchio qui cherchait des bras pour la montée solidaire Sainte Victoire, explique Fabrice.J'ai alors décidé de faire profiter de ma condition physique et d'aider ceux qui ne peuvent pas s'offrir ces extras. Quitte à faire un marathon, autant le faire pour une cause".


Une joëlette offerte il y a quelques années à Jo par le Rotary Club Pertuis-Cadenet, six bras et autant de jambes... Et les trois compères offriront à Ryan, 15 ans, jeune aixois paralysé, une aventure que celui-ci leur avait décrété "impossible" : courir le marathon de Paris.




Pour "leur petit loukoum"




"Conduire une joëlette nécessite un peu d'entraînement : une seule roue, deux personnes à l'avant et une à l'arrière, il faut trouver le juste équilibre et la bonne coordination. Depuis le changement d'heure, nous arrivons à mieux nous organiser pour faire des sorties avec Ryan. Mais nous savons très bien que sur un marathon, il y a des coups de moins bien... Nous nous y préparons aussi".


Côté budget, ils ont, là aussi, fait marcher la débrouille pour trouver près de 2 000 €.


De la solidarité, ils en ont trouvé auprès de petites entreprises locales : "Avec également une petite mise perso, on va pouvoir offrir à Ryan et à sa maman le déplacement et le logement sur Paris".


La performance sera bien évidemment d'arriver au bout de ces fameux 42 kilomètres 195... Car ils savent qu'il leur faudra passer le fameux "mur" de chacun. L'objectif pour ces habitués de la distance en trois heures et demie est revu largement à la hausse : "finir en 5 h 30 serait parfait !"


 Optimiste et enthousiaste, le trio affirme encore qu'il emmagasine aujourd'hui de l'énergie et que leurs forces seront décuplées le jour J : "Ce que l'on donnera n'est rien par rapport à ce que l'on recevra. Et sur le parcours, les encouragements nous porteront. 


Ryan sait qu'ils seront aussi pour lui, pour l'aider dans son quotidien qui peut ressembler à un marathon..."


Vivement dimanche pour Ryan qui ne tient plus en place : celui que ses porteurs appellent "leur petit loukoum" rêve de ligne d'arrivée... À cœur vaillant, rien d'impossible!

Les 100 lieux qu'il faut voir

Les Alpes de Haute-Provence, de l'Ubaye à la Provence de Giono


https://www.france.tv/france-5/les-100-lieux-qu-il-faut-voir/les-100-lieux-qu-il-faut-voir-saison-7/1872979-les-alpes-de-haute-provence-de-l-ubaye-a-la-provence-de-giono.html