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Sujet: Spectacle familial à Mouans-Sartoux Mar 12 Nov 2013, 09:06
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Mouans -Sartoux : L'Homme qui plantait des arbres de Jean Giono Jeu 14 Nov 2013, 10:44
L'Homme qui plantait des arbres de Jean Giono, spectacle de marionnettes par la Cie Arketal : 6 décembre 2013 à 14h15 et 19h à la salle Léo Lagrange de Mouans-Sartoux
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Foire aux Santons à Mouans-Sartoux Ven 15 Nov 2013, 07:44
30ème édition de la Foire aux santons de Mouans-Sartoux ! A partir de demain et jusqu'au 24 décembre. Avec 22 santonniers de Provence, à découvrir à la médiathèque - cinéma La Strada...
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Conférence Enfance et autorité Lun 18 Nov 2013, 11:16
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Mouans-Sartoux : De la ferme à la fourchette, trop bon, la cantine bio ! Jeu 12 Déc 2013, 10:58
De la ferme à la fourchette, trop bon, la cantine bio !
Patrick Piro (Politis)
mercredi 11 décembre 2013
Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes) a révolutionné sa restauration scolaire. Les repas sont 100 % bio et la moitié des légumes sont issus d’un potager municipal. Une singularité française.
« Ohhhh ! » Vingt petites bouches s’extasient en choeur : Stéphane Jourde, le jardinier, vient de relever le panneau qui ferme la « maison des légumes ». « Et là, un fruit ! », s’exclame un néophyte. « C’est une aubergine, Gustave ! » Marie-Germaine Chambon, vibrante adepte du potager municipal de Mouans-Sartoux, ne rate pas une occasion d’y emmener sa classe de cours préparatoire. « Qui sait depuis combien de temps les légumes sont présents dans la serre ? » « Mille ans ! », lance un facétieux.
Ce matin tiède de septembre, les enfants malvoyants d’une classe pour l’inclusion scolaire (Clis) participent également à la visite, dans les hauts de la ville de dix mille habitants, voisine de Cannes. Gwendal Tredan, l’éducateur, guide la main d’Auguste. L’enfant s’attarde au contact soyeux d’un concombre haut perché. « Oh ! Un bébé coccinelle ! » En extase, la moitié du groupe déserte les explications sur les betteraves. La parcelle aux melons rencontre un gros succès chez les gars : fin de saison, il ne reste que de petits fruits non consommables, ersatz acceptables de boules de pétanque. Plus loin, brins de ciboulette et de persil excitent les papilles. Le clou de la visite : la récolte des « petits marrons ». En un quart d’heure, la troupe gazouillante a rassemblé près de cinq cents courges butternut. « On a fait du bon boulot ! » Deux bonnes heures de gagnées pour Stéphane Jourde et son ouvrier, embauché via une filière de réinsertion.
La jeune classe aura bientôt la fierté de déguster sa récolte en gratin. Le potager, ancien domaine maraîcher de Hautecombe, est aujourd’hui dédié à l’approvisionnement des cantines des trois groupes scolaires de la ville. À la fin des années1990, la municipalité dirigée par André Aschieri, ex-député Vert, décide de convertir la restauration scolaire à l’alimentation saine. Coup de barre en cuisine, valse des fournisseurs. « Nous avons commencé par remplacer le ketchup et la mayonnaise industrielle par des sauces maison », raconte Gille Pérole, maire adjoint chargé du dossier. Moins de sel et de sucre, les conserves font place à du frais, les portions de légumes et de fruits augmentent.
Puis vient la conquête du bio. Si de nombreuses villes françaises visent d’en introduire 20 % dans les cantines – objectif du Grenelle de l’environnement –, la cohérence, pour Mouans-Sartoux, c’est 100 %. La ville y parvient depuis 2012. Pionnière, la ville est aujourd’hui la plus avancée de France dans le domaine. « Cependant, les agriculteurs bio locaux ne sont pas très nombreux, regrette Gilles Pérole. Nous devions faire venir une partie des aliments de régions éloignées, ce qui n’est pas très satisfaisant. »
Autonomie alimentaire
En 2010, la ville préempte le domaine d’Hautecombe, alors en friche. C’est une régie municipale agricole créée pour l’occasion qui en prend la charge, singularité nationale que Mouans-Sartoux partage avec Toulouse. « Préserver des cultures de proximité, c’est oeuvrer pour la sécurité alimentaire de demain », argumente l’élu. Le Plan local d’urbanisme, voté l’an dernier, a multiplié par trois la surface réservée aux activités agricoles : elle est passée de 42 à 119 hectares. La ville prévoit d’y faciliter l’installation des agriculteurs qui s’engageront à produire bio. « Avec 130 hectares, soit 10 % de son territoire, la commune pourrait devenir autonome en fruits et légumes. »
Au potager, c’est jour de visite hebdomadaire pour Tayeb Nemri, responsable de l’économat, afin de faire le point sur les récoltes et d’affiner les menus, l’œil sur le tableau des préconisations du Plan national nutrition santé (PNNS). Les derniers sacs de haricots à écosser, suspendus dans une remise, seront livrés dans la semaine. Tomates, épinards, fenouil, échalotes, panais, radis noirs… Stéphane Jourde jongle avec le calendrier de cultures d’une trentaine d’espèces, de manière à limiter la production estivale, quand les écoles sont fermées. Cet automne, il plantera des arbres fruitiers.
- Les enfants de Mouans-Sartoux visitent le potager produisant les légumes qu’ils mangeront à la cantine. - En 2013, Hautecombe aura produit une quinzaine de tonnes de légumes, de quoi couvrir 55 % du besoin des écoles (1 200 repas servis chaque jour). Il reste encore 1,5 hectare disponible dans le potager. À terme, celui-ci pourrait couvrir de 80 % à 90 % des besoins scolaires, « seuil d’équilibre économique de la régie », indique Gilles Pérole.
Guerre au gaspillage
« Vous voulez voir nos poubelles ? » Nulle malice dans le mot d’accueil de Sandrine Nemri. Cuisinière au groupe scolaire Orée du bois, elle tire une part de sa fierté professionnelle du maigre contenu de trois seaux jaunes alignés devant le guichet où les enfants desservent leur plateau en fin de repas. Sandra Lemal, sa collègue, ouvre les registres de pesée. « Il y a deux ans, nous jetions six kg d’aliments par jour. Aujourd’hui, à peine 1,5 kg. » Dans la réserve, une seule baguette de pain « en trop » pour trois cents repas servis.
Dans leur quête d’autonomie alimentaire, les écoles de Mouans-Sartoux sont parties en campagne contre le gaspillage. En France, la poubelle est parfois le premier convive de la restauration collective, destinataire de plus de la moitié des volumes pour certaines denrées. « Les méthodes de travail ont changé mais, en fin de compte, on fait un peu comme à la maison », explique Antoinette Chiavaccini, cuisinière au groupe scolaire François-Jacob, alias « la reine de la tourte », au titre de son talent pour accommoder les fonds de réfrigérateurs.
Au lieu de préparer l’intégralité du repas du jour à l’avance, on cuisine le service minimum, quitte à relancer les feux pour s’ajuster à la demande si le plat fait un tabac. « Nous proposons des petites portions aux enfants, qui peuvent demander du rab, explique Tayeb Nemri. Les fruits sont présentés en quartiers : combien d’enfants mangent une pomme entière ? Sur les trois écoles, les restes alimentaires ont été divisés par dix. Nos poubelles épatent, on vient les visiter des villes voisines ! »
Les gamins réclament des blettes
Gilles Pérole projette même d’installer en cuisine des dessiccateurs à déchets et épluchures, pour amender les sols de Hautecombe. « Cette cohérence globale nous procure une énorme satisfaction professionnelle », souligne Josette, en cuisine à François-Jacob.
D’autant que la mutation des cantines s’est effectuée à coût quasi constant, un défi affiché depuis l’origine par la municipalité. « Nous avons basculé l’an dernier seulement sur la viande bio, la denrée dont l’impact est le plus important : de 30 à 100 % de surcoût. Néanmoins, l’approvisionnement “tout bio” ne nous coûte aujourd’hui que 2,02 euros par repas, contre 1,90 euro en 2008, quand nous n’étions qu’à 20 %, explique l’élu. Toutes les économies réalisées dans la gestion globale de la restauration ont été investies dans l’amélioration de la qualité. » Quant aux tarifs pour les foyers, calculés en fonction du quotient familial, ils restent sans limite inférieure, « bien que les revenus des Mouansois aient globalement baissé ».
L’an dernier, la ville a installé un observatoire de la restauration scolaire, destiné à documenter et à évaluer son expérience. Un récent sondage a révélé 97 % d’indice de satisfaction pour les élèves fréquentant la cantine, ainsi que chez leurs parents. « Ce n’est pas vraiment une surprise, commente Gilles Pérole, beaucoup plus intéressé par l’évolution des pratiques alimentaires de ces familles. Les deux tiers affirment “se poser des questions”, la moitié achète du bio “souvent ou toujours”, 70 % sont attentifs au lieu de production des aliments, et 90 % privilégient les produits de saison. »
Parente d’élève élue au groupe François-Jacob, Véronique Bahhar n’a que des éloges à livrer sur la qualité de l’alimentation, corroborés par l’appréciation de ses deux enfants, qui « ont découvert des saveurs nouvelles ». Certains parents ont eu la surprise de s’entendre réclamer des blettes ou des navets pour le dîner.
« Un bémol : le manque de diversité parfois. En hiver, les enfants peuvent finir par se lasser des pommes. Mais nous avons bien conscience, pour la restauration scolaire entre autres choses, de la grande chance que nous avons de vivre à Mouans-Sartoux. »
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Rien ne changera, à moins que les citoyens prennent eux mêmes les choses en main !
Dernière édition par Faï Tirà le Lun 26 Oct 2015, 14:16, édité 1 fois
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Re: Reportage sur le vrac dans les Alpes-Maritimes, à Mouans-Sartoux. Jeu 12 Déc 2013, 10:59
Voilà un TRES bon maire qui met en application ses profondes convictions
André ASCHIERI, lauréat du trophée des Eco-Maires 2013 pour le projet de restauration scolaire durable.
- Le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, a introduit la cérémonie de remise des 23èmes trophées éco-actions organisés par l’association Les Eco-maires, mardi 10 décembre à 19h, en présence de M. Philippe Martin, Ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie ...et de nombreux parlementaires. Les Eco Maires sont une association œuvrant pour la promotion du développement durable dans les collectivités. Chaque année, une cérémonie de remise de prix est organisée pour mettre en valeur les meilleurs pratiques des élus en matière de développement durable partout en France. A l’issue des délibérations du Jury et de la remise des trophées le 10 décembre à l’Assemblée nationale, voici les lauréats de la 23ème édition du concours des Trophées Eco Actions.
TROPHEES ECO ACTIONS
1er Prix : Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes) Maire: André ASCHIERI Une restauration scolaire durable
2ème Prix : Cassis (Bouches-du-Rhône) Maire: Danielle MILON Tri sélectif et insertion professionnelle : la richesse d’un territoire
3ème Prix : Saint-Raphaël (Var) Député-Maire: Georges GINESTA Système de Management de l’Energie ISO 50 001 appliqué à la Ville
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Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Re: Reportage sur le vrac dans les Alpes-Maritimes, à Mouans-Sartoux. Jeu 12 Déc 2013, 11:46
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Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Festival du livre 2014 Mouans-Sartoux Sam 20 Sep 2014, 18:42
La musique et la chanson en force au Festival du livre des Mouans-Sartoux, 3-4-5 octobre: - Massilia Sound Sistem vient présenter en avant-première son livre et son CD au Festival le vendredi 3, à 17 h, espace A littérature, au Café littéraire. - Concert SANSEVERINO le samedi soir à 20h30, marc du Château - Concert pour Alan Pelhon, par Gorgomar, dimanche à 16h30 parc du château. - Dominique A présente présentera son livre aux éditions Le mot et le reste espace A - Lio chantera à la mémoire d'Antoinette Fouque samedi 16 h, Strada 1 - Concert littéraire avec l'Orchestre régional PACA et l'école d'acteurs de Cannes, vendredi à 19 h, parc du château.
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Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Epicerie Boomerang : la 1ère épicerie sans emballage jetable dans les Alpes-Maritimes Lun 26 Oct 2015, 14:22
Epicerie Boomerang : la 1ère épicerie sans emballage jetable dans les Alpes-Maritimes.
Produits sains et locaux, diminution du gaspillage et réduction des déchets à la source pour bien manger sans polluer.
Mouans-Sartoux, France
http://www.kisskissbankbank.com/fr/
Présentation détaillée du projet
Notre projet
L’épicerie boomerang sera la première épicerie à offrir des produits locaux et entièrement en vrac dans les Alpes-Maritimes.
Réduction des déchets à la source, diminution du gaspillage alimentaire, incitation au réemploi des contenants et approvisionnement en produits locaux sont les piliers du projet. Ainsi, chacun pourra choisir la quantité de produit désirée en apportant ses propres contenants ou en utilisant des bouteilles et bocaux consignés.
Contenants : bocaux et bouteilles à l’achat ou consignés…
Notre vision
Une consommation responsable et sans emballage superflu pour mieux manger, moins gaspiller et préserver notre environnement.
L'épicerie fonctionnera sous le mode de l'économie circulaire dont voici les 3 principes fondamentaux :
Ainsi, faire ses courses à l'épicerie Boomerang permet de:
- Faire des économies en ne payant que ce que vous allez consommer et non l'emballage.
- Éviter le gaspillage alimentaire en choisissant la quantité exacte dont vous avez besoin.
- Diminuer vos déchets ménagers en ayant recours au réemploi des contenants.
- Redynamiser l'économie locale en achetant des produits principalement de PACA.
Où en est le projet ?
Nous avons bouclé une partie du financement et trouvé le local commercial. Celui-ci se situe en face de la gare SNCF de Mouans-Sartoux, avec un grand parking gratuit à proximité immédiate. Il a été livré brut de décoffrage et nous avons commencé les travaux début septembre 2015.
Une fois les travaux effectués, l'épicerie devrait ressembler à cela:
Le projet est lancé, il ne manque plus que vous pour le concrétiser et le partager. Chaque € donné est un vote pour un mode de vie plus responsable.
L’épicerie sans emballage, comment ça marche ?
Parce que « le meilleur déchet c’est celui que l’on ne produit pas », l’Épicerie Boomerang permet à ses clients de participer activement au processus d'achat.
Il n’y a pas de secret, pour réduire nos déchets et être de véritables "consom'acteurs" chacun doit faire sa part.
Un approvisionnement local qui a du sens
Depuis plusieurs mois, nous sillonnons les routes de la région PACA à la rencontre de producteurs qui adhèrent au concept du sans emballage. Les produits sélectionnés sont Bio ou issus d’une production respectueuse de l’environnement. Pour les produits que l’on ne trouve pas sur notre territoire, nous privilégions des produits éthiques.
Nous avons tissé 2 partenariats avec des acteurs de l’insertion par le travail : l’un producteur de légumes Bio à moins de 4 kilomètres de l’épicerie, et l’autre organisant des cueillettes solidaires qui vient de se doter d’un laboratoire de transformation.
En bref, de bons produits issus d'une agriculture responsable en favorisant l'émergence de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS). Un nouveau mode de consommation plus respectueux de l'environnement.
À quoi servira la collecte ?
Pour aller au bout de la démarche du sans emballage nous souhaitons proposer un système de contenants consignés qui seront rapportés par les clients, lavés sur place puis remis à disposition.
Afin de respecter les normes d’hygiène strictes et d’éviter le transport des bouteilles à laver, l’épicerie doit se doter d’un outil de lavage professionnel.
Plus que le simple lave-vaisselle que nous avions prévu au départ, le service de consigne des contenants nécessite l’acquisition d’une machine spécialement modifiée. Le budget est beaucoup plus important que prévu, c’est pourquoi nous faisons appel à vous.
- Le système de distribution en libre service de vin, huile, vinaigre et jus de fruits : environ 1000 € par produit.
- De nouvelles bouteilles en verre consignées : environ 1000 € par palette.
- Un outil de stérilisation des contenants pour permettre à l'épicerie de redonner les contenants aux producteurs : environ 4000 €
Laura & Thomas
Respectivement gestionnaire et chef de projets, nous avons décidé de nous lancer de ce nouveau projet pour embrasser un métier qui à plus de sens à nos yeux. Nourrir et faire découvrir de nouvelles saveurs tout en conciliant l'impérieuse nécessité de préserver notre planète.
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Dernière édition par Faï Tirà le Dim 28 Fév 2016, 16:00, édité 1 fois
Kiki Peyroulienne
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Sujet: Mouans-Sartoux : Foire aux sentons Mar 17 Nov 2015, 11:11
Inauguration de la 32e édition de la foire aux santons, aujourd'hui vendredi 13 novembre, à 18 h 30, à la médiathèque de Mouans-Sartoux.
Entrée libre.
Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Reportage sur le vrac dans les Alpes-Maritimes, à Mouans-Sartoux. Dim 28 Fév 2016, 15:58
Reportage sur le vrac dans les Alpes-Maritimes, à Mouans-Sartoux.
Epicerie Boomerang - Reportage 02/2016
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Faï Tirà Peyroulienne
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Sujet: Plus de 2400 santons de la collection de Marcel Carbonel vendus aux enchères Mar 28 Nov 2023, 15:56
https://france3-regions.francetvinfo.fr/
Plus de 2400 santons de la collection de Marcel Carbonel vendus aux enchères
Écrit par Annie Vergnenegre
La collection personnelle du santonnier marseillais est vendue aux enchères ce jeudi à Marseille.
Plus de 2400 santons de la collection de Marcel Carbonel sont mis en vente aux enchères ce jeudi à Marseille. Maison De Baeaque
Cette spectaculaire crèche provençale d'Émilie PUCCINELLI-MEINNIER (1905-1974), pièce de réception pour le titre de meilleure ouvrier de France en 1965, sera présentée aux enchères au cours de la vente Collection de santons de Marcel Carbonel à Marseille, jeudi 30 novembre.
La crèche est animée de dix-huit santons en terre cuite gouachée, d'une exceptionnelle finesse et qualité d'exécution et de décor. On notera la fidélité des motifs des tissus provençaux, les petits accrocs recousus des robes, le détail de tous les jupons et sur-jupons traditionnels sous les robes des provençales...
Le décor de crèche est composé de divers matériaux : bois, terre cuite, liège, plâtre peint.
Émilie PUCCINELLI-MEINNIER à Marseille (1905-1974) - M.O.F. 1965 Superbe et grande crèche provençale
Collection de santons de Marcel Carbonel Jeudi 30 novembre 2023 - 14h30
Exposition publique : Mardi 28 novembre de 9h à 12h et de 14h à 18h Mercredi 29 novembre de 9h à 12h et de 14h à 20h Jeudi 30 novembre de 9h à 12h
Une cinquantaine de Jésus, de grandes figurines d'Italie du Nord ou une crèche provençale compète signée de la Toulonnaise Emilie Puccinelli-Meinier, sacrée meilleure ouvrière de France en 1965. La collection personnelle de Marcel Carbonel sera vendue aux enchères en 295 Lots, ce jeudi à Marseille, par la maison De Beaque. Plus de 2400 santons qui racontent la pastorale du 18ᵉ siècle à aujourd'hui. Mises à prix allant de 50 à 3.000 euros.
A un mois de Noël, les marchés de santons sont une tradition incontournable des fêtes en Provence. Créée en 1935, la maison Carbonel est une institution à Marseille. Dès ses débuts, son fondateur, Marcel Carbonel s’est attaché à réunir une collection privée représentative de la richesse des arts santonniers.
Des pionniers du santon aux artisans modernes
En terre crue ou cuite, mie de pain, bois, plâtre, papier encollé, céramique, cire ou verre filé… la collection Carbonel illustre les techniques les plus variées utilisée par les artisans santonniers, de Marseille à Naples, du XVIIIe siècle à nos jours.
"Ce qui m’attriste le plus, c’est que cette collection va se retrouver dispersée. J’aurais pensé qu’un musée comme le Mucem ou la mairie auraient négocié en amont son acquisition", a réagi Michel Bouvier, président de l’Union des fabricants de santons de Provence, auprès de 20 minutes.
Exposition au public avant la vente
La collection comprend des pièces rares de recherche ou de création spéciales de Marcel Carbonel, le fond d'atelier d'Auguste Pelligrini, mais aussi des santons napolitains habillés et des santons venus du Portugal au Pérou, d'Inde à l’Alaska, du Rwanda à l’Océanie. Ces pièces ont été exposées jusqu’en 2020 dans un petit musée attenant aux ateliers. Mais il a fermé pendant la crise du Covid, et n’a jamais rouvert ses portes. Les lots mis en vente seront exposés au public le mardi 28 novembre et le mercredi 29 novembre de 10h à 12h et de 14h à 18h à la maison de ventes aux enchères De Beaque & Associés à Marseille.
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Sujet: Re: Reportage sur le vrac dans les Alpes-Maritimes, à Mouans-Sartoux.
Reportage sur le vrac dans les Alpes-Maritimes, à Mouans-Sartoux.
Ven 08 Fév 2013, 07:52
