Castaner et sa politique !

Forcalquier : Le domicile du maire a fait l’objet d’un tag inqualifiable

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[size=20]Le député-maire de Forcalquier Christophe Castaner navigue entre la colère et l’exaspération

Le domicile du maire de Forcalquier, Christophe Castaner, a fait l’objet d’un tag inqualifiable ce jeudi 12 mars. Le député-maire de Forcalquier navigue aujourd'hui entre la colère et l’exaspération. Et c’est compréhensible.

« C'est en rentrant du lycée que mon aînée a pu constater que la connerie n'avait plus de limite. Présent hier matin à mon domicile, j’étais, hier après-midi, à Matignon pour une importante réunion destinée à trouver des solutions pour les demandeurs d’emplois n’ayant pas atteint la limite d’âge de la retraite, quand ma fille m’a fait parvenir cette photo ». Le parlementaire avoue sa colère : «  ce tag de 10 mètres de long sur le mur de mon domicile me pose vraiment question »…

Il poursuit « Il y a quelques semaines, parce-que j'avais osé défier les députés du FN, j'ai fait l'objet d'une marée d’insultes, des messages pour la plupart anonymes au téléphone ou sur les réseaux sociaux. Des candidats locaux de l’UMP ont cru bon de relayer le message de Marion Maréchal Le Pen, … quand l’insulte est pris comme quelque chose de normal… c’est gravissime et inquiétant ».

Christophe Castaner de rappeler qu’un an en arrière pendant la campagne des municipales c’est sa vie familiale qui servait d’argument mensonger : « Dans le cadre du recours contre notre victoire, je fus obligé de produire le témoignage judiciaire de commerçant, dénonçant le procédé, les leaders de l'opposition n'eurent pas un mot de réponse, ni regret, ni refus... normal sûrement ».
Aujourd’hui voyant sa maison, souillée, il avoue un sentiment fort de colère comme homme, comme citoyen et père de famille. « Dérives de la bêtise, de la violence sans limites, chaque semaine je reçois à mes permanences des gens de tous bords, horizons sociaux qui viennent m’exprimer leurs soucis, craintes, je mets un point d’honneur à être attentif et à tenter de les convaincre que non tous les politiques ne sont pas des pourris, à lutter contre une hystérisation de la vie publique. Le dialogue doit rester notre plus bel atout du vivre ensemble ».
Le député-maire de Forcalquier de conclure : « J'en appelle au sursaut, à l'honneur, au respect ». Ce tag nauséabond sera nettoyé cet après-midi par une entreprise privée la charge financière en sera assumée par la victime.

Ce que le député avait dénoncé !



A l'Assemblée Nationale, il y a les défenseurs de la République , et il y a les autres...
 

 

Le maire de Forcalquier porte plainte après un tag insultant sur sa maison

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C'est sa fille de 15 ans qui a découvert le tag sur la maison familiale ce jeudi. Des inscriptions insultante qui visaient le député-maire PS de Forcalquier, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Choqué, Christophe Castaner a porté plainte.
 


Par Olivia Malongo







© JACQUES DEMARTHON / AFP Christophe Castaner député-maire PS de Forcalquier.

Le député-maire PS de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence), Christophe Castaner, a annoncé vendredi avoir déposé plainte après avoir découvert un tag insultant sur le mur de sa maison. La plainte a été déposée vendredi "à la gendarmerie de Forcalquier", a déclaré l'élu, qui a joint la photo de l'injure dans un communiqué vendredi. Elle a été taguée sur "environ 10 m de long" sur le mur d'enceinte de sa maison de Forcalquier et a été découverte "par (sa) fille de 15 ans qui rentrait de l'école jeudi".

Citation :

Il y a un discours ambiant du tous pourris en politique. Mais c'est oublier que, derrière tout responsable politique, il y a des hommes et des femmes, des pères ou mères de familles avec des enfants. Le respect, c'est accepter cela"

a poursuivi M. Castaner, qui sera tête de liste PS aux régionales en PACA

UMP 04, Acte 3 : Le grand déballage se poursuit
 
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Le député-maire PS Christophe Castaner réagit aux propos de Sébastien Ginet. G.M.

Suite à nos deux premiers papiers postés sur notre site mercredi matin, le député Christophe Castaner répond aux propos de Sébastien Ginet, et André Trentecuisse, délégué cantonal UMP de Digne, annonce sa démission et demande à Sébastien Ginet d'en faire de même.

Nouveaux épisodes dans l'affaire Sébastien Ginet… Et décidément, nos rédactions ont en la matière pas de quoi chômer aujourd’hui. Suite à nos deux premiers papiers postés sur notre site ce matin (le premier lié au fait que certains membres de l’UMP04 se sont désolidarisés de leur chef de fileSébastien Ginet, le second sur la plainte que ce dernier a volonté de déposer pour piratage de son mail) c’est cette fois le député-maire de Forcalquier Christophe Castaner qui a tenu à s’exprimer dans un communiqué envoyé aux rédactions.


« Une nouvelle fois les excès de Sébastien Ginet me mettent au cœur d'une polémique inutile. En effet ce dernier, profitant de la catastrophe épouvantable que nous avons vécu la semaine dernière avait jugé bon de m'accuser ''d’électoralisme compassionnel, de voyeurisme mal placé et d’indécence''.

 Le propos et le personnage étaient tellement ''décalés'' qu'il ne m'a pas semblé utile de répondre. J'aurai apprécié un mot d'excuse de sa part lors du conseil municipal de vendredi dernier mais celui-ci a préféré se taire. C'est son choix. Toutefois, après le conseil municipal (ndlr : du 27 mars dernier à Forcalquier), il a voulu relancer la polémique en diffusant un mail de Jean-Christian Grimaud, collaborateur de Daniel Spagnou, laissant penser que ce dernier aurait approuvé la méthode en mentionnant un « Vu par DS. C'est très bien ». Ce mail a été largement diffusé sous couvert d'anonymat. Sébastien Ginet annonce porter plainte contre l'auteur de la diffusion, mais ne conteste en rien l'avoir lui-même diffusé le 27 mars à 20h20 à ses proches et à des élus de l'opposition municipale de Forcalquier... cherchant à se couvrir ''en mouillant'' Daniel Spagnou ».

"Je regrette des procédés minables et peu courageux"

Christophe Castaner de rajouter : « J'ai eu dès hier un contact avec le maire de Sisteron. Il m'a fait part de sa désapprobation du message comme du procédé. Pour ma part, Daniel Spagnou a toute ma confiance. Pour moi, la polémique est close et je regrette une nouvelle fois que des procédés minables et peu courageux de quelques- uns se substituent aux débats d'idées et aux projets pour nos territoires ». Et de conclure « Avec Bernard Jeanmet-Péralta, avec Daniel Spagnou ( ndlr :tous deux UMP), par exemple, nous savons nous retrouver sur le fond des dossiers pour les faire avancer, de la même façon qu'avec les élus de ma famille politique. Là, est l'essentiel de notre action quotidienne ».


Avec cette affaire Sébastien Ginet, aujourd’hui, l’UMP04 fait véritablement l’actualité (à la veille de l’intronisation du nouveau conseil départemental où la droite a choisi hier le Manosquin Jacques Brès comme leader), et tient vraiment à déballer son linge sale en public puisqu'en début d’après-midi le délégué cantonal de Digne, André Trentecuisse, a annoncé qu'il démissionnait de son poste en se désolidarisant complètement de l’attitude de son secrétaire départemental qu’il ne peut accepter suite aux propos tenus à l’encontre de Christophe Castaner.

« Le 24 mars nous avons vécu une catastrophe dans notre département. J'étais de garde au centre de secours à Digne, j'ai fait partie des premiers équipages arrivés sur les lieux. J'ai encore en tête les premières images de cette catastrophe humaine », explique André Trentecuisse afin de resituer la problématique des propos de Sébastien Ginet. « Dans la journée, nos parlementaires étaient présents, avec environ 400 journalistes du monde entier. Le député Christophe Castaner a été plusieurs fois sollicité pour être interviewé par les télévisions et les radios. L'UMP 04 par la voix de son secrétaire départemental Sébastien Ginet a décidé de critiquer vertement le député Castaner en envoyant un communiqué de presse validé par Daniel Spagnou et Monsieur Grimaud ».

"Comment peux-tu sortir un torchon de ce genre ?"

André Trentecuisse s’en prend ouvertement et directement à Sébastien Ginet dans son communiqué diffusé à 13h en ce mercredi 1^er avril : «Comment Sébastien peux-tu dans un moment aussi dramatique, sortir un torchon de ce genre ? Ne sors pas d'excuse que l'on-t-a piraté ta boite mail puisque tu as diffusé sur ton Facebook le communiqué, pour le supprimer par la suite. Tu ne peux pas te positionner en tant que victime à chaque fois et tu dois assumer cette erreur absurde ». Avant d’enchaîner : « Comment peux-tu diffuser sur Facebook avant de le supprimer encore une fois que tu es choqué que le président des maires 04 ne soit pas invité pour la cérémonie du Vernet ? Faut-il un carton d'invitation pour ce genre d'événement ? »


"Ta bêtise n'a pas de frontière..."

En tout cas, « je te remercie Sébastien pour ce communiqué, grâce à toi, j'ai eu droit à des remontrances au sein de ma caserne. Eh oui !!!! Ta bêtise n'a pas de frontière et elle nous expose à des problèmes jusqu'à Digne… Il me semble il y a quelques mois, quelqu'un t'a demandé de cesser tes "pantalonnades"... » Apparemment cela n’a pas été suivi dans les faits vu les dernières sorties de Sébastien Ginet.


"Sébastien, tu es le flou de l'UMP04..."


Une certitude, « en ce qui me concerne, je condamne avec fermeté cette déclaration, je ne conçois pas ces méthodes pour faire de la politique et je ne souhaite pas être comparé à toi Sebastien. Par ta conduite, je ne tiens pas à accumuler des ennuis professionnels et j'ai informé le président UMP04 Michel Lanfranchi, Eliane Bareille, et Christian Barbero que je démissionnais de ma fonction de délégué cantonal de Digne », annonce André Trentecuisse. Avant de conclure : « Sébastien, tu es le flou de l'UMP 04, je t'invite à faire la même chose... »

En attendant les prochains épisodes, puisque n’en doutons pas il y en aura…

Christophe Castaner compare la famille Le Pen à la famille Addams

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Le député des Alpes-de-Haute-Provence Christophe Castaner mènera la liste PS lors des prochaines Régionales de décembre 2015. G.M.

Le député des Alpes-de-Haute-Provence, tête de liste PS aux Régionales dans la région Paca, réagit à la semaine de polémiques au Front National.

Tête de liste PS dans la région Paca aux prochaines élections régionales de décembre 2015,Christophe Castaner observe bien entendu avec intérêt les récentes déclarations de la famille Le Pen, qui se sont succédé depuis une semaine. Avec le retrait confirmé lundi matin de Jean-Marie Le Pen de la course aux Régionales, et la volonté de sa petite-fille Marion de prendre la tête de liste FN en Provence-Alpes-Côte d'Azur, le député-maire de Forcalquier n'a pas hésité dans un communiqué à comparer la famille Le Pen à la famille Addams... "La famille Le Pen, c'est la famille Addams de la vie politique française : quoi qu'il se passe, ils sont toujours là et les autres perdent à tous les coups. J'exige d'aller au-delà de cette télé-réalité et j'exige une vraie campagne pour les habitants de notre région avec une vraie ambition pour Provence-Alpes-Côte d'Azur". Pour Christophe Castaner, "On ne peut faire de l'avenir des 5 millions d'habitants de la région PACA une affaire de famille. La question n'est pas de savoir qui de Jean-Marie, Marine ou Marion sera le plus fréquentable. Le fond et les idées restent les mêmes. Je les combats".

Christophe Castaner : « Construire un projet partagé pour la Région »



Écrit par  Léo Purguette 

Christophe Castaner, le député-maire PS de Forcalquier et tête de liste socialiste aux élections régionales 2015 était à Marseille à l’occasion de la visite de Manuel Valls.

Christophe Castaner, tête de liste pour les régionales de décembre, était à Marseille vendredi pour assister à la signature du contrat de plan État-Région entre Manuel Valls et Michel Vauzelle, auquel il entend succéder à la présidence de Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Le contrat de plan État-Région est contesté par 16 personnalités de la droite régionale. Quelle est votre réaction ?

Le contrat de plan État-Région c’est 5 milliards d’euros, si tous les acteurs se mobilisent, qui seront injectés en 5 ans dans l’économie régionale. Il se négocie entre tous les partenaires. Ils auraient tous pu y prendre part, au lieu de cela ils ont préféré la politique de la chaise vide. Et maintenant, sous l’autorité de Christian Estrosi, ils signent cette lettre disant qu’il n’y a pas assez, jamais assez. Les mêmes qui ont doublé la dette de l’État en 5 ans, promettent de restreindre la dépense publique, demandent toujours plus pour leur seul territoire d’élection. L’attitude de Christian Estrosi est une insulte à l’égard de Michel Vauzelle et du préfet de Région lorsqu’il a refusé de les recevoir.

Avez-vous parlé de votre campagne avec Manuel Valls en marge de sa visite ? Êtes-vous un proche ?

Je lui ai succédé à la présidence des jeunes rocardiens. Nous sommes des compagnons de route depuis le début de notre engagement politique. Oui nous avons travaillé ensemble de façon informelle. Je sais pouvoir compter sur son soutien.

La direction nationale d’EELV a évoqué la possibilité d’une liste commune avec vous dès le 1er tour au regard du risque FN. Où en êtes-vous de cette hypothèse ?

Je travaille avec tous les partenaires. Au-delà du MRC, nous avons deux partenaires majeurs : EELV et le Front de gauche. Nous sommes ensemble dans la majorité sortante. J’aurais des rencontres cette semaine pour faire le point sur ce qui nous sépare. Au niveau régional, je crois qu’il n’y a pas grand chose. En revanche, si la question c’est qu’il faut se rassembler contre le FN, ça ne m’intéresse pas. Si la campagne c’est courir derrière Marion Maréchal-Le Pen comme le fait Christian Estrosi, ce sera sans moi. La réélection, au 1er tour, du candidat FN au Pontet montre combien nous, les partis traditionnels, devons nous réinventer. L’enjeu c’est de construire un projet politique partagé pour la Région.

Les militants socialistes ont adopté les listes de candidats dans chacun des six départements de la région, votre campagne entre-t-elle dans une nouvelle phase ?

Ces listes seront sans doute amenées à évoluer. Je travaille sur le projet notamment avec des citoyens, des personnalités, qui auront aussi leur place sur nos listes. Je tiens à cette dimension citoyenne. Le projet sera présenté à la rentrée.

Manuel Valls sera à Forcalquier mercredi.

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Manuel Valls lors d'une précédente visite à Forcalquier, en 2012. Photo archives.

Le Premier Ministre visitera un chantier d'insertion et rencontrera le député-maire de Forcalquier Christophe Castaner

Mercredi 5 août, le Premier Ministre Manuel Valls sera à Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) pour une visite de quelques heures. En fin de matinée, il visitera le chantier d'insertion dit du "Jardin de poche", avant de découvrir une partie du patrimoine communal. Il s'entretiendra ensuite avec le député-maire PS de Forcalquier Christophe Castaner, tout ceci à quelques mois des élections régionales. Rappelons que Christophe Castaner est tête de liste PS dans la région Paca et qu'il fera face à Christian Estrosi (Les Républicains) et Marion Maréchal Le Pen (Front National).

Pas de valse-hésitation Manuel soutient Christophe
 



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Christophe Castaner indique le chemin du Cloître des Cordeliers au Premier Ministre. J.L.I.

Le Premier Ministre Manuel Valls était en visite mercredi 5 août dans le fief de Christophe Castaner, Forcalquier.

Chemise blanche qui sied bien à la saison, pas rapide mais qui donne quand même le temps de saluer les centaines de locaux et touristes sur les chemins du centre ancien de Forcalquier, à peine son véhicule marque au lion garé place du Bourguet, le premier Ministre Manuel Valls était chaleureusement accueilli mercredi matin à Forcalquier par Christophe Castaner député-maire (PS) de Forcalquier, Jean-Yves Roux sénateur (PS) des Alpes-de-Haute-Provence. Rejoignaient ensuite le cortège officiel le président du Conseil Régional Michel Vauzelle, et les têtes de listes départementales PS des futures régionales de décembre.
Manuel Valls, en vacances dans les Alpilles a fait «un saut» jusqu’à Forcalquier pour une escale sur la thématique du patrimoine : visite de la station lavande rue Mercière (et oui la petite fleur bleue est aussi bien entendu un élément de notre patrimoine, et elle est en danger) halte à un jardin dit «de poche» où tous les métiers du patrimoine et de l’insertion de jeunes par ce biais sont représentés, montée jusqu’au plateau de la Citadelle qui domine la cité comtale (altitude 550 mètres pour un panorama à 360°) retour au Couvent des Cordeliers pour reparler de lavande avec l’Université des Senteurs et Saveurs, enfin rencontre avec les jeunes qui se sont lancés en formation et en insertion patrimoniale. L’ensemble du Couvent des Cordeliers avec son cloître, ses bâtiments et ses jardins reflète parfaitement la haute valeur ajoutée que constitue la pierre multiséculaire dans l’attractivité touristique et économique du bourg-centre du Pays de Forcalquier.
Visiblement Manuel Valls apprécie Forcalquier, où il était déjà venu ès qualité de Ministre de l’Intérieur, cette fois il y est revenu comme Premier Ministre pour une escale studieuse mais détendue. Moment fort et acte politique itou… pour afficher clairement son soutien au député-maire Christophe Castaner qui conduit la liste PS pour les régionales. Un repas privé dans un restaurant de la ville clôturait la visite du premier des Ministres suivi dans cette escapade en Haute-Provence par de très nombreux médias régionaux et nationaux.


Plus d'infos dans l'édition papier d'Haute-Provence Info à paraître le vendredi 7 août 2015.

L'Express fait sa une régionale sur Christophe Castaner






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Une équipe de journalistes a suivi la tête de liste PS pour les prochaines régionales en Paca.

Notre confrère national l'hebdomadaire L'Express daté du 9 au 15 septembre fait sa une en "décrochage" local sur Christophe Castaner tête de liste PS pour les prochaines régionales en Provence Alpes Côte d'Azur. Une équipe de journalistes à suivi le député-maire de Forcalquier cet été et livre ainsi son travail estival. CV, parcours, profils, équipe, fidèles, objectifs sont présentés dans les colonnes de l'hebdo.
 

Régionales : Christophe Castaner (PS) "contre les stratégies de plateaux de télévision"

 
Christophe Castaner, le candidat PS aux régionales en paca, se plaint de "l'hypermédiatisation sur les chaînes nationales" de ses adversaires qui ont "une ambition nationale", alors qu'il se présente comme "le candidat de la région".
 
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Ghislaine Milliet avec AFP






© JACQUES DEMARTHON / AFP Christophe Castaner député-maire PS de Forcalquier.


Christophe Castaner, candidat PS aux élections régionales en Paca, espère toujours "rassembler la gauche" avant le 1er tour et fustige ses adversaires Christian Estrosi (Les Républicains) et Marion Maréchal-Le Pen (FN) "hypermédiatisés sur les chaînes d'information nationales".

Citation :

"Je suis le candidat de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Contrairement à Marion Maréchal-Le Pen et à Christian Estrosi qui sont ceux d'un programme national élaboré par leur parti et qui ont une ambition nationale"

déclare Christophe Castaner, dans un entretien publié mardi dans le quotidien Nice-Matin.
Aux critiques qui notent sa discrétion, le député-maire de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) précise qu'il est en campagne sur le terrain depuis février dernier.
"Contrairement à Marion Maréchal-Le Pen et à Christian Estrosi hypermédiatisés sur les chaînes d'information nationales, notre stratégie n'est pas une stratégie de plateaux de télévision!", dit-il.

Il se présente comme un "candidat qui bosse" et tacle ses concurrents sur leur assiduité de députés:
"Christian Estrosi a attaqué Marion Maréchal-Le Pen sur sa présence à l'Assemblée. Or j'ai découvert récemment que le député-maire de Nice  était membre de la même commission que moi. Et je ne l'avais quasiment jamais vu...".



 
 

Portrait de Christophe Castaner

Alliance avec le Mouvement Républicain et Citoyen

En milieu de journée, Christophe Castaner, a annoncé son alliance avec le Mouvement Républicain et Citoyen (MRC)  et espère toujours "rassembler la gauche" avant le premier tour.

"Conscients de la responsabilité commune des forces de progrès pour porter un projet républicain de gauche en Provence-Alpes-Côte d'Azur, Christophe Castaner (...) et  Ladislas Polski, président de l'union régionale du Mouvement républicain et citoyen (MRC), ont décidé que le MRC et le PS feront listes communes à l'occasion des élections régionales", écrivent les deux hommes dans un communiqué commun.


Ensemble, ils se disent conscients des "divergences qui existent entre le MRC et le gouvernement (...) mais ils connaissent l'impérieuse nécessité, en Paca, de rassembler les femmes et les hommes de progrès", expliquent-ils.


Christophe Castaner continue à "tendre la main" à EELV et au Front de gauche, pour éviter que la gauche parte en ordre dispersé au 1er tour.
"Nous avons mené 18 ans d'actions communes et les différences de programmes sont minimes", plaide-t-il.

Citation :

"Dans cette région, menacée par l'extrême droite, on n'a pas le droit de se tromper de débat. Ce n'est pas un débat national mais régional".

Le social-démocrate "n'exclut personne à part le FN" pour construire un projet politique pour la région. Pour autant, il ne peut pas envisager une fusion de liste avec Christian Estrosi qui "porte des idées au moins aussi à l'extrême droite que Marion Maréchal-Le Pen".

Citation :

"La ligne politique de Christian Estrosi, c'est la ligne de Patrick Buisson, c'est-à-dire courir après le FN"

 
juge-t-il.

Dans la région Provence Alpes Côte d'Azur, gouvernée par la gauche depuis 1998, un sondage début août
annonce un scrutin serré au second tour: 35% pour Les Républicains, 33% pour le FN, 32% pour le PS rejoint par le Front de Gauche et EELV.

http://www.nicematin.com/
 
Les 15 propositions de Christophe Castaner pour la région Paca
 
 

Pour le député-maire de Forcalquier, « il est temps de sortir du débat national ».Valérie Vrel/La Provence

 
Le candidat du PS et de ses alliés a présenté mardi à Marseille son programme, fruit d’une centaine de rendez-vous dans tout le territoire. Avec comme priorités, l’emploi et la solidarité.




Parmi le programme de Christophe Castaner et de sa liste "Notre Région, notre fierté", voici quinze propositions essentielles.


Fiscalité, économie et emploi




1. Pas d'augmentation de la fiscalité régionale pour les ménages et les entreprises
2. Garantir l'accès au crédit et accompagner 8500 entreprises par an
3. Développer des aides d'un montant de 4000 euros à la première embauche, l'embauche d'un apprenti pour les TPE (très petites entreprises) et les artisans (11 000 jeunes par an)
4. Accompagner les nouvelles formes d'économie : économie sociale et solidaire, SCOP, SCIC (sociétés coopératives et participatives)


Education, transports et vie quotidienne




5. Créer un Plan lycée 2020 de 850 millions d'euros pour des lycées rénovés, connectés et économes en énergie
6. Sanctuariser le budget de la culture et l'amplifier par des volets transversaux au coeur des politiques régionales
7.Des transports régionaux "triple A" pour les usagers : "A l'heure, Assis et Avertis", 100% équipés en vidéosurveillance et connectés au très haut débit
8. Investir dans la modernisation du réseau routier et ferroviaire (500 millions d'euros chacun) pour inventer la mobilité de demain
9. Faire de la carte ZOU! un support "solidarité" unique : Zou culture, Zou sport, Zou santé, Zou scolarité, Zou mobilité, etc.
10. Le très haut débit partout, pour tous, grâce à l'intervention du Syndicat mixte ouvert "PACA THD" là où l'offre privée est défaillante


Santé et écologie




11. Lutter contre les déserts médicaux, les inégalités territoriales et sociales d'accès aux soins
12. Aider et investir dans 55 Maisons régionales de Santé
13. Garantir une région "zéro OGM", "zéro gaz de schiste", "zéro déchets non recyclables"
14.Créer une agence régionale de l'innovation agricole et préserver l'agriculture.

15. Enfin, la quinzième proposition de Christophe Castaner concerne le fonctionnement de l'institution : s'engager dans une démarche qualité de la relation à l'usager à travers la simplicité, la réactivité, l'efficacité, le respect et la transparence.

Attentats : Christophe Castaner souhaite la mise en place d'un service national obligatoire




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Le député-maire des Alpes-de-Haute-Provence, tête de liste PS aux Régionales en Paca, entend "sensibiliser aux valeurs de démocratie et de la République".

Christophe Castaner, député-maire de Forcalquier et président de la tête de liste PS aux Régionales en Paca, interpelle le Président de la République Françoise Hollande, suite aux attentats de Paris du 13 novembre. "Je demande au Président de la République d’engager une réflexion pour la mise en place d’un service national certifié obligatoire d’une durée de 6 mois. Ce service national doit permettre deformer à la République, de sensibiliser aux valeurs de démocratie et de la République".

Pour Christophe Castaner, "cette formation qualifiante pourra préparer les jeunes aux métiers de la sécurité en général et aux concours de police et de gendarmerie en particulier. Il pourra former au civisme, au premier geste de secours et de sécurité. Il s’agit de créer une véritable filière de formation au service de la défense de la République".



Alors qu'il suspend ses meetings et réunions publiques jusqu'au lundi 23 novembre, la tête de liste PS en Provence-Alpes-Côte d'Azur "demande également au Président de la République de réserver un quota aux jeunes de la Région Provence Alpes Côte d’Azur au sein des 5 000 créations de postes dans les domaines de la sécurité qu’il a annoncé.
Je veux également que les 2 écoles de police de la région (Fos-sur-Mer et la Paternelle) soient rouvertes pour préparer aux métiers de la sécurité en alternance dans le cadre des compétences de la Région".
 

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Christophe Castaner (PS) veut un service national obligatoire de six mois


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Le tête de liste PS pour les régionales en Paca Christophe Castaner, s'est prononcé pour un service national obligatoire. Il préconise une durée de six mois et concernerait "les jeunes à la sortie du lycée, au moment de la majorité". 
 
Ghislaine Milliet avec AFP




© JACQUES DEMARTHON / AFP Christophe Castaner député-maire PS de Forcalquier.




Le député Christophe Castaner, tête de liste du PS pour les régionales en Paca, s'est prononcé mercredi pour la création d'un service national obligatoire de six mois, condition d'un "électrochoc républicain" nécessaire selon qui après les attentats de Paris.

Citation :

"On est confrontés à un nouveau défi pour notre République, qui est celui de sa sécurité, et qui est aussi pour chacun des jeunes Français celui sur la manière d'être un citoyen du XXIe siècle"

a déclaré Christophe Castaner, se demandant: "Comment aujourd'hui (...) on peut consolider le lien national et faire vivre le sentiment d'appartenance à la nation?".

"On ne peut pas tout demander à l'école"

"Il faut s'interroger sur de nouvelles formes d'expérience collective (...) qui ne soient pas l'école : on ne peut pas tout demander à l'école", a-t-il poursuivi.
Et cette expérience doit être "obligatoire", a encore insisté le député-maire de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence):

Citation :

"La République n'est pas une option et l'appartenance à la communauté nationale n'est pas un choix".

Ce service national pourrait se faire sur six mois dans un secteur du service public, ou encadré par l'armée pour les jeunes "les plus éloignés de la société, les plus en difficulté", qui devraient être "identifiés" lors de la journée d'appel
à la défense nationale, a encore plaidé Christophe Castaner.

Citation :

"On a besoin d'un électrochoc républicain, je veux un pacte pour la République qui soit renforcé par un service national obligatoire"

a-t-il ajouté.
Ce service pourrait avoir lieu "à la fin du lycée, au moment de la majorité", a estimé le député-maire de Forcalquier.

Pour Christophe Castaner, "le Conseil régional tourne déjà le dos à la proximité"


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L'antenne de région de Digne-les-Bains. Françoise DENOYER

La fermeture potentielle des antennes de région irrite le député PS des Alpes-de-Haute-Provence.

Il y a quelques jours, le président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Christian Estrosi (Les Républicains) a évoqué la probable fermeture des antennes régionales dans les départements "afin de réaliser des économies de fonctionnement". Une annonce qui fait réagir le député PS des Alpes-de-Haute-Provence Christophe Castaner, candidat lors des récentes élections régionales 2015."Fermer les antennes régionales, en particulier à Gap et Digne-les-Bains, ou bien Avignon et Toulon, -car je pense que Nice et les Alpes-Maritimes conserveront un lien privilégié avec le Conseil régional, si ce n'est avec le 1er adjoint, président de la Métropole-

c'est mettre une barrière entre les alpins et l'institution régionale en supprimant un service de proximité".


Christophe Castaner poursuit : "Cette annonce me surprend. Au soir du second tour, le nouveau Président adoptait une posture d'ouverture vers tous les électeurs de PACA… Elle me surprend d'autant plus lorsque j'observe le président de la région PACA, également maire de Nice, qui, au nom des économies de fonctionnement... ne dépense que 395 000 euros pour sa propre cérémonie de voeux à Nice, au détriment des habitants de PACA. [...]

Il semblerait que dans un premier temps, les antennes soient transformées par des «permanences» tenues par un ou des agents régionaux dans les mairies qui voudront bien lui prêter un local…

J'attends sagement une réaction du Président de région suite à cette mesure".

Utilisation de la réserve parlementaire


http://www.christophe-castaner.fr/reserveparlementaire-castaner-transparen.html

Christophe Castaner : " Monsieur Estrosi, moins de communication, plus d'action ! "
 

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Le député-maire de Forcalquier réagit au sondage demandé par Christian Estrosi sur la Région PACA.

Après les révélations de Médiapart, selon lesquelles Christian Estrosi a commandé un sondage, payé par la Région, qui porte sur la politique régionale mais aussi sur l'image de son Président et sur ses adversaires politiques, Christophe Castaner a réagi.



Pour le député-maire de Forcalquier, adversaire de Christian Estrosi aux dernières Régionalesen décembre, « après trois mois aux responsabilités, chacun a pu constater que Christian Estrosi a principalement fait de la communication et très peu d'actions. Il a ainsi tenté de squatter les portiques de contrôle installés à la gare Saint-Charles par d'autres que lui pour faire croire qu'il mettait en place ses portiques de sécurité ».


Puis, « se rendant à Bruxelles et découvrant les fonds européens négociés par son prédécesseur, il a tenté de faire croire qu'il avait obtenu 200 millions d'euros. Mais d'idées, de fait, d'action : rien ! Nous comprenons aujourd'hui que Christian Estrosi attend de savoir ce que pensent les habitants deProvence-Alpes-Côte-d'Azur pour leur dire ce qu'ils ont envie d'entendre ».

Pour Christophe Castaner, « Ça suffit ! Le temps de la communication est terminé. Il est temps de se mettre au travail ! La première exigence qui découle de mon retrait pour battre le Front National en favorisant l’élection de Christian Estrosi, c'est la transparence. Je demande solennellement à Christian Estrosi de rendre public ce sondage, d'en communiquer le coût et de s'engager à ne plus utiliser l'argent public de la Région pour en financer de nouveaux. Le souvenir des sondages aventureux de son mentor Nicolas Sarkozy devrait favoriser son engagement ».

Christophe Castaner engagé contre le dumping social : « La France montre l'exemple »

http://www.christophe-castaner.fr/

 





 
 
 

 
Je vous donne rendez-vous demain à 7h50 en direct sur FrancebleuProvence.
https://www.francebleu.fr/provence

http://www.christophe-castaner.fr/

 

Budget économique régional 2016 : Christian Estrosi, FIER ? Ou honteux... ?

• Comment un tel budget, en baisse sur le principal axe de combat du président, pourra-t-il répondre aux besoins de notre jeunesse alors que le budget de la vie étudiante est en baisse ? ;
  

• Comment un tel budget pourra-t-il répondre aux engagements de la France envers les autres nations (USA, Japon, Russie...) alors que le budget alloué à ITER ne correspond pas à l'engagement de la Région pour son financement ;
  

• Comment un tel budget pourra-t-il répondre aux besoins d'aménagement numérique du territoire, si important pour nos départements alpins et notre arriere pays alors que le budget du syndicat mixte PACA THD est lui aussi en baisse!
  

Loi Sapin II
 
Intervention de Christophe Castaner lors de la discussion générale du projet de loi relatif à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique.

"300 000 pas vers vous" : Le défi du député Christophe Castaner



http://www.hauteprovenceinfo.com/








Pour annoncer le lancement de l'opération sportive et citoyenne, Christophe Castaner est parti à pied de Forcalquier, vers le Mont d'Or à Manosque. Christian KALINOWSKI




Christophe Castaner traversera à pied 40 communes de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence, entre le 28 août et le 10 septembre.



« 300 000 pas vers vous ». Le député la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence Christophe Castaner profitera de ses vacances parlementaires pour sillonner à pieds 270 kilomètres de route, à la rencontre des Bas-Alpins, du 28 août au 10 septembre. Ces 12 jours de marche, à travers 40 communes permettront au maire de Forcalquier de « redonner du sens » à sa démarche politique, en accordant à qui le souhaite le temps nécessaire à l’échange d’idées et d’opinions. « J’ai conscience de la rupture entre les citoyens et les instances publiques. Le système nous coupe de la réalité ».

Pour ceux qui se sentent l’âme sportive, il vous sera possible de partager quelques pas avec Christophe Castaner, et co-construire « une nouvelle forme d'échanges citoyens ». Et pourquoi pas, lui ouvrir votre porte le temps d'une nuitée ? A l'issue de chaque journée de marche et, on le souhaite, de discussions, le député dormira directement chez l'habitant, avant de repartir dès le lendemain, rencontrer sur les routes de nouveaux Bas-Alpins.

Solène PEILLARD

Plus d'infos dans votre hebdomadaire Haute-Provence Info disponible dans les kiosques du vendredi 5 au jeudi 11 août 2016.


Pour accueillir le député chez vous le temps d'une nuit : versvous@christophe-castaner.fr

« 300 000 pas vers vous » : Christophe Castaner a pris le départ de son défi
 
http://www.hauteprovenceinfo.com/
 
 
 
 

 
La première étape ce dimanche mènera Christophe Castaner jusqu'à Villemus. Guillaume MESSIEN
 
 
Ce dimanche 28 août, le député de la seconde circonscription s’est élancé de Corbières pour aller à la rencontre des concitoyens et échanger avec eux durant douze étapes.
C’est parti pour le député-maire PS de Forcalquier Christophe Castaner. Après avoir annoncé le 28 juillet dernier son action « 300 000 pas vers vous » afin de sillonner sa circonscription à pied en effectuant pas moins de 270 kilomètres de route, à la rencontre des Bas-Alpins, il a pris le départ ce dimanche matin de Corbières pour douze jours de marche jusqu’au 10 septembre. 
 
Ce départ a été donné sur les coups de 10h30 en présence notamment de plusieurs conseillers départementaux comme Delphine Bagarry ou Nathalie Ponce-Gassier, de l'ancienne maire de Pierrevert Sylviane Chaumont, ou encore du maire de Corbières et conseiller départemental, Jean-Claude Castel, son adversaire Les Républicains lors des législatives en 2012.
 
Comme il l’a affirmé peu avant son départ, « je suis impatient de prendre la route » pour aller à la rencontre des concitoyens de la circonscription pour échanger avec eux. Son premier rendez-vous était ce dimanche en fin de matinée à Sainte-Tulle avec un médecin généraliste pour évoquer la question « de la démographie médicale dans les milieux ruraux », avant de faire une pause à Pierrevert pour rencontrer le président de la Cave viticole. Sa première étape de 16 km s’arrête à Villemus, où il passera sa première nuit chez l'habitant.
 
Lundi, il prendra la route de Oppedette, avant dans la semaine de rejoindre Revest-du-Bion, Curel, Sisteron et La Motte du Caire d’ici le vendredi 2 septembre.
 

Christophe Castaner, jusqu'au bout du défi
 
 

Ma 1ere décision si j'étais président.


http://alpesdusud.alpes1.com/news/alpes-de-haute-provence/56860/alpes-de-haute-provence-prsident-dun-jour-le-maire-de-forcalquier-christophe-castaner

Christophe Castaner. HAUTE-PROVENCE INFO (archives)
 
 
Le député des Alpes-de-Haute-Provence, soutien d'Emmanuel Macron, l'a annoncé lundi dans un courrier.
 
 
La décision de Christophe Castaner de "suspendre immédiatement [son] appartenance au Parti Socialiste" a été officialisée lundi dans un courrier adressé au premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, publié par nos confrères du Figaro. Le député de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence, porte-parole et soutien d'Emmanuel Macron, indique : "Depuis plus de 30 ans, je vis, hélas, nos échec collectifs, notamment contre le chômage de masse ou les difficultés pour réussir l'intégration. Depuis plus de 30 ans, je vois notre Parti Socialiste se replier sur lui-même et vieillir doucement. [...] Aujourd'hui, comme tu me connais, et comme tu le sais, il ne m'est pas possible de me ranger derrière celui qui fut le chef de file des frondeurs pendant 5 ans (Benoît Hamon, ndlr). Aussi, je ne lui donnerai pas mon parrainage pour l'élection présidentielle et j'accorderai celui-ici à Emmanuel Macron, dont je sais qu'il est le seul rempart au Front National".
 
 
Dans son courrier, le député-maire de Forcalquier poursuit : "Je ne me résous pas, une nouvelle fois, au retrait comme seule ambition politique ou à la disparition dès le 1er tour. [...] Pour toutes ces raisons et pour être cohérent avec mes choix, je t'annonce suspendre immédiatement mon appartenance au Parti Socialiste. C'est une décision lourde pour moi. Mais, si j'ai pu me trouver, souvent, minoritaire au sein du parti, ce ne fut jamais pour voir celui-ci se tourner vers la gauche radicale, oubliant le réel au nom d'un faux idéal".

Présidentielle : Cinq choses que vous ignorez sur Christophe Castaner, potentiel ministre d'Emmanuel Macron




PRESIDENTIELLE En cet entre-deux-tour, le député des Alpes-de-Haute-Provence est partout dans les médias…
 
 
http://www.20minutes.fr/




Christophe Castaner, député-maire de Forcalquier. - BORIS HORVAT
Mathilde Ceilles
 
 
 
 
Quiconque s’intéresse un peu à cette campagne présidentielle l’a déjà aperçu sur un plateau de télévision. Porte-parole d’En Marche !, le député des Alpes-de-Haute-Provence est en première ligne pour cet entre-deux-tours. Zoom sur celui qui sera en réunion publique ce samedi à Marseille.
 
 
>> A lire aussi : Présidentielle : Qui d'Emmanuel Macron ou de Marine Le Pen est le plus proche de vos idées? La Boussole a la réponse
 
 
Il s’est engagé en politique pour Michel Rocard. « Je voulais le défendre de l’intérieur, j’étais jeune et impétueux, s’amuse-t-il. Je croyais en la volonté transpartisane, en son big bang politique. » Lycéen, il prend donc sa carte au Parti socialiste et milite au côté de Patrick Allemand, aujourd’hui conseiller municipal à Nice qui voit en Christophe Castaner « un compagnon de route militant ». « Il a toujours été un leader, quand on lui confiait des responsabilités, il essayait toujours de faire de son mieux » affirme-t-il. Le natif d’ Ollioules (Var), arrivé dans les Alpes-de-Haute-Provence dans l’enfance, a ensuite fait ses armes (politiques) auprès de la ministre de la Culture Catherine Trautmann et de Michel Sapin, alors ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l’État. Il est également maire deForcalquier (Alpes de Haute-Provence) depuis 2001.







Alpes de Haute-Provence : disparition M.Rocard, « il a été mon engagement en politique», C.Castaner
POLITIQUE / Rocardien depuis son engagement en politique dans les années 80, le député-maire PS de Forcalquier perd son « mentor ».
alpesdusud.alpes1.com
 
Il assume un « côté kéké » Dans un grand éclat de rire, Christophe Castaner le confesse : « Je suis une grande gueule, un frimeur. Je fais attention à ce que mes costumes soient originaux, je cultive ma barbe de trois jours…. Tous les politiques ont un égo surdimensionné, mais moi je le sais ! » Le maire de Forcalquier est souvent décrit comme une « belle gueule », comme l’analyse Jean-Claude Castel, son adversaire divers droite lors des dernières législatives. « C’est un homme intelligent, charmeur et au physique agréable. C’est plus facile quand tu es beau gosse et que tu fais 1,80 m, même en politique ! », lance-t-il. Une « image réductrice » qui parfois agace le principal intéressé, qui regrette que l’une des principales recherches Google à son sujet consiste « à savoir s'[il] a une meuf ! »
 
 
>> A lire aussi : Les infos immanquables du jour : Mélenchon et son triangle rouge, Macron avant/après et manifs ni Macron ni Le Pen
 
 
Il a déjà affronté une Le Pen. En 2015, alors que le président socialiste de la région PACA annonce qu’il ne se représente pas, Christophe Castaner, ancien vice-président du conseil régional, est investi comme tête de liste, face à Christian Estrosi pour les Républicains etMarion Maréchal-Le Pen pour les frontistes. Mais, au second tour, les socialistes n’obtiennent que 16,59 % des voix, et une triangulaire entre le Front national, en tête, les Républicains et les socialistes se profile.
 
Le soir du premier tour, il annonce qu’il se retire. Une vraie « preuve de courage » pour Patrick Allemand, une décision prise en échange d’un poste promis de « secrétaire d’Etat » selon Sébastien Ginet, conseiller municipal Les Républicains à Forcalquier et futur adversaire de Castaner aux législatives, un « deal » avec Estrosi en vue des législatives selon Jean-Claude Castel. Le principal intéressé l’assure : « Aucune promesse politique, aucun deal, c’est une connerie totale, affirme-t-il. La question était : "Est-ce que je vais faire élire Marion Maréchal-Le Pen présidente de la région ?" Il était hors de question d’infliger aux habitants de Paca ces gens-là ».








Il a été rapporteur de la Loi Macron. A l’époque de sa candidature aux régionales, tous les articles qui sont consacrés à Christophe Castaner notent un manque de notoriété. Dans un article de 2015, RTL déplore même le fait que son nombre de followers sur Twitter ne culmine qu’à quelque 3.600 personnes. Deux ans plus tard, il en compte presque 12.000. 


La raison ?


 Emmanuel Macron. Le maire de Forcalquier le rencontre pour la première fois en 2013, alors qu’il est encore secrétaire général de l’Elysée. « Je venais lui parler d’une grosse entreprise des Alpes-de-Haute-Provence et en quatre minutes, j’ai compris qu’il connaissait mieux le dossier que moi ! ». Quelques mois plus tard, il devient rapporteur de la loi Macron. « Mais ce n’était pas un choix du prince, c’est mon groupe qui m’a désigné car je suis spécialiste des questions d’épargne salariale, et qu’il y avait un volet là-dessus. ».







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La suite, on la devine : les deux hommes travaillent beaucoup ensemble, se rapprochent. Christophe Castaner quitte le Parti socialiste qui « n’a jamais tranché entre les deux gauches irréconciliables », accepte la proposition d’Emmanuel Macron d’être porte-parole d’En Marche. Mais il y a un revers à la médaille. « On ne le voit plus, il est drogué à BFMTV », tacle Sébastien Ginet à la mairie de Forcalquier. « C’est vrai que je suis pleinement dans la campagne, concède Christophe Castaner, mais j’ai un très bon premier adjoint et une très bonne directrice générale des services. »
 
 
>> A lire aussi : VIDEO. Blocus, sit-in, manifestation « sauvage » … Les lycéens mobilisés contre Le Pen (et Macron)
 
 
Il a fait le buzz avec une écharpe du PSG Lors du dernier meeting d’Emmanuel Macron, Christophe Castaner a fait le tour des réseaux sociaux en faisant sauter la salle sur un traditionnel « Qui ne saute pas n’est pas Marseillais », une écharpe de l’OM autour du cou. Quelques minutes plus tôt, il était monté sur l’estrade avec une écharpe du PSG pour titiller le public. « Quand vous êtes chauffeur de salle, vous êtes là pour mettre l’ambiance, s’amuse-t-il. A Toulon, j’ai fait le Pilou-Pilou, pour après faire un discours sérieux. Il ne pas faut pas sacraliser la fonction d’élu. On ne va pas être crispé du trou du cul ! (Sic) »




 
 
Au-delà de l’anecdote (et de la formule), cet épisode montre un atout de Christophe Castaner que lui reconnaissent ses opposants. « C’est un très bon communicant, note Jean-Paul Castel, mais bon, il n’a pas mieux à faire à l’Assemblée ? » Le député a en effet entrepris une marche tout au long de son département pour rencontre ses administrés, ou s’est encore glissé dans la peau de dix métiers le temps de quelques heures. « Il y avait France 3, c’était de la communication, mais c’était un des meilleures expériences de ma vie, j’ai appris beaucoup », assure-t-il. Et d’ajouter : « Je l’ai fait pendant les vacances parlementaires ! »
 
Bonus : bientôt ministre ? Bon, on ne vous apprend rien, il faut d’abord voir si Emmanuel Macron devient président de la République. Mais, forcément, la question est sur la table. « Je l’espère pour lui, confie Patrick Allemand. Il le mériterait. Il a toutes les qualités. Castaner est un bosseur, il a une longue expérience politique, Emmanuel Macron a besoin d’hommes expérimentés. »
 
 
>> A lire aussi : Présidentielle : Valls veut participer à «la majorité gouvernementale » de Macron
 
 
Il y a deux ans, Christophe Castaner jurait qu’il n’en voulait pas. Aujourd’hui, il reste prudent. « Les plus proches sont souvent les premiers sacrifiés. Ce sera un gouvernement serré, il y a assez peu de place pour des mecs comme moi, députés PS sortant. Donc je me monte pas la tête pour ne pas être déçu. Mais ma fierté sera de claquer la bise au Président le 7 mai prochain. »

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Je crois que c'est un monsieur qui a les dents très longues et qui rayent le parquet !!

 
 
 

 
Christophe Castaner à l'Elysée le 14 mai lors de l'investiture d'Emmanuel Macron. / © STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
 



Les relations avec le Parlement pour Christophe Castaner. Le député-maire de Forcalquier est remercié pour son engagement. Il s'est très tôt mis en congés du PS pour rouler pour Macron. Né dans le Var à Ollioules, Christophe Castaner s'est implanté dans les Alpes-de-Haute-Provence.




Par Karine Bellifa
 
Il vient d'être nommé secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement et sera également le porte-parole du gouvernement. Christophe Castaner restera proche de celui qu'il craignait de voir s'éloigner au moment de l’investiture « L’homme vous échappe, il devient président de la République".



Une récompense pour ce député socialiste des Alpes-de-Haute-Provence qui s'est très tôt mis en congés du PS pour soutenir Emmanuel Macron. C'était l'un des piliers de sa campagne, le porte-parole du futur chef de l'Etat.  





Christophe Castaner, Brigitte Macron et Jean-Marie Cavada, à Marseille, le 1er avril dernier. / © BERTRAND LANGLOIS / AFP


Un juriste né dans le Var
 
Le maire de Forcalquier a 51 ans. Il est né à Ollioules dans le Var. Christophe Castaner est marié et a deux enfants. Comme Sylvie Goulard, il a fréquenté les bancs de la fac de droit à Aix-en-Provence. Il est titulaire d’un DESS de juriste d’affaires internationales et d’un diplôme de sciences pénales et de criminologie, il a complété sa formation en sciences politiques.








Qui est Christophe Castaner, le député-maire de Forcalquier, pressenti pour être ministre ?


Qui est Christophe Castaner, le député-maire de Forcalquier, pressenti pour être ministre ?
C'était l'un des piliers de la campagne d'Emmanuel Macron., Christophe Castaner s'est très tôt mis en congés du parti socialiste pour soutenir l'actuel locataire de l'Elysée.

Une expérience dans les ministères
 
Christophe Castaner a été conseiller technique de Catherine Trautmann, ministre de la Culture en 1997. Il devient ensuite son chef de cabinet, puis celui de Michel Sapin alors ministre de la fonction publique. Il ravit la mairie de Forcalquier en 2001. Son siège de député de la 2e circonscription des Alpes-de-Haute-Provence, il le conquiert en juin 2012.



Se retire pour éviter de laisser la région Paca au FN
 
Christophe Castaner est désigné le 5 février 2015 tête de liste pour les élections régionales de 2015 en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Il ne présente pas de liste au second tour pour faire barrage au Front national. Cela permet l'élection de Christian Estrosi à la tête de la région. 

 

 


 
 
Alpes-de-Haute-Provence : du rififi à Forcalquier
 
 
 
Une association citoyenne de Forcalquier, qui compte deux cents adhérents, conteste la gestion de la ville par l’ancien maire PS Christophe Castaner. Celui-ci a quitté son siège de maire en juillet 2017, suite à sa nomination comme porte-parole du gouvernement Macron




Par Jean-François Giorgetti




L’association Croire en Forcalquier créée en 2014, reproche à Christophe Castaner sa gestion de la commune, qu'elle estime hasardeuse, notamment en ce qui concerne le Plan local d’Urbanisme qui a été annulé par le tribunal administratif de Marseille suite à une action engagée par les commerçants du centre-ville. Dans le PLU il serait notamment prévu de rendre constructible un terrain agricole, sur lequel serait construit le déplacement du supermarché voisin. Un nouveau PLU a été déposé et est en cours d’élaboration.

L'association soulève également d'autres dossiers :

 Un permis de construire contesté dans le centre historique

Laurence Peyrot a vu se construire devant ses fenêtres une terrasse tropézienne, qui a nécessité une surélévation de l’immeuble en face de chez elle. Ce bâtiment appartient à la municipalité qui a mis en œuvre une opération de réhabilitation. Les travaux de rehaussement ont commencé en 2012. La retraitée a attaqué, devant le tribunal administratif de Marseille, le permis de construire délivré à la commune par Christophe Castaner alors maire de la ville. Un premier jugement déboute Laurence Peyrot.

En 2016 la Cour Administrative d’Appel de Marseille lui donne raison, et annule définitivement, le permis de construire, parce qu’il ne respecte pas les règles d’urbanisme. La retraitée demande la destruction. Dans le même temps le maire redépose un nouveau permis de construire identique au premier. Selon Christophe Castaner "il s’agit d’un problème de croquis".

Un jeu d’écriture comptable

En 2001 Un entrepreneur qui a bénéficié du dispositif usine relais doit rembourser à la ville près de 230 000€. La dette va dormir Pendant plus de dix ans dans la comptabilité de la commune. Le 10 janvier 2012, Christophe Castaner, annule la créance dans un certificat administratif. Dans ce document il est indiqué que :" ces écritures ont été réalisées lors de la vente des ateliers Distillerie de Lure et Bains et Arômes, afin de basculer comme c'est la règle, les subventions d’équipement perçues en fonctionnement. »
Le débiteur était Pierre Garcin, le 1er adjoint du maire et aussi Président de la Communauté de communes Pays de Forcalquier Montagne de Lure. Depuis, il a démissionné 

Les réponses de Christophe Castaner apportées par SMS

A propos de la dette annulée en janvier 2012, il explique qu'il s’agit d’un simple jeu d’écriture comptable qui régularise des amortissements de subventions d’équilibre faits sur les usines relai en 1999 et 2001. En revanche Christophe Castaner ne dit pas pourquoi la commune a attendu 11 ans pour régulariser cette créance. 

Au sujet du PLU, l’extension du supermarché ne fait pas partie du débat juridique.

Par contre l’actuel porte-parole du gouvernement n’apporte aucune réponse sur la dette de la commune qui atteint en 2015 les 8.057 millions d’€uros, soit 1653 €uros par habitant. Source www.impots.gouv.fr

Reportage Jean-François Giorgetti et Sidonie Canetto

 
 
Christophe Castaner, député des Alpes-de-Haute-Provence, élu à la tête de La République en Marche / Maxppp
 
 
 
Dans le cadre de son premier congrès qui se tient ce samedi 18 novembre à Lyon, La République en marche vient de porter à sa tête Christophe Castaner. Le parti présidentiel compte sur ce proche d’Emmanuel Macron pour lui donner un nouvel élan.




Par Marc Civallero
 
 
Christophe Castaner a été élu sans surprise ce samedi à la tête de La République en marche, lors du Conseil du parti à Chassieu près de Lyon. Seul en course pour ce scrutin à main levée qui se tenait à huis clos, le député des Alpes-de-Haute-Provence occupera officiellement le poste de "délégué général" pour un mandat de trois ans.

Dans un communiqué La République en Marche a précisé qu'il a été élu à l'unanimité des présents moins deux abstentions

Christophe Castaner : un élu alpin

Christophe Castaner est élu maire PS de Forcalquier dans les Alpes de Haute-Provence en 2001. Réélu en 2008, il devient aussi président de la communauté de communes. En 2014 il entame un 3ème mandat de maire auquel il met un terme le 22 juillet 2017. Christophe Castaner a aussi des responsabilités au conseil régional de Provence Alpes Côte d'Azur : conseiller régional en 2004, il est réélu en 2010 mais démissionne en 2012. En 2015 les militants du PS le désignent comme tête de liste aux élections régionales. Arrivé en 3ème position derrière le Front National et les Républicains, il renonce à se présenter au second tour pour faire barrage au FN et permettre l'élection du candidat LR Christian Estrosi. Christophe Castaner devient par ailleurs député des Alpes de Haute-Provence en 2012. Il est réélu en 2017.
 
 

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Surprise !!! ????
 
 
Bravo l’opportuniste après ce suspense insoutenable....
 
 


Double rémunération ??

Alpes de Haute Provence : Christophe Castaner va, cet été, rallier à pied Paris à Forcalquier
 
Publié par Laurie Charrié 
 
 
https://www.dici.fr/
 
 
 
 




Il va remettre ça : l'ancien député-maire de Forcalquier, Christophe Castaner, a décidé de rallier l'été prochain Paris à Forcalquier, à pied voire en courant ! Une initiative évidemment naturelle pour celui qui dirige le mouvement en marche, et qui par ailleurs, on le sait, est secrétaire d’état chargé des relations avec le Parlement.
En s'en souvient, Christophe Castaner avait déjà fait une longue marche en 2016 : il avait en effet traversé toute sa circonscription à pied de Forcalquier jusqu'au col de Larche, en passant par Manosque, Sisteron et Barcelonnette. Beaucoup de symbolique autour de cette initiative : la ruralité, mais aussi la santé ; C'est ce qu'il a confié à Jean-Marc Passeron.


 
 
 
En voiture avec chauffeur ou à pieds et pi’, il n’a rien d’autre à foutre !!!!

Quand un politique parle pour ne rien dire et fait l'amalgame entre les catholiques et les islamiques !!


Il a perdu encore l'occasion de se taire

A t'il confondu le chapeau et le voile ...ou la voilette ??  Quel ignorant !!!

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Quand Christophe Castaner compare le voile islamique et le "voile catholique"


 

Publié par Barbara Tornambé 

https://www.dici.fr/

 


 
Quand Christophe Castaner compare le voile islamique au voile catholique... Le Délégué Général de La République En Marche était l'invité de RTL ce lundi matin. Il est revenu sur plusieurs déclarations d'Emmanuel Macron après son interview télévisée ce dimanche soir. Parmi elles, celle à propos du voile islamique. Le président de la République a estimé que le port de ce dernier « n'était pas conforme à la civilité dans notre pays ».


Mais pour Christophe Castaner, il y a quelques années, en France, "toutes les femmes catholiques étaient voilées" :

VIDEO

https://www.lejdd.fr/

 

 Les erreurs de jeunesse de Christophe Castaner


Jeux de cartes et mauvaises fréquentations : le chef du parti présidentiel Christophe Castaner a commis quelques erreurs de jeunesse.

 

 

 

Christophe Castaner est aujourd'hui secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement. (Abaca)

 

 

 

Christian Oraison, dit "le Grand Blond". Si ce nom ne vous dit rien, sachez juste que cet homme, un caïd des Alpes-de-Haute-­Provence, a été abattu de plusieurs balles de 9 millimètres, une nuit d'août 2008, alors qu'il ­s'apprêtait à rentrer chez lui. Le "Grand Blond" avait été formé par ­Gaëtan Zampa, l'un des parrains du Marseille des années 1970. Et, fait beaucoup moins connu, c'était un proche de Christophe ­Castaner, l'actuel ministre des Relations avec le Parlement. "Oraison, c'était mon grand frère, mon protecteur. Il m'appelait l'étudiant", confirme le chef d'En marche, le parti présidentiel.

 

 

"J'ai été sur le fil du rasoir", raconte aujourd'hui Christophe Castaner

 

À Manosque, on joue au poker dans un appartement au-dessus d'un petit bar, L'Oasis. Un repère de bandits. Dans cette atmosphère enfumée où l'on s'imbibe de whisky, les parties s'éternisent jusqu'au petit matin. "Le poker était un truc réservé à un milieu interlope", se souvient Castaner, qui, à l'époque, avait quitté le foyer familial. De ces années, il conserve quelques discrètes cicatrices, et le reconnaît : "J'ai été sur le fil du rasoir."…

 

 

Lire aussi : Quand l'insoumis Ruffin accuse Rugy "d'organiser le sabotage du Parlement"

 

 

Puis "l'étudiant" reprend ses études. Il fait du droit à Aix, fréquente les clubs Forum, le courant des jeunes rocardiens. Michel Sapin se chargeait du suivi des jeunes. "Je ne l'avais pas remarqué", se souvient-il. "On partageait les mêmes idées, mais ce n'était pas son trip de passer trois heures sur un texte", note Christophe ­Clergeau, ­l'intellectuel de la bande, aujourd'hui élu de la Région Pays de la Loire. Mais à Forum, on sait aussi se détendre. Un soir, Alain Bauer, l'un des chefs de file avec Manuel Valls, s'amuse à trouver des surnoms "uderziens" à ses camarades. "Nous sommes un petit village gaulois assiégé par des camps romains de mitterrandistes", s'amuse Bauer. Rocard deviendra "Hamster-Erudix", son nom de scout agrémenté d'un "x". ­Castaner devient "Casta-Comix". "Dans le rôle du jeune prétendant, du bel amoureux de Falbala", décrypte Bauer. Coureur avant d'être marcheur ? "Séducteur", nuance l'intéressé.

La rupture avec Hamon

Quand les dirigeants historiques des clubs Forum, autour de Valls et Bauer, passent la main, un quatuor de jeunes inconnus ­reprend les commandes : François Blouvac (aujourd'hui directeur de cabinet de Castaner à En marche), Benoît Hamon, Olivier Faure et Christophe Clergeau. Castaner, lui, n'accédera pas à la direction nationale du mouvement. Sa mission, ce sera d'abord d'implanter le rocardisme dans sa région, le Sud, pendant que ses petits camarades montent à la capitale. Hamon et Faure y partagent un appartement. "Un phalanstère de mecs", se rappelle Hamon. Castaner y passe ­régulièrement. Ensemble, ils fréquentent le ministère des DOM-TOM où règne leur ­bienfaiteur, le rocardien Louis Le Pensec. Rocard est à Matignon. Tous ­préparent l'étape d'après : l'Elysée.


 

Pour certains, les liens créés à cette époque ont perduré. Alors que Castaner préparait L'Emission politique de France 2, le 17 mai dernier, il a ainsi envoyé un SMS à Olivier Faure, Premier secrétaire du PS, "pour lui dire que c'était quand même drôle qu'on se retrouve tous les deux sur le plateau". Avec Hamon, en revanche, les ponts sont coupés. L'ex-candidat du PS à la présidentielle explique : "Ce à quoi adhèrent Casta ou Collomb sur les migrants, sur les questions de travail, ça me laisse complètement pantois. Pour Castaner, cela relève du voyage des oiseaux migrateurs. Il a changé de continent. Un abîme nous sépare".

L'aventure Rocard prend fin avec l'échec des européennes de 1994. Castaner trouve refuge à la mairie d'Avignon. Il y est adjoint au directeur général des services. Les agents l'apprécient et tout se passe bien. Jusqu'aux municipales de 1995 : le maire PS sortant, Guy Ravier, bataille contre la candidate RPR Marie-­Josée Roig pour conserver son poste. Un soir, des militants socialistes distribuent une bande dessinée. "Un d'eux m'appelle vers minuit, se souvient Castaner. Il me réveille et me dit : 'Casta, je crois qu'on fait une connerie.' Je n'avais pas vu la BD. Je me rhabille, je débarque et je dis stop !" En dernière page, on y voit une caricature pornographique de Roig. L'histoire finit devant la justice : Castaner écopera d'une amende.

Une tête de liste contestée aux régionales de 2015

Après les années de cabinet avec les ministres Catherine Trautmann (Culture) et Michel Sapin (Fonction publique), sous le gouvernement de Lionel Jospin, Castaner occupe le poste de maire de Forcalquier en 2001. ­Hollande élu en 2012, il devient député des Alpes-de-Haute-Provence. Les régionales de 2015, elles, sont un très mauvais souvenir. Castaner est bombardé tête de liste. Dans les salons parisiens, on s'en inquiète. Jean-Christophe Cambadélis, alors premier secrétaire du PS, soutient cette candidature : "Mais tu es taré ! Il faut une pointure", s'entend-il répondre. "Certains pensaient à Macron", révèle Camba. L'équation est compliquée. Il faudrait d'abord que Macron ait un ancrage local. Des partielles sont envisagées dans la circonscription de la députée ­Sylvie Andrieux, renvoyée devant la justice pour "détournement de fonds publics". Un sondage est commandé pour tester une candidature Macron : le résultat est mauvais. Castaner est donc en piste. Avec, potentiellement, un gros souci : que faire face au risque que la candidate FN Marion ­Maréchal-Le Pen emporte la région Paca ? Que dire si l'on arrive en troisième position ? Certains sont pour se maintenir, d'autres veulent se désister. Que veut Castaner ? "Il a dit qu'il allait se retirer, mais que si quelqu'un voulait prendre la tête de liste, il l'accepterait et donnerait sa signature", raconte la socialiste Christine Lagrange. Castaner, lui, explique que tout cela est faux, et qu'il a toujours voulu se désister.

 

Au soir du premier tour, la tension monte ; Jean-Christophe ­Cambadélis lui a demandé ­d'attendre l'annonce de la position du PS. Castaner patiente et fait une première déclaration ambiguë. Il attend aussi que François Hollande l'appelle, comme il le lui a promis la veille. "Il ne m'appelle pas, sourit Castaner. Je lui envoie plusieurs SMS. Pas de réponse, rien." Seul à le contacter, Manuel Valls. Le coup de fil est tendu, mais Valls est déterminé. Sa position est connue : désistement. Castaner s'exécutera. Il ne semble pas dégoûté pour autant, lui qui songe aujourd'hui aux municipales à Marseille : "Je n'exclus rien, dit-il. Je trouverais extraordinaire de faire campagne et peut-être de gagner. Aujourd'hui, je ne suis pas prêt à ça. Mais mener un combat pour vider les écuries d'Augias, ça peut avoir du bon."

Une chaîne en or qu'il cache

L'épisode des régionales a été un tournant. "Ce qui me libère du PS, c'est ça", dit-il. Il soutient d'emblée Emmanuel Macron. Une fois élu, Macron lui donne le choix. Soit venir travailler à ses côtés à l'Elysée, soit être ministre mais sans lui proposer un poste précis. Castaner lui renvoie un texto : il aimerait être secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement et porte-parole. "Macron ne me répond pas", raconte-t-il. Le soir même, le chef de l'Etat dîne avec Edouard Philippe et lui soumet l'hypothèse. Macron dit à Philippe : "Vois-le. Si ça matche, ça matche. Si ça ne marche pas, tu prendras quelqu'un d'autre." ça "matche".

Le voilà ministre. Lui dont le maire de Manosque Bernard ­Jeanmet-Peralta dit qu'il "a géré sa ville de façon remarquable" doit s'éloigner du Sud. Au début, il réussit à regagner ses terres le week-end, joue aux cartes avec les amis de toujours. Ils ne parient pas d'argent, mais s'attablent au restaurant devant un verre de Régusse. "On joue à la moune, le poker des pauvres, un jeu de menteurs, résume Alain Barras, un de ses partenaires de jeu. Les élus mentent bien, donc il était bon…" De ses années méridionales, Castaner conserve un souvenir. Sa chaîne en or, autour du cou. Tous les communicants lui ont demandé de l'enlever. Hors de question, c'est un cadeau de sa mère. "Je ne l'ai jamais quittée. Je la cache en mettant une cravate parce qu'il paraît que sinon, ça fait trop kéké." Il l'est toujours un peu.

Il est inscrit dans les devoirs des fonctionnaires une obligation dite "de moralité".
 Donc quand on est ministre, enchaîner les verres d'alcool en becotant une femme autre que son épouse, en public, est une infraction à ce devoir

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-de-haute-provence/











   La commune de Forcalquier dirigée jusqu'en 2017 par Christophe Castaner. / © France 3 PROVENCE ALPES






La Chambre Régionale des Comptes mène actuellement une mission de contrôle sur les terres de Christophe Castaner. 


Dans son viseur, la municipalité de Forcalquier et la Communauté de Communes que l’actuel ministre de l’Intérieur présidait jusqu’en 2017.




Par Eric Ambrosini


Une mission de contrôle de la Chambre Régionale des Comptes Provence-Alpes-Côte d'Azur est en cours dans le département des Alpes de Haute-Provence.

Selon Nacer Meddah, président de la juridiction administrative et financière, deux équipes s’intéressent à la comptabilité de la commune de Forcalquier et de la communauté de communes dirigées à l’époque par Christophe Castaner.






 

Une dette de 230.000 euros disparue

Concernant la municipalité, c’est une dette qui est visée par les magistrats. D’un montant de 230.000 euros, celle-ci est apparue dans les comptes de la commune pendant 10 ans avant d’être effacée en 2012 par un jeu d’écriture comptable.

D’après Christophe Castaner, il s’agirait d’une régularisation des amortissements de subvention d’équilibre. "Ces écritures ont été annulées, écrit l’ancien maire car elles faisaient double emploi avec des opérations d’apurement général des comptes suite à une modification de l’instruction comptable". 

Une subvention non amortie

Du côté de la Communauté de Communes Pays de Forcalquier-Montagne de Lure, les auditeurs pourraient s’intéresser au versement d’une subvention d’investissement et d’équipement d’un montant de 3,5 millions d’euros, entre 2014 et 2016. Par la suite, cette somme n’aurait pas été amortie, ce qui pourrait constituer une irrégularité comptable.

"Nous allons les amortir tout simplement… c’est pour ça que nous sommes en difficulté mais nous allons faire les économies correspondantes", justifie Arnaud Boutet actuel président du conseil communautaire et maire de Limans.
 

Un ministre de l’Intérieur confiant

Interrogé sur ces deux points par France 3 Provence-Alpes lors de sa visite à Marseille en mars dernier, Christophe Castaner s’est montré très confiant. "Tous les 15 ou 20 ans, il y a des contrôles menés par la Chambre. Je précise qu’il s’agit de contrôles et non d’enquêtes. Et c’est très bien ainsi".  

Le Rapport de la Chambre Régionale des Comptes ne devrait pas être rendu public avant plusieurs mois.

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Christophe Castaner a décoré des policiers soupçonnés de violences contre des "gilets jaunes"










Geneviève Legay, au sol, après avoir été heurtée par un policier, samedi 23 mars 2018, à Nice (Alpes-Maritimes).  (VALERY HACHE / AFP)




Par franceinfo – France Télévisions



Parmi eux, le commissaire Rabah Souchi, qui avait commandé la charge de police durant laquelle Geneviève Legay avait été gravement blessée fin mars à Nice.



C'est une décision qui devrait faire parler. Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a décoré des policiers de la médaille de la sécurité intérieure, le 16 juin, pour leur "engagement exceptionnel dans le cadre des 'gilets jaunes'". Mais parmi ces médaillés, au moins cinq agents sont impliqués dans des enquêtes concernant des violences policières, révèle Mediapart mercredi 17 juillet.

Geneviève Legay, Zineb Redouane et Steve 

Dans la liste des médaillé figure ainsi Rabah Souchi, chargé des opérations de maintien de l'ordre, samedi 23 mars à Nice, au cours desquelles la militante Geneviève Legay a été projetée au sol, grièvement blessée à la tête. La compagne du policier, Hélène Pedoya, chargée de l’enquête sur les violences commises ce jour-là, a également été décorée. 

Le capitaine Bruno Félix a lui aussi été décoré. Il "fait partie des policiers auditionnés dans le cadre de l'enquête sur le décès de Zineb Redouane", indique Mediapart. Cette octogénaire est décédée à Marseille le 1er décembre, après avoir été touchée au visage par des éclats d'une grenade lacrymogène, lancée dans son appartement. "Ce CRS commandait ce jour-là les auteurs des tirs", affirme le site d'information. Le commandant divisionnaire Dominique Caffin, qui faisait partie des CRS ayant matraqué plusieurs personnes dans un Burger King de Paris ce même jour, est également récompensé.

Autre médaillé : Grégoire Chassaing, le commissaire qui aurait donné l'ordre d'utiliser des gaz lacrymogènes à Nantes, lors de la Fête de la musique, sur un groupe de jeunes rassemblés sur une berge de la Loire. Parmi eux se trouvait Steve Maia Caniço, disparu depuis cette soirée du 21 juin.

Une promotion "exceptionnelle" 

Créée en 2012, la médaille de la sécurité intérieure récompense les policiers pour actes de bravoure, "traditionnellement le 1er janvier et le 14 juillet". Cette promotion, qui a eu lieu le 16 juin, est donc "exceptionnelle", souligne Mediapart.

Dans un mail à la hiérarchie policière, le ministère demandait prioritairement à récompenser des policiers "méritants" blessés. Mais devant le peu de réponses reçues, elle s'est rabattue sur les "blessés non méritants" puis "ceux qui ont réalisé une action remarquée durant cette période".

Beauvau assume

Le ministère de l'Intérieur a fait savoir par communiqué de presse, jeudi à la mi-journée, qu'en cas de condamnation ou "d'actes contraires à la déontologie" venant d'un fonctionnaire décoré, "la médaille de la sécurité intérieure lui sera retirée".

"Les enquêtes disciplinaires ou judiciaires s’effectuent de manière indépendante, à charge et à décharge, et il n'appartient pas à des tiers de désigner nommément des personnels pour des faits qui ne sont pas définitivement établis", estime par ailleurs la place Beauvau.

Je me pensais plutôt pessimiste, mais jamais je n'aurais pu imaginer que les choses iraient si vite, que notre société pourrait basculer à ce point, en si peu de temps...