Feux, sécheresse, incendies, vigilance...eau

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Infos risques feux de forêt


La préfecture des Alpes-de-Haute-Provence appelle à la vigilance, alors que le niveau de danger météo lié aux feux de forêt est actuellement très sévère dans deux des six zones météorologiques du département.
Voici la carte liée à ces risques pour la journée du 20 juillet.

Cela concerne le quart ouest des Alpes-de-Haute-Provence, dans un périmètre situé entre Moustiers-Sainte-Marie et Sisteron, Manosque et Banon.

"Dans les zones concernées, la circulation et le stationnement des véhicules ainsi que toute autre forme de circulation (randonnée, ballades en VTT…) sont fortement déconseillés.

En outre, l’apport ou l’usage de tout appareil ou matériel, machine, engin pouvant être à l’origine d’un départ de feu (tel qu’une tronçonneuse ou une débroussailleuse par exemple) est interdit".


Source : Haute Provence Info et Préfecture des Alpes de Haute Provence.

Alpes-de-Haute-Provence : près de 7 hectares brûlés dans deux feux de forêt
 
 
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Une quarantaine de soldats du feu sont intervenus pour maîtriser les deux incendies. Photo d'illustration HAUTE-PROVENCE INFO (archives)
 
Jeudi, deux écobuages ont débordé à Castellane et Barles. Une quarantaine de sapeurs-pompiers ont été mobilisés.
 
Jeudi, quasi simultanément, deux incendies de forêt se sont déclenchés en fin de matinée à Castellane et Barles (Alpes-de-Haute-Provence). Le débordement de deux écobuages serait en cause. Sur le premier, une vingtaine de soldats du feu ont été déployés, venant de Saint-André-les-Alpes, La Palud-sur-Verdon, Barrême et Castellane. 8000m² soit près d'un hectare de broussailles sont partis en fumée.
Pour le second feu, à Barles, plus de vingt sapeurs-pompiers ont également été mobilisés, des casernes de Digne-les-Bains, Seyne-les-Alpes, Peyruis et Thoard. Six hectares de forêt ont été brûlés, l'incendie a été maîtrisé après six heures de lutte contre les flammes, en fin d'après-midi.

L'incendiaire accusé d'avoir allumé 17 feux à Marseille, Allauch et Plan-de-Cuques écroué aux Baumettes




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Photo d'illustration Florian Launette
 
 
Au regard des éléments accablants recueillis par les policiers et des aveux partiels passés par Franck P. au cours de sa garde à vue, l'issue ne faisait guère de doute. Déféré mercredi devant le parquet, l'homme de 42 ans mis en cause dans 17 incendies criminels déclenchés entre le 10 et le 20 août, sur les communes d'Allauch, de Plan-de-Cuques et de Marseille, a été écroué à la maison d'arrêt des Baumettes.
 
 
Comme révélé mercredi par La Provence, l'incendiaire habitant dans le 11 ème arrondissement avait été interpellé, lundi, après une enquête bouclée par la BSU Sud, appuyée par la Compagnie de sécurisation et d’intervention. La veille, il avait été signalé par des riverains d'Allauch en train de jeter un chiffon imbibé de liquide inflammable dans un fourré sec.




Au cours de ses auditions, ce quadragénaire sans emploi, décrit comme "très dépressif" par les enquêteurs, avait reconnu son rôle dans les six départs de feu du dimanche 20 août, à Allauch et Plan-de-Cuques, qui avaient pu être circonscrit sans faire trop de dégâts par les sapeurs-pompiers. Selon nos informations, en plus de cette dernière série d'incendies, les policiers soupçonnent Franck P. d'avoir multiplié les sinistres de "petite et moyenne ampleur" tout au long du mois d'août.


Des actes motivés par un désir de "vengeance", a-t-il reconnu, après un refus de logement formulé par la Ville de Plan-de-Cuques. Le suspect aurait également, durant cette période, mis le feu à une voiture stationnée dans un garage de son ex-belle-famille.


Le 11 août dernier, déjà, un pyromane de 19 ans soupçonné d'avoir provoqué 16 incendies entre fin mai et fin juin 2017, dans les communes d'Istres et Fos-sur-Mer, avait été mis en examen et écroué au centre pénitentiaire de Luynes. Selon les enquêteurs de la sûreté départementale, en charge de ce dossier, le jeune bachelier istréen avait agi par "fascination pour le feu et les pompiers".

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Alpes-de-Haute-Provence : 4 zones météorologiques en risque "très sévère"


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En raison de la sécheresse persistante, le niveau de danger météo feu de forêt passe demain, dimanche 27 août 2017, en risque très sévère dans quatre des six zones météorologiques des Alpes-de-Haute-Provence : les zones 41 à 44 au Sud-Ouest, Sud et Sud-Est du département.




Le Préfet des Alpes-de-Haute-Provence rappelle que dans les zones concernées, la circulation et le stationnement des véhicules ainsi que toute autre forme de circulation (randonnée, ballade en VTT…) sont fortement déconseillés.



En outre, conformément à l’arrêté préfectoral n° 2013-1697 du 1er août 2013, l’apport ou l’usage de tout appareil, machine, engin pouvant être à l’origine d’un départ de feu est interdit.


Il est fortement recommandé aux habitants et aux touristes du département de se tenir régulièrement informés de l’évolution de la situation en consultant le site internet de la Préfecture.

Alpes de Haute-Provence : 5 hectares partis en fumée à Peyroules



Publié par Anthony PITON 



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Un important incendie à Peyroules dans les Alpes de Haute-Provence s'est déclenché ce vendredi. 




Parti de broussailles, l'incendie s'est propagé rapidement à une zone de forêt. 5 hectares ont brûlé avant que le feu ne soit fixé. 50 sapeurs-pompiers sont intervenus avec une quinzaine de véhicules et trois avions de type "canadair".

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Alpes-de-Haute-Provence : cinq hectares ravagés par le feu près de Peyroules




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Trois avions-bombardiers et 40 sapeurs-pompiers, répartis en trois groupes d'interventions, luttent contre un incendie déclaré dans un champ près de Peyroules (Alpes de Haute-Provence). 


Cinq hectares ont déjà brûlé et les flammes ont commencé à atteindre la forêt, mais aucune habitation n'est pour l'heure menacée.

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Peyroules : le feu maîtrisé après avoir ravagé huit hectares


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Soixante sapeurs-pompiers des Alpes de Haute Provence, des Alpes-Maritimes et du Var ont réussi à enrayer le sinistre qui sévissait depuis le début d'après-midi au sud de Peyroules. 


Trois avions bombardiers d'eau ont procédé à 18 largages sur la zone en effectuant des rotations sur le lac de Castillon. L'incendie parti d'un champ a été maîtrisé juste après avoir mordu la forêt. Au final huit hectares sont partis au fumée. Aucune habitation n'a été en danger. Dans les heures qui ont suivi les pompiers ont évité tout risque de reprise des flammes.

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Merci Mathieu pour le relais vidéo/photo

 
 

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Alpes de Haute-Provence : l'interdiction d'emploi du feu prolongée jusqu'à fin octobre
 

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La végétation et les sols provençaux n'ont jamais été aussi secs depuis 60 ans
 
 
Cette chute hydrique (associée aux épisodes venteux) est la cause des incendies de forêt qui se sont récemment déclarés alors que nous sommes bientôt à la mi-octobre




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Les sols sont au plus sec.PHOTO LA PROVENCE.
 
 
 
C'est un record. "Depuis 60 ans, la végétation et les sols de Provence n'ont jamais été aussi secs", dévoile Patrick Noterman, prévisionniste à Météo-France, agence d'Aix. Et chaque département de la région est concerné. Le constat est, en effet, le même dans les Alpes-de-Haute-Provence, les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse. Le déficit en précipitations depuis avril 2017 est la raison principale de cette sécheresse.




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Il faut dire que les chiffres parlent d'eux-mêmes. Si l'on prend le mois de septembre, il n'est tombé que 7 mm de pluie à Orange. Ce qui représente 7% de la moyenne habituelle. Même chose à Marignane où cette somme est encore plus basse (6,6 mm). Les températures au-dessus des normes habituelles expliquent aussi cet état de fait. Jeudi, par exemple, le thermomètre a affiché des chiffres de 3 à 5° au-delà des moyennes. Aussi bien à Aix qu'à Orange.




De petites pluies attendues la semaine prochaine




Cette chute hydrique (associée aux épisodes venteux) est la cause des incendies de forêt qui se sont récemment déclarés alors que nous sommes bientôt à la mi-octobre.
 
 
nouveau départ de feu sur le camp militaire de Canjuers
 
 
A noter que le taux d'humidité des sols et des plantes se calcule en fonction des précipitations, des températures et de l'évapo-transpiration de la végétation. Et ce taux est au plus bas depuis la fin des années 50.

Va-t-on vers une amélioration ? A priori pas vraiment. Aucune averse n'est prévue ce week-end. Rien non plus en début de semaine. Des pluies sont attendues, en revanche, à partir de mercredi/Jeudi. Mais rien de significatif. "Il s'agira de précipitations en marge sans réelle conséquence sur la sécheresse qui sévit", analyse M. Noterman. 

Le soleil qui fait le bonheur des Provençaux fait le malheur de notre environnement naturel direct. Il suffit de regarder vos pelouses ou les petits arbustes que vous avez plantés pour comprendre que la situation est critique...
 
 
un feu à Marcoux dans les Alpes-de-Haute-Provence
 
 




Encore un week-end bien agréable en Provence




Les températures seront agréables ce week-end. Elles resteront douces dans l'intérieur comme sur le littoral. On ne battra pas, cependant, des records comme c'est prévu dans d'autres départements français. Dans les Bouches-du-Rhône, on ira jusqu'à 23° en bord de mer, 26° dans les terres. La moyenne saisonnière tourne autour de 20/21°. Le soleil sera au rendez-vous même si le matin de la grisaille et des entrées maritimes viendront masquer l'astre le plus proche de notre planète.

Alpes-de-Haute-Provence : la période de restriction de l'emploi du feu prolongée
 

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En raison de la sécheresse persistante, la période a été prolongée par arrêté préfectoral jusqu'au 31 octobre.


Compte tenu de l'état de sécheresse persistante, de la forte sensibilité au feu des espaces naturels du fait du dessèchement important des végétaux dans le département et du risque d'incendie de forêt particulièrement élevé qui en résulte, le préfet des Alpes-de-Haute-Provence a prorogé exceptionnellement la période de restriction de l'emploi du feu dans le département (barbecue, feux de camps et autres), par arrêté préfectoral du 12 octobre 2017. Cette période de restriction s'étend jusqu'au 31 octobre 2017 inclus, au lieu du 15 octobre 2017 initialement prévu.


Les contrevenants sont passibles d’une contravention de la 4ème classe de 135 euros. Toutes les informations relatives à cette restriction sont consultables sur le site internet de la préfecture.

La Côte d'Azur vient de vivre les six mois les plus secs jamais recensés... et ce n'est pas fini


 
 
 
 

Nappes phréatiques, rivières… La qualité de l’eau continue de se dégrader en France




POLLUTION L’UFC Que-Choisir s’alarme de l’état calamiteux des rivières et des nappes phréatiques en France qu’elle impute à l’agriculture intensive «qui est loin d’avoir corrigé ses pratiques». Elle réclame alors l’application stricte du principe «pollueur-payeur»…


Fabrice Pouliquen





 http://www.20minutes.fr/planete/



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Des algues vertes ici sur les bords de Rance à Plouër-sur-Rance, en Ille-et-Vilaine, en août 2017. — C. Allain / 20 Minutes
 
 
 
·Après celle de 2005, l’UFC-Que Choisir lance une nouvelle campagne de sensibilisation sur la piètre qualité des eaux de surface et de nappes phréatiques en France pour lesquelles les teneurs en nitrates et en pesticides sont en de nombreux endroits au-dessus des normes autorisées.
·L’association de consommateurs cible comme premier responsable l’agriculture intensive et exige une stricte application du principe « pollueur-payeur ».
 
 
 
 
« Dans un état calamiteux » … Alors que débute ces jours-ci la deuxième phase des Etats généraux de l’alimentation, destinés à promouvoir des pratiques agricoles plus durables, l’UFC-Que-Choisir en a profité ce mardi pour lancer une campagne de sensibilisation, baptisée « S. Eau S », sur la mauvaise qualité des eaux des rivières et des nappes phréatiques en France.
 
 
 
« Des dégradations environnementales toujours massives »
 
 
L’association avait déjà mené une première campagne d’information à ce sujet en 2005, « mais force est de constater que les dégradations environnementales sont toujours aussi massives », écrit UFC-Que Choisir. Dans la moitié du territoire français, les pesticides sont présents dans les cours d’eau à des doses supérieures à la norme autorisée dans l’eau potable, relate le rapport. Cette norme est aussi dépassée dans le tiers des nappes phréatiques.
La situation n’est guère mieux pour les nitrates, qui résultent de l’épandage d’engrais azotés. Sur 15 % du territoire, leurs taux dépassent la valeur guide européenne, soit 25 mg/l, un niveau au-delà duquel il devient difficile de rendre l’eau potable. Dans les nappes phréatiques, cette valeur guide est dépassée dans 43 % du territoire.
 
 
L’agriculture intensive dans le collimateur
 
 
 
Pour UFC-Que Choisir, le principal responsable est tout trouvé : l’agriculture intensive « loin encore d’avoir corrigé ses pratiques ». « Les quantités d’engrais n’ont pas baissé en vingt ans et l’utilisation des pesticides a même augmenté de 18 % en cinq ans », déplore l’association. L’ONG France nature environnement (FNE) arrive aux mêmes conclusions : « Nous ne pouvons que dresser un bilan alarmant des milieux aquatiques en France, indique Marine Le Moal, coordinatrice du réseau Ressources en eau et milieux aquatiques à FNE. Si nous avons conscience de la difficulté du métier d’agriculteur, certaines pratiques doivent impérativement changer aujourd’hui. »
 
 
>> Lire aussi : Etude UFC-Que Choisir : Votre eau du robinet est-elle polluée?
 
 
 
Qu’on se rassure, l’eau du robinet, celle que le consommateur boit, est de « très bonne qualité pour près de 96 % des consommateurs », rappelle l’UFC-Que Choisir qui dirige sur ce point vers une autre de ses études publiée en janvier dernier. « Mais on obtient cette qualité au prix d’une coûteuse dépollution, regrette Olivier Andrault, chargé de mission « Alimentation et agriculture » à l’UFC-Que Choisir. La Cour des comptes évalue ainsi le surcoût de la dépollution de l’eau dû aux pratiques agricoles entre 640 millions et 1,14 milliard d’euros par an en France. »
 
 
Le principe « pollueur-payeur » bafoué
 
 
C’est le principal grief pour UFC-Que Choisir. Non seulement cette dépollution est onéreuse, mais elle est très majoritairement financée par les usagers domestiques. Très peu en revanche par les agriculteurs. L’association invite alors à revoir en profondeur la gouvernance des six agences de l’eau en France, créée en 1964 et chargée de gérer les ressources en eau sur le bassin qui lui est associé. Pour mener à bien leurs missions, elles perçoivent une redevance « pollution » et une autre « prélèvement », fondées toutes les deux sur le principe « préleveur-pollueur-payeur ». Autrement dit, plus je consomme et/ou plus j’occasionne de pollutions sur la ressource et plus je paie.
« D’une certaine façon, ce principe est encore réalité aujourd’hui puisque chaque usager paie en fonction des m³ d’eau prélevés et de la pollution estimée, résume Olivier Andrault. Mais des barèmes différents ont été appliqués suivant les utilisateurs et ils favorisent grandement les agriculteurs et les industriels, bien moins mis à contribution que les consommateurs. »
 
 
UFC-Que Choisir 
 ✔@UFCquechoisir
 
En réponse à @UFCquechoisir
#Agriculture intensive Échec des plans d'actions volontaires. Utilisation #pesticides + 18% en 5 ans aucune baisse engrais azotés sur 20 ans pic.twitter.com/HT2SZkCSYX
 
 
 
 
UFC-Que Choisir 
✔@UFCquechoisir
Les consommateurs sont trop largement les payeurs ! L'#agriculture intensive est responsable de 70% des pollutions pesticides, 75% nitrates pic.twitter.com/OafQZ11IuS



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Cette entorse au principe « pollueur-payeur » avait déjà été pointée du doigt par la Cour des comptes en février 2015. L’UFC-Que Choisir le dénonce de nouveau aujourd’hui. Via leur facture d’eau, les consommateurs paient 88 % de la redevance « pollution », illustre l’association, quand l’agriculture, « pourtant responsable à elle seule de 70 % des pollutions en pesticides, de 75 % des pollutions en nitrates », n’en paie en moyenne que 7 %. La part payée par les agriculteurs a quelque peu progressé entre 2005 et 2015, passant de 1 à 7 %, mais c’est encore trop peu pour l’association.
 
 
 
Ne pas tout voir en noir ?
 
 
Alors que faire ? Pour UFC-Que Choisir, c’est tout vu : il faut une application stricte du principe « préleveur-pollueur-payeur », de façon à encourager des pratiques agricoles plus vertueuses, moins gourmandes en engrais, en pesticides et en eau. « Est-ce juste ?, demande Eric Thirouin, secrétaire général adjoint de la FNSEA, le premier syndicat agricole où il préside la commission environnement. Une partie non négligeable du budget des agences de l’eau va aux collectivités pour leurs projets d’assainissement, la rénovation de leurs canalisations percées. Ce n’est pas la faute des agriculteurs. »
 
Eric Thirouin invite aussi à ne pas voir la situation tout en noir. En Bretagne, région marquée par les algues vertes, la teneur en nitrate des eaux s’est améliorée ces dernières années pour revenir au niveau des années 1980. En septembre 2016, un rapport du ministère de l’environnement constatait aussi, avec des guillemets, une légère baisse (10 %) de la teneur en pesticides dans les cours d’eau entre 2008 et 2013, liée entre autres à une interdiction de certains herbicides.
 
 
 
>> Lire aussi : Algues vertes : La Bretagne va mieux mais doit poursuivre ses efforts
 
 
 
« Les agriculteurs font des efforts, assure alors le responsable syndical. En grignotant sur nos exploitations, nous avons implanté 400.000 kilomètres de bandes enherbées de cinq mètres de larges le long des cours d’eau [qui servent de zone tampon]. Nous devons poursuivre ses efforts, mais l’agribashing auxquels nous faisons face n’est guère encourageant. »

Un incendie se déclare dans les Alpes-de-Haute-Provence, dix hectares déjà partis en fumée
 
 
 


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Alpes-de-Haute-Provence : la période de restriction de l'emploi du feu de nouveau prolongée
 
 
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Cette décision intervient alors que l'important incendie de Moustiers du 22 octobre 2017 pourrait avoir été causé par un feu de camp. HAUTE-PROVENCE INFO/Daniel JOURDANET
 
 
 
 
En raison de la sécheresse persistante, la période a été prolongée par arrêté préfectoral jusqu'au 15 novembre.
 
 
 
Compte tenu de l’état de sécheresse persistante, de la forte sensibilité au feu des espaces naturels du fait du dessèchement important des végétaux et du risque d’incendie de forêt particulièrement élevé qui en résulte, le Préfet des Alpes-de-Haute-Provence a de nouveau prorogé la période de restriction de l’emploi du feu, y compris pour l’écobuage dans le département par arrêté préfectoral n° 2017-298-009 du 25 octobre 2017.




Cette période de restriction s’étend désormais jusqu’au 15 novembre 2017 inclus, au lieu du 31 octobre 2017 initialement prévu pour cette année. Une demande en mairie est obligatoire pour tous les types de feu (Déclaration : brûlages de végétaux coupés, feu d’artifice, feux de joie. Dérogation : végétaux sur pieds dans les zones à risque très, fort et moyen). Les contrevenants sont passibles d’une contravention de la 4ème classe de 135 euros.
Toutes les informations relatives à cette restriction sont consultables sur le site internet de la préfecture.

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Météo Côte D'Azur - En Direct  
 
 
Alléluia ! La pluie est enfin en vue... en effet, on attend le passage d’une dégradation classique (front froid) dans la nuit de samedi à dimanche ainsi que dimanche en début de journée sur l’ensemble de notre région.




Ce front apportera des pluies parfois soutenues et même orageuses lors de son passage. On surveillera la dégradation notamment entre les #Maures, #Estérel ainsi que les #AlpesMaritimes. Cela demande confirmation dans les prochains bulletins, mais on attend généralement entre 20 à 40mm de pluies, voire 50 à 70mm notamment sur les hauteurs ou l’Est du Var (Maures et l’Estérel).




Prudence aux risques d’inondations locales et de ruissellements parfois significatifs sous les pluies les plus soutenues après cette sécheresse historique. En effet, la sécheresse peut aggraver le phénomène de ruissellement notamment.




Une amélioration est attendue dimanche après-midi avec un temps plus sec, notamment dans le Var grâce à un mistral soutenue et froid. On surveillera de nouvelles averses par retour d’Est dans la nuit et pour lundi/mardi sur les Alpes-Maritimes notamment (due à la proximité d’une dépression en mer). L’atmosphère se rafraîchie nettement.




À noter le retour de la neige en montagne au-dessus de 2200m, voire plus bas après le passage du front froid (autour de 1500m, à affiner).




Le contexte instable de la semaine prochaine permettra d’atténuer momentanément la sécheresse.


 On affinera tout cela dans les jours suivants avec les prévisions météo complètes ainsi que la tendance météo gratuites, publiées chaque soir entre 19/21h.

Prolongation de la période dangereuse pour l’emploi du feu dans les Alpes-de-Haute-Provence
 
 
 Rédigé par verdon-info
 
 

 












 
 
 
[pdf] AP 2 PROLONG EMPLOI DU FEU

Journée apocalyptique hier dans les Hautes-Alpes




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Village coupé du monde, routes fermées et un risque encore fort
 
 
L'importance des précipitations hier - avec une limite pluie-neige se situant entre 1500 et 1700 m - et un abaissement des températures cette nuit, entraîne aujourd'hui un risque important de verglas sur l'ensemble des Hautes-Alpes.
 
 
L'agence Météo France de Briançon est submergée d'appels depuis dimanche. Hier, la préfecture des Hautes-Alpes appelait à la plus grande vigilance en raison des pluies et des chutes de neige abondantes depuis plus de 48 heures dans le département, placé en vigilance Orange "pluie, inondation, avalanche", par Météo France. 


Hier après-midi, en raison d'inondations, la RD 942 a été fermée à la circulation, du carrefour feux tricolores de Tallard à l'entrée du collège de la commune. Des déviations ont été mises en place par la RD 46 et la RN85 pour les véhicules légers, et la RD 900 B, pour les poids-lourds.




Un village de 360 habitants coupé du monde




Dans le nord du département près de Briançon, la route qui permet d'accéder au village de Névache (vallée de la Clarée), de 360 habitants, a été fermée. "Il a beaucoup neigé avec un vent très violent. 


Cela fait longtemps que l'on n'avait pas vu ça. Il est tombé plus d'un mètre depuis dimanche. La route a été fermée en raison du risque d'avalanche", expliquait le maire, Jean-Louis Chevalier. "La solidarité existe entre habitants. On surveille les gens les plus fragiles, les personnes seules. On organise des visites. L'école est fermée. La route pourrait rouvrir à partir de demain après le déclenchement d'avalanches par les artificiers", poursuit élu.


 Dans le Champsaur, ce sont plusieurs étudiants qui n'ont pas pu se rendre au lycée à Gap. D'après les secours, les sapeurs-pompiers ont eux-aussi procédé depuis lundi matin à une douzaine d'interventions pour des inondations de locaux.


L'importance des précipitations hier - avec une limite pluie-neige se situant entre 1500 et 1700 m - et un abaissement des températures cette nuit, entraîne aujourd'hui un risque important de verglas sur l'ensemble des Hautes-Alpes.


Par ailleurs, la totalité des massifs des Alpes-du-Sud sont placés en risque fort avalanche (niveau 5 sur une échelle de 5).


 





 
Risque fort d'avalanche




D'importants risques existent en effet, soit par départ spontané, soit par déclenchement par les skieurs en raison des cumuls de neige très importants en montagne, accompagnés de vents forts. Toute sortie est donc fortement déconseillée. De plus, les avalanches les plus importantes pourront atteindre les routes et les fonds de vallées.




Enfin, la préfecture appelle tous les usagers de la route à la plus grande prudence et rappelle que les équipements spéciaux (pneus neige, chaînes, chaussettes) sont obligatoires sur l'ensemble du département en cas de chutes de neige. Les forces de sécurité procéderont à des contrôles spécifiques.
Le col du Lautaret (RD 1091) qui permet de passer de la vallée de la Guisane (Hautes-Alpes) à celle de la Romanche (Isère) est interdit à la circulation jusqu'à nouvel ordre en raison d'un fort risque d'avalanche. 


Le col de Vars qui permet d'accéder à la station de ski est fermé, côté Alpes-de-Haute-Provence mais reste accessible par les Hautes-Alpes, annonce de son côté le Conseil départemental. Hier soir, la préfecture annonçait de nouvelles restrictions de circulation, notamment pour les véhicules de 7,5 tonnes, qui ont l'interdiction d'emprunter le col de Montgenèvre et les rampes de l'Argentière-la-Bessée. 
La préfecture annonçait également la fermeture de la RD1091, de Villar-d'Arène à Pont de l'Alpe par le col du Lautaret. Celle de la RN994, de Val des Prés à Névache, de la RD38, de la RN94 à Champcella et Freissinières et celle de la RD902, du refuge Napoléon au col de Vars.




Si Météo France annonce une accalmie aujourd'hui et des éclaircies dans le courant de l'après-midi sur le sud du département, des giboulées et un refroidissement sont tout de même attendus dans la journée

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Réchauffement climatique : en Méditerranée, il faut s'attendre à des périodes de canicule plus fréquentes et plus longues
 
 
Même si Donald Trump nie le réchauffement climatique, 2017 a bien été l'année la plus chaude jamais enregistrée. Le phénomène s'aggrave et notre région n'a pas été épargnée
 
 
 
 
Ouragans en Atlantique, feux géants au Canada, en Californie, en Espagne et au Portugal, mousson dévastatrice en Asie, glaciers brisés et faune de l'Articque déboussolée : pendant que les climato-sceptiques font la moue, le réchauffement climatique, alimenté par nos émissions de gaz à effet de serre, affecte déjà profondément nos écosystèmes et nos modes de vie.




"Si les émissions (de CO2) suivent un scénario habituel, il y a 93% de chances pour que le réchauffement climatique dépasse les 4 degrés Celsius d'ici à la fin de ce siècle", se rapprochant de 5°C. Voici la conclusion terrifiante d'une nouvelle étude réalisée par deux chercheurs américains, Patrick Brown et Ken Caldeira, de la Carnegie Institution for Science à Standford en Californie (États-Unis) et publiée dans la prestigieuse revue Nature. Les chercheurs Anouch Missirian et Wolfram Schlenker, de l'université Columbia (New York), viennent aussi d'évaluer l'impact de la température moyenne enregistrée dans les zones agricoles sur le phénomène migratoire. "Lorsqu'elle dévie de l'optimum de 20 °C pour tendre vers des moyennes plus basses ou plus élevées, les demandes d'asile s'accentuent", décrivent-ils. Selon leurs calculs, si les émissions mondiales de gaz à effet de serre continuent de progresser à leur rythme actuel (pour atteindre une élévation de la température de 4,5 °C à 5 °C), les dossiers de demandes d'asile pourraient bondir de 188 % d'ici à 2100 !




"On est en train de perdre la bataille", contre le réchauffement climatique, a mis en garde le président Macron, lors de son discours d'inauguration du "One Planet Summit", le sommet réuni à l'occasion du deuxième anniversaire de la Cop 21 à Paris. "L'urgence est devenue permanente et le défi de notre génération est d'agir, agir plus vite et gagner cette bataille contre le temps, pour mettre en oeuvre des actions concrètes qui vont changer nos pays, nos sociétés, nos économies".




"Le premier pas, l'acceptation"




Le président français avait décidé d'organiser ce sommet après l'annonce par Donald Trump du retrait américain du pacte historique contre le réchauffement, qui vise à contenir la hausse moyenne de la température sous le seuil critique de 2°C. Et la Méditerranée ? Elle est au coeur de ce monde soumis aux pressions météorologiques. 


Le Centre de recherche sur l'épidémiologie des désastres (Cred) atteste que si nous serons épargnés par des super ouragans comme Irma, les "medicanes", ouragans nés de la rencontre des mers chaudes et des masses d'air froid venues du nord de l'Europe, peuvent avec le réchauffement des eaux se multiplier.




On sait aussi que les périodes de sécheresse, les pics de canicule seront de plus en plus longs et fréquents. Comme les épisodes de pluies diluviennes, qui dévastent déjà régulièrement les départements de Paca. Jean Jalbert, le directeur de la réserve scientifique de la Tour du Valat, en Camargue, une région fortement touchée par le réchauffement climatique et la hausse du niveau de la mer, le dit : "Le premier pas, c'est l'acceptation. Nous ne sommes pas là pour faire peur, mais pour acter les choses et se projeter".
 
 
Et aussi Pourquoi la sécheresse qui perdure est-elle si dangereuse pour la Provence ?
 
 
Et aussi Pour les massifs forestiers, le risque de départs de feux flambe déjà avec le climat
 
 
 

Je suppose que dans les AHP, c'est pareil !


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Le département des Alpes-de-Haute-Provence est placé en vigilance "Jaune vent fort"

Cette alerte est à compter de ce lundi 11 mars à 12h, et ce jusqu’à 21h.

Le département des Alpes-de-Haute-Provence est placé par Météo-France en vigilance jaune, situation météorologique à surveiller, pour un risque de vent fort à compter de ce lundi 11 mars 2019 à partir de 12 h et ce jusqu’à 21h.



Ainsi, le vent de Nord-Ouest va renforcer progressivement. Toute la partie Est du département des Alpes-de-Haute-Provence, en particulier les stations de sports d’hiver seront touchées avec des rafales de 100 à 120 km/h et plus de 120km/h en haute altitude. 


Cet épisode venteux s’atténuera en fin de soirée.

Le préfet recommande ainsi "de fixer ou ranger dans un endroit protégé les objets sensibles au vent ou susceptibles d'être endommagés autour des maisons, balcons et jardins (pots, meubles de jardin, etc.)".


"Il convient aussi d’adapter votre vitesse en voiture lors des déplacements par vent fort", indique la préfecture des Alpes-de-Haute-Provence.


Pour plus d’information veuillez consulter le site de Météo-France : http://france.meteofrance.com ou appeler le 32 50

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Le vent soufflera fort dans la nuit de lundi à Mardi. / France 3 Côte d'Azur[/size]





Le Mistral devrait se renforcer en cours de journée. Résultat: Météo-France place le département des Alpes-Maritimes en vigilance jaune dès la nuit prochaine. 


Par Catherine Lioult

C'est du jaune dans les Alpes-Maritimes à compter de la nuit prochaine. 


Pour l'heure, le ciel est d'un beau bleu et comme depuis le début de l'année, le soleil domine pour une journée printanière.
 

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Mais attention ! Dès minuit,  Météo-France place les Alpes-Maritimes en vigilance jaune pour des vents violents. 
 




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Les consignes

Prudence si vous pratiquez des activités sensibles au risque météorologique ou à proximité d′un rivage ou d′un cours d′eau. Renseignez-vous sur l'évolution de la situation.

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Un incendie difficile d'accès s'est déclaré dans un massif des Alpes-de-Haute-Provence. / V. BOUVIER / France 3 Provence-Alpes


Les pompiers des Alpes-de-Haute-Provence luttaient toujours lundi soir contre un incendie qui a ravagé 60 hectares. L'accès difficile au feu a obligé les sapeurs-pompiers à faire appel à des moyens aériens. 



Par Gilles Guérin




L'incendie s'est déclaré lundi en début d'après-midi sur la commune de Prads-Haute-Bléone, dans les Alpes-de-Haute-Provence.

Lundi soir, 60 hectares environ étaient partis en fumée, selon un bilan du Service départemental d'incendie et de secours (SDIS 04). Le feu, qui touche un massif forestier très escarpé, est difficile d'accès.

L'incendie court dans un massif de résineux de plusieurs centaines d'hectares, indiquent les pompiers dans un tweet. 




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Les pompiers des Alpes-de-Haute-Provence ont fait appel à des moyens aériens, trois canadairs et quatre trackers pour atteindre les foyers les plus actifs.

Au sol, 110 hommes sont mobilisés. Le SDIS 04 a également reçu le renfort d'une vingtaine de soldats du feu des Hautes-Alpes. 






Peu avant 20h, le feu avait baissé en intensité. Les services de secours restaient optimistes quant à la suite des événements.



"La fraicheur de la nuit va calmer ce feu. Les hommes vont pouvoir se reposer pour être d'attaque dès demain matin", explique ce responsable des services de secours des Alpes-de-Haute-Provence. D'autant que le vent sera quasi nul, cette nuit dans ce département.

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Alpes de Haute-Provence : Le département placé en vigilance orange pour orages, pluie-inondation, grêle et vent



Publié par Barbara Tornambé le lun, 14/10/2019 



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Le département des Alpes-de-Haute-Provence est placé par Météo-France en vigilance orange pour orages, pluie-inondation, grêle et vent, à compter de cette nuit à partir de 22h  jusqu’à demain, mardi 15 octobre,  12 h . 
 
Une perturbation orageuse très active va traverser la région depuis l’Aude et la Lozère vers les Alpes-de-Haute-Provence. La dégradation touche l’ensemble du département et les orages pourront devenir forts, accompagnés de grêle, d’une forte activité électrique, de fortes rafales de vent jusqu’à 110 km/h ainsi que de fortes pluies en peu de temps (30-50 mm en moins de 2 heures, et  localement 80 à 90 mm). 
 
Le préfet recommande la plus grande vigilance :  

  à l’approche d’un orage, prenez les précautions d’usage pour mettre à l’abri   les objets sensibles au vent ;
 ne vous abritez pas sous les arbres ;
 évitez les promenades en forêts et les sorties en montagne ;
 évitez d’utiliser le téléphone et appareils électriques ;
 signalez sans attendre les départs de feux dont vous pourriez être témoins. 





Vous pouvez vous tenir informé sur l'évolution de la situation en consultant le bulletin de Météo France, soit sur le site Internet http://france.meteofrance.com  soit en appelant le 32 50. 


Renseignez-vous sur l’état des routes sur le site http://www.inforoute04.fr

On signale de nombreux éboulements dans l'arrière-pays suite aux fortes pluies comme ici à Isola 2000, route impraticable.
Le violent orage s'avance actuellement vers la région Niçoise.


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Photo : Guillaume Mayolini

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Compte tenu des pluies déjà tombées, le service de prévision des crues a placé la Durance tronçon Sisteron/Cadarache en vigilance Jaune Crue ce jour, samedi 23 novembre 2019.



La contribution des affluents devraient mener d’ici cette nuit, aux premiers débordements.






Le préfet des Alpes-de-Haute-Provence recommande la plus grande vigilance :
Rappel des recommandations :
- Si vous habitez en zone habituellement inondable, tenez-vous informé suivez les consignes de sécurité, souciez-vous de vos voisins et prenez les précautions adaptées.
- Mettez préventivement vos biens à l’abri des eaux.
- Renseignez-vous avant d’entreprendre un déplacement ou tout autre activité
extérieurs et soyez vigilant.
-Soyez prudents face aux conditions de circulation pouvant être difficiles.
- Ne vous engagez en aucun cas, à pied ou en voiture, sur une voie immergée ou à
proximité d’un cours d’eau.
- Un véhicule même un 4x4, peut être emporté dans 30 centimètres d’eau.



Vous pouvez vous tenir informé sur l'évolution de la situation en consultant le bulletin de Météo France, soit sur le site internet : http://france.meteofrance.com ou
en appelant le 32 50 et renseignez-vous sur l’état des routes sur le site http://www.inforoute04.fr

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Photo illustration




Rien de très grave à ce stade donc ni rien de comparable avec ce que connaissent les Alpes maritimes et le Var, mais pas moins d'une trentaine d'interventions pour les pompiers des Alpes de Haute-Provence ce samedi suite aux fortes rafales de vent et à la pluie: Arbres et branches arrachées, poteaux couchés. Le SDIS 04 surveille aussi particulièrement le niveau des rivières dont un torrent qui menace de déborder vers Annot.
Un autre torrent isole Allons où les pompiers ont mis en place des moyens pour sécuriser les habitants, les rivières débordent aussi du coté de Saint-Maime et de  Dauphin.


A Volonne, un toit s'est effondré sous le poids à priori de la pluie au dessus du snack le Petit creux.
La route est coupée entre Saint-André les Alpes et Colmars suite à un risque d'éboulement.
Des accidents de la circulation sont aussi a déplorer heureusement sans gravité à chateau-Arnoux et à Manosque.
Les pompiers sont aussi allé secourir une femme embarée près de Mézel.
Le col de Larche est toujours fermé par les autorités italiennes
 
Dans les Hautes-Alpes :


Suite aux fortes rafales de vent et de pluies le toit du château de Chanousse entre Eyguians et Trescléoux dans la vallée du Buëh s'est envolé.  Recouvrant 3 habitations, il a  a été arraché et détruit par une tornade indiquent les habitants. Les propriétaires ont fait intervenir les pompiers mais malgré tous leurs efforts les bâches n'ont pas résisté à la pluie et au vent. Les appartements sont inondés.
Comme on pouvait s'y attendre, c'est "la guerre" comme on dit dans le col du Lautaret, une tourmente qui  empêche la circulation. La visibilité est nulle comme vous pouvez le constater dans la vidéo ci-dessous.  Le col du Lautaret est donc fermé à la circulation  jusqu'à dimanche matin et la fin de cette tempête. A l'origine, la tourmente mais aussi ces fameux petits camions de transports étrangers qui se sont lancés sans être équipés... et qui ont bloqué la circulation comme l'indique ce constat de la gendarmerie:


Le constat de la gendarmerie:


Un camion de 3,5 T immatriculé en Pologne et immobilisé depuis hier soir dans le col du Lautaret a été rapatrié jusqu'à la Brigade de LA GRAVE. Son Chauffeur a été verbalisé par consignations pour un montant de 4.500 euros (circulation interdite à un transport routier de matières dangereuses, défaut d'équipement de sécurité et absence de consignes de sécurité relatives au transport de matières dangereuses). Camion immobilisé en attente du paiement de l'amende.


Un deuxième petit camion de 3,5 T également immatriculé en Pologne est immobilisé en contrebas de la chaussée, à proximité du virage dit du "cylindre" après Villar-d'Arêne. Les conditions météorologiques ne permettent pas actuellement de l'extraire, Il sera treuillé lundi pour être remis sur la route.


 
Entretien avec Marcel Cannat, Vice-président du Conseil Départemantal des Hautes Alpes en Charge des routes









Vidéo de l'intervention du service des routes dans le Lautaret la nuit dernière





Le communiqué de la Préfecture des Alpes de Haute-Provence


Le département des Alpes-de-Haute-Provence est placé par Météo-France en vigilance Jaune pour «pluie-inondation», à compter de vendredi 22 novembre en
début de nuit jusqu’au samedi 23 novembre minuit.
De fortes précipitations sont attendues sans discontinuer sur le sud du département, moyen verdon, pays de Castellane et sur l'ouest en pays de Forcalquier, montagne de Lure, avec des cumuls pouvant atteindre 70 à 100 mm.
 
Météo France annonce pour le vendredi 22 novembre et le samedi 23 novembre 2019 des intempéries susceptibles d’entraîner des difficultés de circulation sur les routes des Alpes-de-Haute-Provence.
De fortes précipitations sont notamment attendues sans discontinuer sur tout le territoire, avec des cumuls pouvant atteindre 30 millimètres de pluie localement.
La limite pluie-neige pourra s’abaisser jusqu’à 1350 mètres vendredi, et jusqu’à 1550 mètres samedi.
Par ailleurs, un vent fort est attendu, avec des rafales atteignant 85 km/h :
-sur le plateau de Valensole en début de soirée et dans la nuit du vendredi 22 novembre;
- de Digne-les-Bains à la frontière italienne, en journée et en soirée du samedi 23 novembre.
Le préfet appelle par conséquent les usagers de la route à faire preuve de la plus grande vigilance dans leurs déplacements.
 
Les prévisions détaillées de Météo France Briançon
 
Vigilance jaune avalanches dans les Hautes-Alpes et jaune avalanches et pluie-inondation dans les Alpes-de-Haute-
Provence.

NUIT DU SAMEDI 23 AU DIMANCHE 24
GRIS ET DOUX
Le ciel reste couvert, avec de faibles précipitations, neigeuses au dessus de 1600/2000m. Dans la nuit, 30/60 cm de
neige fraîche viennent s'ajouter dans l'Est-Queyras au dessus de 2000m, et 5/15 cm du Thabor à la Haute-Ubaye, et 1/5
cm sur les autres massifs.
Les températures minimales sont douces, avec 3/6 degrés en vallées, et 0/-2 degrés à 2000m.
Vent en vallées de secteur nord-est, modéré à assez fort, avec des pointes à 50/70 km/h. A 3000m, vent d'est, 60/80
km/h.

DIMANCHE 24
NUAGEUX
Les nuages restent prédominants, mais quelques éclaircies percent l'après-midi, notamment dans les basses vallées.
Les précipitations se cantonnent progressivement vers l'Italie, déposant sur la journée 3/10 cm de neige fraîche du
Thabor à l'Ubaye au dessus de 1800m, jusque 20/40 cm dans l'Est-Queyras.
Les températures maximales évoluent peu, avec 7/11 degrés en vallées, et vers 4 degrés vers 2000m. Isotherme 0
degré de 2100 à 2400m d'Est en Ouest des massifs.
Vent en vallées de nord, modéré, avec de la Lombarde assez forte près de l'Italie. A 3000m, vent d'est/nord-est, 30/60
km/h, localement 70/80 km/h en matinée.

LUNDI 25
DÉGRADÉ EST/OUEST
Les dernières précipitations dans l'Est-Queyras s'estompent en tout début de journée. Les nuages sont encore
nombreux à l'Est de la Durance tandis que la matinée est ensoleillée sur la moitié Ouest du département. L'après-midi,
des nuages remontent du Sud et accrochent les hauts sommets.
Les températures minimales sont stationnaires, tandis que les maximales gagnent 2 à 4 degrés par rapport aux jours
précédents.
Vent en vallées faible, d'est à sud. Il s'oriente au nord-ouest la nuit suivante en devenant modéré.
A 3000m, vent basculant de l'est au sud puis sud-ouest, 20/40 km/h.

MARDI 26
ENSOLEILLÉ
Le soleil est de retour, accompagné de fins nuages de haute altitude. Le ciel s'ennuage de nouveau la nuit suivante.
Les températures maximales évoluent peu et sont comprises entre 10 et 14 degrés en vallées, et 5/6 degrés à 2000m.
Vent en vallées de nord/nord-ouest, modéré puis faiblissant. A 3000m, vent de nord-ouest, modéré. Il s'oriente à l'ouest
en fin de journée.

TENDANCE POUR LES JOURS SUIVANTS
MERCREDI 27 ET JEUDI 28
GRIS
Le temps s'annonce perturbé, avec de nombreux nuages et des précipitations éparses, neigeuses en montagne.
Les températures maximales s'orientent à la baisse, mais sont encore 1 à 2 degrés au dessus des normales.
Vent général assez fort, de sud-ouest mercredi puis d'ouest/nord-ouest jeudi.

VENDREDI 29 ET SAMEDI 30
ÉCLAIRCIES VENDREDI
Des éclaircies arrivent à se développer vendredi, puis les nuages reprennent possession du ciel samedi et lâchent
quelques précipitations.
Les températures maximales se rapprochent des valeurs de saison.
Vent général modéré, de nord-ouest vendredi et de sud-ouest samedi.

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Alpes-de-Haute-Provence : la RN 202 Digne-Nice coupée



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les services nettoient et déblaient les routes. HPi / Louis Bourgue

La route a été fermée au niveau de Vergons suite à une immense coulée de boue.

Suite aux intempéries de ce samedi 23 novembre, une immense coulée de boue a obligé dès à fermer la Route Nationale 202, qui est l'axe Digne-les-Bains - Nice, au niveau de la commune de Vergons.


Depuis ce dimanche matin, les services de la D.I.R sont sur place et déblaient avec l’aide de l’entreprise Cozzi d’Annot la boue, les arbres et les roches qui ont envahi la chaussée. La route reste ouverte jusqu’à Saint-Julien-du-Verdon en provenance de Digne-les-Bains et jusqu’à Vergons en venant de Nice.

D’autres zones sont sous surveillance car elles menacent également de s’effondrer juste au-dessus du village de l’Iscle de Vergons. Les services de RTM sont sur place afin d’évaluer les risques.
La route départementale 55 reliant Saint-André-les-Alpes et Colmars-les-Alpes est également fermée en raison d'un risque important de nouveaux éboulements.

Il est impératif de se renseigner sur l’état des routes avant de prendre le volant.


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L'embouchure du Var...vue aérienne par Nice Matin !



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Un panneau annonce la vigilance rouge pour pluies et inondations à Nice (Alpes-Maritimes), le 1er décembre 2019. (YANN COATSALIOU / AFP)

franceinfo France Télévisions







DIRECT. Intempéries : une cinquantaine d'établissements scolaires fermés lundi dans les Alpes-Maritimes


Vigilance rouge. Le Sud-Est de la France est à nouveau touché par un épisode méditerranéen, une semaine après celui qui a fait six morts. Pour la deuxième fois en huit jours, Météo France a placé, dimanche 1er décembre, les Alpes-Maritimes et le Var en alerte maximale, en raison des fortes pluies attendues et des risques d'inondations.



>> Intempéries : suivez la situation dans le Sud-Est dans notre direct



Mais que signifie la vigilance rouge ? Quelles sont ses conséquences ? Franceinfo vous explique de quoi il s'agit.

Un avertissement créé après la tempête de 1999

Les tempêtes qui traversent la France en 1999 et provoquent la mort de 92 personnes ainsi que de graves dégâts marquent un tournant. "Jusqu'alors, Météo France avertissait les services de l'Etat et les services de secours d'un événement en leur donnant des éléments propres à caractériser l'aléa (force des vents, direction, etc.) mais sans qualifier le niveau de danger", rappelle Canopé, réseau d'accompagnement pédagogiques sous tutelle de l'Education nationale. "Ces avertissements n'étaient pas diffusés au public.



Pour éviter qu'un bilan aussi meurtrier ne se reproduise, Météo France crée un niveau de vigilance et des comportements associés. Elle destine désormais sa procédure de vigilance à tous, pour que chacun puisse se préparer et s'adapter aux conditions météorologiques. L'information est aussi transmise aux services de l'Etat pour leur permettre de réagir rapidement en cas de catastrophe.
Selon Canopé, la surveillance pour les vents violents, les orages, la neige, le verglas et les fortes pluies commence en 2001 ; celle pour canicule et grand froid en 2004 ; celle pour les inondations et les vagues-submersion en 2011, et plus récemment pour les avalanches. Soit dix phénomènes météorologiques surveillés.

Un phénomène "d'intensité exceptionnelle"

"La vigilance météorologique est conçue pour informer la population et les pouvoirs publics en cas de phénomènes météorologiques dangereux en métropole", définit Météo France. Cette vigilance est composée d'une carte de la France métropolitaine actualisée au moins deux fois par jour : à 6 heures, puis à 16 heures. Chaque département est coloré en vert, jaune, orange ou rouge, selon la situation et le niveau de vigilance nécessaire.
Dans cette échelle, le niveau de vigilance rouge correspond à un état d'alerte maximale. ll fait état d'un phénomène météo "d'intensité exceptionnelle" et qui représente un danger pour la population. "Une vigilance absolue s'impose", prévient Météo France, qui recommande dans ce cas de se tenir "régulièrement au courant de l'évolution de la situation" et de respecter "impérativement les consignes de sécurité émises par les pouvoirs publics".


En 2015, franceinfo expliquait comment était prise la décision de placer certains départements en vigilance rouge. Au niveau local, les centres départementaux font leurs prévisions. Ensuite, il y a sept centres interrégionaux qui proposent des couleurs. Et c'est le centre national de prévision qui décide des couleurs et qui publie la carte finale. Le passage d'un niveau à l'autre dépend de la puissance et de la durée du phénomène, mais aussi de la zone menacée. Est-ce une zone très peuplée par exemple ? L'heure du phénomène est aussi prise en compte : s'il y a lieu en fin de journée ou un samedi soir, avec du monde dans les rues ou sur les routes.

Une information pour alerter la population

La carte de vigilance élaborée par Météo France est également le résultat d'une collaboration avec plusieurs services de l'Etat, car ce sont eux qui doivent prendre des mesures pour protéger la population. "Attention, la vigilance n'est pas l'alerte. La vigilance permet d'éveiller l'attention. 


C'est une information transmise aux autorités publiques pour qu'elles puissent mobiliser leurs services", souligne le réseau Canopé. "L'alerte de la population est une décision prise par une autorité (souvent le maire ou le préfet) de déclencher le signal d'alerte", précise-t-il.



Tout part d'en haut, du ministère de l'Intérieur, qui informe les préfectures, qui alertent les mairies, qui doivent ensuite alerter la population, donner des consignes de prudence, fermer des lieux publics, des parcs, évacuer des campings, des zones inondables, annuler des manifestations, etc. La préfecture, avec une cellule de crise, coordonne aussi tous les services de secours ou de dépannage. Autrement dit, en vigilance rouge, le dispositif de gestion de crise est automatiquement activé : l'ensemble des acteurs et des moyens sont mobilisés sans attendre. Tous les maires sont alertés et tenus de se mettre à leur tour en veille.



"On dit : il va y avoir un phénomène exceptionnel avec des conséquences, mettez-vous à l'abri", résume à Ouest-France Olivier Prust, prévisionniste à Météo France. Les autorités alertent les populations en fonction du phénomène météorologique jugé dangereux. Ainsi, en cas de vigilance rouge canicule, il est par exemple recommandé de passer le plus de temps possible dans les espaces publics rafraîchis ; en cas de vents violents de ne pas intervenir sur les toitures et de ne pas toucher les fils électriques tombés au sol ; enfin, en cas de vigilance rouge "pluie-inondation" de s'éloigner d'un cours d'eau et de ne pas utiliser son véhicule.





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Alpes-de-Haute-Provence : 36 communes en état de catastrophe naturelle suite aux intempéries

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Les sapeurs-pompiers sont intervenus à de nombreuses reprises sur tout le département. 

Jean-Luc Trouvé / HPI

À la suite des intempéries ayant fortement touché le Sud-Est de la France au début du mois, dont les Alpes-de-Haute-Provence, un arrêté de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a été publié ce 19 décembre.

À la suite des intempéries ayant fortement touché le Sud-Est de la France au début du mois, dont les Alpes-de-Haute-Provence, un arrêté de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a été publié ce 19 décembre.



Dans un communiqué, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a indiqué « avoir demandé à la commission interministérielle compétente pour examiner les demandes, de se réunir selon une procédure accélérée ». Sur la base des rapports d’expertise transmis, la commission a ainsi reconnu cet état pour 36 communes du département des Alpes-de-Haute-Provence : Aubenas-les-Alpes, Aubignosc, Banon, Céreste, Château-Arnoux-Saint-Auban, Châteauneuf-Val-Saint-Donat, Claret, Dauphin, Entrepierres, Forcalquier, Ganagobie, Limans, Lurs, Malijai, Mane, Manosque, Mées (Les), Montfuron, Niozelles, Ongles, Peipin, Peyruis, Pierrerue, Reillanne, Revest-des-Brousses, Saint-Étienne-les-Orgues, Saint-Geniez, Saint-Maime, Saint-Michel-l'Observatoire, Sigonce, Sisteron, Thoard, Valernes, Villeneuve, Volonne et Volx.



D'autre part, deux communes (La Brillanne et Mison) feront l’objet d’un examen ultérieur dans l’attente de rapports d’expertise pluviométriques et météorologiques complémentaires.


Les services de la préfecture du département indiquent pour leur part les modalités suivantes : les sinistrés disposent d’un délai de 10 jours à compter du 19 décembre 2019, soit jusqu’au 28 décembre 2019 inclus, pendant lequel ils peuvent déposer auprès de leurs compagnies d’assurances un état estimatif de leurs pertes afin de bénéficier du régime d’indemnisation prévu par la loi n° 82-600 du 13 juillet 1982 modifiée.
 

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Fortes pluies avec risque d'inondation et coup de vent en fin de semaine. / Vrel Valérie / MaxPPP




Météo France a placé trois départements du sud-est de la France, dont le département des Alpes-de-Haute-Provence à compter de vendredi, en vigilance orange pluies-inondations.




Par GB  Publié le 19/12/2019 

Météo-France prévoit de nouveau de "fortes pluies sur le Sud-Est" vendredi, au cours d'"un épisode méditerranéen bref mais intense se produisant dans un contexte de sols fragilisés".

Une perturbation active va balayer le pays, selon Météo-France, qui anticipe, "des pluies (...) soutenues des Cévennes jusqu'aux Alpes-Maritimes, puis plus tardivement en soirée sur la Corse", qui " prendront un caractère orageux".


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VigiMétéoFrance@VigiMeteoFrance

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En début de matinée de vendredi, les pluies se renforcent nettement et deviennent fortes sur l'Ouest des Alpes-de-Haute-Provence. Ces fortes pluies s'étendent l'après-midi sur le reste des Alpes-de-Haute-Provence et des Alpes-Maritimes, précise l'organisme de prévision.

Les intensités attendues sous les fortes pluies sont de l'ordre de 20 à 40 mm, localement 50 mm en moins de 3 heures.

Sur l'ensemble de l'épisode, du vendredi minuit au vendredi 18h, les cumuls attendus atteignent souvent 60 à 80 mm sur les 3 départements, jusqu'à 100 à 120 mm sur le relief des Alpes-de-Haute-Provence et du Sud du Var.

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